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«L'avenir n'est plus ce qu'il était» [Paul Valéry]



Non, la dette ne fait pas peser un fardeau sur les générations futures

Un excellent article de la revue Alternatives Économiques à propos des fadaises que l'on nous assène en permanence sur conséquences de la dette publique sur les générations futures. Comme d'habitude, les personnes qui distribuent sans compter, c'est le cas de le dire, ces fausses affirmations, négligent sciemment le fait qu'une médaille a toujours deux cotés. Et, qu'en compatibilité, il ne peut y avoir de passif… sans actif !



Non, la dette ne fait pas peser un fardeau sur les générations futures


Je viens de découvrir l'I.A Deepseek, version 3 et je constate au quotidien qu'elle est tout simplement géniale. Et, je sais de quoi je parle, car cela fait plusieurs mois que je pratique en permanence : Perplexity, ChatGPT et Gémini, soient les trois I.A les plus performantes du marché. Plus Recall.ai qui m'aidait à faire des résumés de vidéos et de textes divers plus rapidement et plus facilement que les I.A précitées.

Après avoir lu l'article d'Alternatives économiques, j'ai demandé à Deepseek, version Android, de me le résumer.
J'ai fait ajouter un paragraphe sur les notions centrales d'actif et de passif que Deepseek avait bien compris, mais sans insister, assez à mon avis.J'ai fait ajouter également un paragraphe sur les politiques d'austérité et leurs impacts catastrophiques de ce point de vue, qui atteignent non seulement les générations à venir, mais les populations actuelles, et même très rapidement.

Compte tenu de ces deux observations, et à ma demande, Deepseek a complètement remanié sa première version. Et, il a rédigé finalement, à mon avis, un meilleur article que l'original !

Comme je l'ai déjà écrit ici, les I.A sont beaucoup plus performantes… avec notre collaboration active.

Il se trouve que cet article, comme tous les autres d'Alternatives économiques, n'est pas gratuit et suppose un abonnement (modique : 7 euros/mois). Je suis abonné, car les revues économiques alternatives de qualité ne sont pas légion dans la presse française, et même étrangère. Surtout en cette ère calamiteuse de Trumpisme triomphant et de surcroit apparemment contagieux.

En conséquence, rien ne m'empêche de créer et de partager un article écrit, ouvertement, en collaboration avec une I.A, en citant ma source et en ne retirant aucun bénéfice financier de tout cela puisque, vous l'aurez sans doute remarqué, mon site est absolument exemple de toute publicité. Ce qui assez rare pour être signalé.

Voici donc l'article rédigé en collaboration avec Deepseek, version 3.


### La dette publique : un fardeau pour nos enfants ? Et, si on arrêtait de se tromper de débat ?

 

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#### **Introduction**

La dette publique est souvent présentée comme une épée de Damoclès suspendue au-dessus des générations futures. Politiques et médias nous alertent régulièrement : « Nous vivons à crédit, et nos enfants paieront la note ! »

Pourtant, cette vision alarmiste repose sur une compréhension incomplète de ce qu'est réellement la dette publique.

Loin d'être un simple fardeau, la dette peut être un outil puissant pour construire l'avenir, à condition de bien l'utiliser. Dans cet article, nous allons déconstruire les idées reçues et montrer pourquoi il est temps de changer de perspective.

 

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### **1. La dette publique : un transfert intergénérationnel ? Pas vraiment**
 

L'idée que la dette publique est un transfert de charge entre générations est une simplification trompeuse.

En réalité, la dette est avant tout un mécanisme financier qui circule entre acteurs économiques : États, banques, investisseurs, etc. Lorsqu'un État emprunte, il ne prélève pas directement des ressources sur l'avenir. Il émet des obligations achetées par des acteurs privés ou institutionnels, qui perçoivent des intérêts en contrepartie.

 

La question n'est donc pas de savoir si la dette sera « remboursée » par nos enfants, mais plutôt **comment elle est utilisée aujourd'hui**.

Si les fonds empruntés servent à financer des dépenses courantes sans créer de valeur, la dette peut effectivement devenir un problème. Mais, si elle est investie dans des projets productifs, elle devient un levier de croissance et de progrès.

 

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### **2. Dette publique : passif oui, mais actif également !**
 

Pour comprendre pourquoi la dette n'est pas nécessairement un fardeau, adoptons une vision globale en tenant compte à la fois des **passifs** (la dette elle-même) et des **actifs** qu'elle permet de créer. 
 

- **Les passifs** : ce sont les engagements financiers de l'État, c'est-à-dire la dette et les intérêts à payer.
 

- **Les actifs** : ce sont les investissements financés par cette dette, comme les infrastructures, les hôpitaux, les écoles, les réseaux de transport ou les technologies vertes.
 

Par exemple, une dette utilisée pour construire un réseau ferroviaire moderne ou pour financer la transition écologique crée des actifs qui profiteront aux générations futures.

