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«L'avenir n'est plus ce qu'il était» [Paul Valéry]



L'Europe et la France en crise : quand les dirigeants défient l'État de droit

Mme Von der Leyen et la Commission Européenne condamnées par la Cour de Justice de l'U.E. Micron qui viole allègrement la constitution en faisant voter des ministres à l'Assemble Nationale, ce qui lui a permis de faire élire sa candidate, l'État de droit n'est plus qu'un souvenir en Europe. L'extrême droite comme la droite et le centre, la main dans la main avec le néolibéralisme « avancé » sont désormais totalement décomplexés. La république n'existe plus, elle est remplacée par une démocrature. 1984-2024 : même combat.




L'Europe et la France en crise : quand les dirigeants défient l'État de droit

Comme suite à l'article de FranceSoir, dont vous trouverez le lien à la fin de cet article, j'ai demandé à l'intelligence artificielle Sonnet version 3.5 de résumer cet article.

Puis, à la suite de mes remarques et des réponses de l'I.A, je lui ai demandé de synthétiser toutes ses réponses en un article que vous trouverez ci-après.

 
# L'Europe en crise : quand les dirigeants défient l'État de droit
 

Dans un contexte politique tendu, l'Union européenne et la France font face à une crise de confiance sans précédent. Les récentes décisions de la Cour de Justice de l'Union européenne (CJUE) concernant Ursula von der Leyen, ainsi que les actions controversées d'Emmanuel Macron en France, soulèvent de sérieuses questions sur le respect de l'État de droit au plus haut niveau des institutions européennes et françaises.
 

## Le scandale #PfizerGate : Von der Leyen dans la tourmente
 

Le 17 juillet 2024, à la veille d'un vote crucial pour sa réélection à la tête de la Commission européenne, Ursula von der Leyen a été désavouée par la CJUE. La Cour a rendu deux décisions condamnant la Commission européenne pour son manque de transparence concernant les contrats d'achat de vaccins contre la COVID-19.
 

**Une double condamnation**
 

La première décision fait suite à une requête portée par un groupe de députés européens des Verts, dont feu Michèle Rivasi. La CJUE a jugé que le caviardage excessif des contrats par la Commission était injustifié et contenait de nombreuses irrégularités. Cette décision est un hommage posthume à l'engagement de Michèle Rivasi pour la transparence.
 

La seconde décision résulte d'une procédure collective impliquant plus de 2000 citoyens. Elle visait à obtenir la transparence sur les clauses d'indemnisation des victimes, les produits défectueux et l'identité des négociateurs. La Cour a estimé que la Commission manquait de motifs valables pour caviarder ces informations.
 

**Des implications majeures**
 

Ces décisions ont des implications considérables :
 

1. Elles appuient une plainte pénale déposée par Frédéric Baldan, à laquelle se sont joints plus de 1000 plaignants, dont la Hongrie et la Pologne.
 

2. Elles mettent en lumière des négociations potentiellement désavantageuses pour les citoyens européens. Par exemple, l'UE aurait payé 21 dollars par dose de vaccin contre 10 dollars pour l'Afrique du Sud.
 

3. Elles soulèvent des questions sur la protection excessive des intérêts des industriels au détriment de ceux des citoyens.
 

**Un timing controversé**
 

La CJUE a rendu sa décision le 17 juillet, soit seulement 24 heures avant le vote pour la réélection d'Ursula von der Leyen. Ce timing très serré a suscité des interrogations sur les motivations de la Cour et a été interprété par certains comme une aide indirecte à von der Leyen, en ne laissant pas le temps aux députés européens d'examiner pleinement les implications de ces décisions avant le vote.
 

## La France de Macron : une démocratie en péril ?
 

Parallèlement à la crise européenne, la France connaît une période de turbulences politiques sous la présidence d'Emmanuel Macron.
 

**Un usage controversé du 49.3**
 

Avant la dissolution de l'Assemblée nationale, Emmanuel Macron gouvernait fréquemment par le biais de l'article 49.3 de la Constitution. Cette utilisation répétée d'un outil constitutionnel conçu pour des situations exceptionnelles a été perçue comme un contournement du processus démocratique normal.
 

**Une défaite électorale ignorée**
 

Après la dissolution, le parti d'Emmanuel Macron a perdu les élections législatives. Malgré cette défaite électorale claire, le président semble refuser d'en tenir pleinement compte dans la formation du nouveau gouvernement, soulevant des questions sur le respect de la volonté populaire exprimée dans les urnes.
 

**Une violation flagrante de la Constitution**
 

L'incident le plus choquant concerne l'élection de la nouvelle présidente de l'Assemblée nationale. Selon les informations fournies, elle aurait été réélue grâce aux votes de 17 ministres du gouvernement. Or, la Constitution française interdit explicitement aux ministres de voter au Parlement. Cette violation flagrante des règles constitutionnelles est sans précédent dans l'histoire de la Vᵉ République et soulève de sérieuses inquiétudes quant au respect des institutions démocratiques par le pouvoir exécutif.
 

## Une crise de confiance généralisée
 

Ces événements, tant au niveau européen qu'en France, révèlent une crise profonde de confiance envers les institutions et les dirigeants politiques.
 

**Érosion de la légitimité démocratique**
 

Le fait que von der Leyen ait été réélue malgré les critiques de la CJUE, et que Macron continue de gouverner en ignorant les résultats électoraux, témoigne d'une érosion inquiétante de la légitimité démocratique. Ces comportements alimentent le sentiment d'un « déficit démocratique » au niveau européen et national.
 

**Remise en question de l'État de droit**
 

Ces situations mettent en lumière un défi majeur pour l'État de droit en Europe. Les dirigeants semblent prioriser l'efficacité à court terme au détriment du respect des procédures démocratiques et des principes fondamentaux de transparence et de contrôle.
 

**Nécessité de renforcer les contre-pouvoirs**
 

Face à ces dérives, il apparaît crucial de renforcer les institutions de contrôle, telles que la CJUE ou les parlements nationaux. Des mécanismes plus efficaces doivent être mis en place pour garantir la transparence et la responsabilité des dirigeants.
 

## Conclusion : Un appel à la vigilance citoyenne
 

La situation actuelle en Europe et en France appelle à une vigilance accrue de la part des citoyens, des médias et des institutions de contrôle. Il est essentiel de :
 

1. Exiger une plus grande transparence dans les processus décisionnels, notamment concernant les contrats publics d'envergure comme ceux liés à la gestion de la pandémie.
 

2. Renforcer les mécanismes de contrôle parlementaire et judiciaire pour prévenir les abus de pouvoir.
 

3. Promouvoir une culture politique qui respecte véritablement les résultats électoraux et les principes démocratiques fondamentaux.
 

4. Encourager un débat public informé sur ces questions cruciales pour l'avenir de nos démocraties.
 

L'avenir de la démocratie en Europe et en France dépend de notre capacité collective à relever ces défis et à restaurer la confiance dans nos institutions. Il est temps pour les citoyens de se mobiliser et d'exiger de leurs dirigeants un respect scrupuleux des principes démocratiques et de l'État de droit.


N.D.L.R : mon avis sur Von der Leyen, l'Europe et Micron ?


 

Pas une pour racheter l'autre !
Bienvenue en démocrature !
On est prié de se déculotter en entrant…


 

Lire ici l'article de FranceSoir

Pour les détails sur le PfizerGate lire cet article de Marianne

Le lien vers ma session avec Sonnet 3.5 sur cette affaire.


 


Samedi 20 Juillet 2024

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