Quand Micron met le casque, c'est pas pour rien !
Extrait, de l'article de Marianne du 11/11/2023, intitulé : nos impôts financent les multinationales étrangères !
Pour attirer des investisseurs en France, Macron fait des chèques à plusieurs zéros à l’ordre de grands groupes étrangers : 4,4 milliards pour deux usines « stratégiques » et… 4 000 emplois promis. Les bonus écolos, distribués comme des petits pains par le gouvernement, font aussi les affaires de grands groupes à l’autre bout de la planète. Enquête.
La France enrichit le monde. Par ses Lumières, par ses arts, par son histoire… par son fric, aussi.
Depuis quelques mois, un autre « pognon de dingue » file sans bruit à l’étranger sur les comptes de grands groupes, le plus souvent américains ou asiatiques. Pas pour rembourser l’ardoise publique de l’État souscrite par des grands fonds de Wall Street, de Californie ou de Singapour. Finalement, il faut bien payer ses dettes.
Mais, pour attirer les capitaux étrangers sur le sol français et y faire pousser des usines.
Ces « giga-factories » coûtent en vérité très cher aux finances publiques… donc aux contribuables français : près de 4,4 milliards d’euros pour deux établissements, l’un destiné à fabriquer des semi-conducteurs sous la houlette du groupe de droit néerlandais STMicroelectronics et de l’américain GlobalFoundries, l’autre à produire des batteries électriques financées par le géant taïwanais ProLogium.
Cet article est réservé aux abonnés, dont je suis. En effet, j'ai abandonné Le Monde, la plupart de leurs articles, ne m'intéressent pas.Et pour cause : nous n'avons pas du tout les mêmes centres d'intérêts politiques.
Ce qui n'étonnera pas les lecteurs qui me connaissent. En revanche, l'abonnement à Cafeyn, à 11 euros par mois, me permet d'accéder à une quantité impressionnante de publications. Pour seulement quelques euros de plus que l'abonnement au Monde (à tarif promotionnel pendant un an), que j'avais contracté pour essai.
J'ai donc lu cet article, dont le sujet n'intéresse apparemment pas le Monde (mais il captive aussi Mediapart !) et j'en fais un résumé pour vous, avec mon nouvel outil d'intelligence artificielle : Harpa AI
Résumé Harpa A.I
● La France propose d'importantes incitations financières pour attirer les investissements étrangers, notamment dans les industries manufacturières.
● Ces incitations comprennent des sommes considérables versées aux entreprises étrangères pour établir des usines en France, telles que 4,4 milliards d'euros pour la production de semi-conducteurs et de batteries électriques.
● Les subventions du gouvernement français représentent une part importante des investissements totaux réalisés par ces entreprises, avec la promesse de créer des emplois, mais le coût par emploi est très élevé.
● D'autres pays, dont l'Allemagne, fournissent également un soutien financier substantiel aux entreprises multinationales à des fins similaires.
● L'article met en évidence le paradoxe selon lequel les efforts visant à garantir l'autonomie énergétique et technologique renforcent les grandes entreprises multinationales plutôt que les États.
● Il existe aussi des aides financières indirectes fournies par le gouvernement français, telles que des bonus et des incitations à l'achat de produits tels que des panneaux solaires, qui bénéficient indirectement aux géants étrangers de ces industries.
● L'article mentionne les intentions du président Macron de promouvoir la production européenne de véhicules électriques et remet en question pourquoi la France devrait favoriser les produits fabriqués par des concurrents.
● Il souligne qu'actuellement, bien qu'il y ait une reconnaissance du problème, aucune solution claire n'existe.
● Une phrase relevée dans le corps de l'article qui dit tout : « Dans ces deux affaires, les subventions apportées par la France – sans qu’elle reçoive en retour la moindre part dans le capital – représentent 34 % des investissements. Le tout sur fond de promesses d’embauches pas vraiment alléchantes. Jugez plutôt : Chacun des 4 000 emplois attendus revient à… 1 million d’euros. »
N.D.L.R
Créer 4 000 emplois… qui reviennent chacun à un million d'euros ! Il faut s'appeler Macron pour tenter de nous faire croire que c'est un tour de force.
