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Résumé de ChatGPT 4 via Perplexity
-Une lettre ouverte, signée par 25 associations représentant ces patients, a été adressée au ministre délégué à la Santé, Frédéric Valletoux. Les associations expriment leur préoccupation quant aux répercussions potentielles de ces mesures d'économie sur la couverture des frais médicaux pour les ALD.
-Le ministre avait initialement suggéré une réévaluation de la pertinence du système actuel, puisque les dépenses liées aux ALD représentent deux tiers des remboursements de l'Assurance Maladie. Cependant, il a par la suite clarifié qu'il n'était pas question de réduire les dépenses spécifiquement allouées aux ALD, soulignant l'ancienneté du système en place et les progrès médicaux réalisés.
-Les associations signataires, parmi lesquelles figurent RoseUp (cancer), Renaloo (maladies rénales), et l’Association française des hémophiles, mettent en lumière la crainte d'un possible démantèlement de ce qu'elles considèrent comme un pilier de la solidarité du système de santé français.
-Elles rappellent que les patients ALD doivent déjà supporter un reste à charge significativement plus élevé que le reste de la population, malgré le remboursement à 100 % par la Sécurité sociale des soins liés à leur maladie.
-Les associations rejettent l'idée d'être perçues comme responsables des déficits du système de santé et critiquent le discours ambiant qui suggère une exploitation abusive du système par certains patients, avec la complicité de médecins.
N.D.L.R
Durant toute la crise de la covid, Micron s’est glorifié de son “quoi qu’il en coûte”.
Mais, c’est maintenant qu’il va falloir que la France passe à la caisse.
Non pas parce que l’Europe fait les gros yeux, de fait, elle n’a jamais sanctionné le dépassement des fameux 3 % de déficit. Mais, compte tenu du montant déjà colossal de la dette française (20 % du P.I.B !), les agences de notation risquent de baisser sa note. Et, si cela arrive, la charge de la dette française va encore augmenter et ceux qui investissent dans le financement de cette dette n’auront plus confiance et deviendra plus difficile et, donc, plus couteux, pour la France d’emprunter sur les marchés financiers.
De plus, la crise sanitaire terminée, Micron et Le Maire ont continué de dépenser comme des malades. À l’occasion du budget 2023, Le Maire s’est permis en plus d’augmenter notablement la prévision de croissance de la France. Aujourd'hui, il doit rectifier sa prévision. Mais, cette rectification entraine fatalement le fait qu’il lui manque 10 milliards ! Soit ¼ du budget annuel de fonctionnement. Excusez du peu !
Et, comment compte-t-il récupérer ces 10 milliards ? En tapant dans les dépenses qu’il estime secondaires ou non urgentes. Comme les engagements écologiques de la France par exemple.
Avec les deux fieffés menteurs que sont Micron et Le Maire, il ne faut jamais croire ce qu’ils vous disent. Il faut attentivement regarder ce qu’ils font ! C’est en observant dans quelles dépenses publiques ils vont taper pour amadouer les agences de notation que vous saurez exactement quelles sont les dépenses qu’ils estiment secondaires.
Pour en revenir à la situation financière de la France, rien que les intérêts annuels de la dette française, c'est déjà 220 milliards d’euros !
Au 31 janvier 2024, les dépenses du budget général (hors remboursements et dégrèvements d'impôts d'État) s'établissent à 38,5 milliards d’euros.
C'est-à-dire moins de 20 % des intérêts de la dette !
Cela vous donne-t-il une idée de la merde dans laquelle on est ? N’importe quelle entreprise dans une situation pareille serait déclarée en faillite. Les États ne sont jamais déclarés en faillite, simplement l’argent qu’on leur prête devient hors de prix. Ce qui entraîne immanquablement l’austérité et la misère pour ceux qui n’ont pas (beaucoup) d’argent de côté. Autrement dit, la majorité des Français.
Deux dernières observations, la Sécurité sociale n’est pas en déficit. Au contraire, en 2023, elle enregistrera un excédent. Mais, la sécu dispose d’un budget plus important que celui de l’État ! Et, Micron a pris la sale habitude de taper dans les fonds de la Sécurité sociale quand il a besoin d’argent pour combler ses munificences. C’est comme cela qu’il a financé ses promesses après la crise des gilets jaunes, par exemple.
C’est pourquoi il est particulièrement osé de laisser entendre que les patients affectés de maladies de longue durée coutent cher à la France. Mais, ces gens-là osent tout, c’est même à cela qu’on les reconnait.
Enfin, chaque année depuis Hollande, l’État français aide les entreprises françaises à hauteur de 200 milliards par an. Vous avez bien lu, 200 milliards chaque année pour les entreprises. Et, comme vous pouvez vous en douter, ces sommes mirifiques ne vont pas aux P.M.E, mais, aux grandes firmes qui l’an dernier ont distribué des dividendes records aux actionnaires.
Prendre 10 milliards sur ces 200 milliards annuels ne provoquera certainement pas un séisme dans les entreprises françaises. Nous sommes, que je sache, dans un régime capitaliste où les entreprises sont censées ne pas vivre aux crochets de l’État.
Mais, soyez en assurés, cette hypothèse n’est jamais venue à l’esprit de MM. Micron et Le Maire.
Beaucoup disent, en termes de philosophie politique, la gauche et la droite, cela n’existe plus.
Eh bien si ! Un gouvernement de droite, comme celui de Micron, dans une situation délicate, aura toujours tendance à faire porter le poids des sacrifices sur les plus pauvres. Et, à ne pas toucher aux avantages (colossaux) des plus riches.
Et, le plus fort, c’est que Micron a été élu, deux fois ! par les français qui vont souffrir le plus des gabegies récurrentes de ce triste sire.
Et, bien entendu, avec la dame Le Pen et son bouffon Bardella, si par malheur, ils succèdent à Micron et Attal, ce sera encore pire.
Si j’ai décidé au lendemain de l’élection de Sarkozy (déjà !) de quitter la France et de finir le reste de ma vie à l’étranger, ce n’était certes pas une décision irraisonnée.