Ces investissements augmentent le patrimoine collectif, stimulent la croissance économique et améliorent la qualité de vie. En d'autres termes, **la dette n'est pas un problème en soi, c'est son utilisation qui compte**.

 

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### **3. Austérité : une fausse bonne idée qui pénalise l'avenir**
 

Une politique d'**austérité**, qui consiste à réduire la dette en réduisant les dépenses publiques, semble à première vue une solution responsable.

Pourtant, elle peut avoir des effets dévastateurs sur le long terme. En réduisant les investissements publics, l'austérité diminue les actifs disponibles pour les générations futures. 

 

Par exemple :

- Moins d'investissements dans l'éducation aujourd'hui, c'est une main-d'œuvre moins qualifiée demain.
 

- Moins de dépenses dans la recherche et l'innovation, c'est une économie moins compétitive à l'avenir.
 

- Moins de soutien à la transition écologique, c'est un environnement dégradé et des coûts supplémentaires pour les générations futures.
 

Ainsi, l'austérité ne fait pas disparaître la dette : elle transfère simplement le fardeau sous une autre forme, en privant les générations futures des outils nécessaires pour prospérer. Elle revient à «économiser sur l'avenir» plutôt qu'à le construire.

N.D.L.R :
chercher à nous faire pleurer sur le prétendu fardeau des générations futures est particulièrement difficile à supporter, et je reste poli, quand il est le fait de dirigeants qui connaissent uniquement l'austérité pour rétablir les finances de notre pays. Et, si en plus, ils ne savent pas compter et finissent par s'enfuir en Suisse…

Par ailleurs il est sûr que lorsque, comme l'a fait systématiquement Micron depuis qu'il est président (et même avant) on privilégie constamment l'offre à la demande, les dividendes aux investissements et dernière trouvaille de nos pieds nickelés : la vente des bijoux de famille de la France, les générations futures en question n'auront effectivement que leurs yeux pour pleurer. C'est bien pourquoi Micron, contrairement à ce qu'il pense tous les matins en se rasant, ne laissera aucune trace dans l'histoire, juste une énorme tâche.
 

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### **4. La dette, un outil de politique économique à réhabiliter**
 

Plutôt que de diaboliser la dette publique, il serait plus pertinent de la considérer comme un **outil de politique économique**. La question centrale n'est pas « Combien devons-nous ? » mais « À quoi servent les fonds empruntés ? ». 
 

- **Dette productive** : lorsqu'elle finance des projets à fort rendement économique et social (infrastructures, éducation, santé, transition écologique), la dette est un investissement dans l'avenir.
 

- **Dette improductive** : lorsqu'elle sert à combler des déficits structurels ou à financer des dépenses courantes sans création de valeur, elle peut effectivement poser problème.
 

La clé réside donc dans une gestion équilibrée et stratégique de la dette, qui privilégie les investissements productifs tout en évitant les gaspillages.
 

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### **5. Et, les générations futures dans tout ça ?**
 

Contrairement à ce que l'on entend souvent, les générations futures ne sont pas condamnées à payer pour nos excès. En réalité, elles hériteront à la fois des **passifs** (la dette) et des **actifs** (les investissements financés par cette dette). Si nous utilisons la dette de manière responsable, elles bénéficieront d'un patrimoine collectif renforcé, d'une économie plus résiliente et d'un environnement mieux préservé.
 

En revanche, si nous optons pour des politiques court-termistes (austérité excessive ou dépenses improductives), nous risquons de leur léguer un monde appauvri, moins équipé et moins préparé aux défis de demain.
 

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### **Conclusion : Arrêtons de nous tromper de débat**
 

La dette publique n'est ni un ange ni un démon. C'est un outil, dont l'impact dépend de la manière dont nous l'utilisons. Plutôt que de se focaliser sur le montant de la dette, il serait plus utile de se demander : **quels projets financés aujourd'hui construiront le monde de demain ?** 
 

En investissant dans l'éducation, la santé, les infrastructures et la transition écologique, nous pouvons faire de la dette un levier de progrès plutôt qu'un fardeau.

Et, si, finalement, la vraie question n'était pas « Combien devons-nous ? » mais « Quel monde voulons-nous laisser à nos enfants ? »

 

N.D.L.R

De ce dernier point de vue, il est évident que le bilan économique et écologique de Micron après presque 15 années de pouvoir (avec les années Hollande) sur la politique de notre pays est déjà, mais il peut encore faire pire, une énorme faillite. 

Que ses successeurs et nos enfants, mettront des décennies à combler, s'ils y arrivent jamais.

En tout état de cause, j'espère que les Français auront compris, à l'issue de cette période horrifique de l'histoire de France, qu'il ne faut jamais élire un président qui ne peut pas, et ne veut pas, avoir d'enfants.

Le lien vers l'article d'Actualités economiques

Le premier est gratuit et vous pouvez toujours vous abonner.


Mardi 21 Janvier 2025

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