Pour attirer des investisseurs en France, Macron fait des chèques à plusieurs zéros à l’ordre de grands groupes étrangers : 4,4 milliards pour deux usines « stratégiques » et… 4 000 emplois promis. Les bonus écolos, distribués comme des petits pains par le gouvernement, font aussi les affaires de grands groupes à l’autre bout de la planète. Enquête.
La France enrichit le monde. Par ses Lumières, par ses arts, par son histoire… par son fric, aussi.
Depuis quelques mois, un autre « pognon de dingue » file sans bruit à l’étranger sur les comptes de grands groupes, le plus souvent américains ou asiatiques. Pas pour rembourser l’ardoise publique de l’État souscrite par des grands fonds de Wall Street, de Californie ou de Singapour. Finalement, il faut bien payer ses dettes.
Mais, pour attirer les capitaux étrangers sur le sol français et y faire pousser des usines.
Ces « giga-factories » coûtent en vérité très cher aux finances publiques… donc aux contribuables français : près de 4,4 milliards d’euros pour deux établissements, l’un destiné à fabriquer des semi-conducteurs sous la houlette du groupe de droit néerlandais STMicroelectronics et de l’américain GlobalFoundries, l’autre à produire des batteries électriques financées par le géant taïwanais ProLogium.
Cet article est réservé aux abonnés, dont je suis. En effet, j'ai abandonné Le Monde, la plupart de leurs articles, ne m'intéressent pas.Et pour cause : nous n'avons pas du tout les mêmes centres d'intérêts politiques.
Ce qui n'étonnera pas les lecteurs qui me connaissent. En revanche, l'abonnement à Cafeyn, à 11 euros par mois, me permet d'accéder à une quantité impressionnante de publications. Pour seulement quelques euros de plus que l'abonnement au Monde (à tarif promotionnel pendant un an), que j'avais contracté pour essai.
J'ai donc lu cet article, dont le sujet n'intéresse apparemment pas le Monde (mais il captive aussi Mediapart !) et j'en fais un résumé pour vous, avec mon nouvel outil d'intelligence artificielle : Harpa AI
Résumé Harpa A.I
● La France propose d'importantes incitations financières pour attirer les investissements étrangers, notamment dans les industries manufacturières.
● Ces incitations comprennent des sommes considérables versées aux entreprises étrangères pour établir des usines en France, telles que 4,4 milliards d'euros pour la production de semi-conducteurs et de batteries électriques.
● Les subventions du gouvernement français représentent une part importante des investissements totaux réalisés par ces entreprises, avec la promesse de créer des emplois, mais le coût par emploi est très élevé.
● D'autres pays, dont l'Allemagne, fournissent également un soutien financier substantiel aux entreprises multinationales à des fins similaires.
● L'article met en évidence le paradoxe selon lequel les efforts visant à garantir l'autonomie énergétique et technologique renforcent les grandes entreprises multinationales plutôt que les États.
● Il existe aussi des aides financières indirectes fournies par le gouvernement français, telles que des bonus et des incitations à l'achat de produits tels que des panneaux solaires, qui bénéficient indirectement aux géants étrangers de ces industries.
● L'article mentionne les intentions du président Macron de promouvoir la production européenne de véhicules électriques et remet en question pourquoi la France devrait favoriser les produits fabriqués par des concurrents.
● Il souligne qu'actuellement, bien qu'il y ait une reconnaissance du problème, aucune solution claire n'existe.
● Une phrase relevée dans le corps de l'article qui dit tout : « Dans ces deux affaires, les subventions apportées par la France – sans qu’elle reçoive en retour la moindre part dans le capital – représentent 34 % des investissements. Le tout sur fond de promesses d’embauches pas vraiment alléchantes. Jugez plutôt : Chacun des 4 000 emplois attendus revient à… 1 million d’euros. »
N.D.L.R
Créer 4 000 emplois… qui reviennent chacun à un million d'euros ! Il faut s'appeler Macron pour tenter de nous faire croire que c'est un tour de force.