Malheureusement pour Macron, si les Français et les journalistes ont souvent une mauvaise mémoire, ce n'est pas le cas d'Internet.
Emmanuel Macron, le 10 février 2017: « On a un problème de dépendance parce que ce n'est pas bon d'avoir 75 % de notre énergie électrique qui dépend du nucléaire. Est-ce que le 50 % en 2025 est atteignable ? Je ne sais pas vous le dire aujourd'hui mais je veux me mettre dans cette trajectoire. »
Puis, le 27 novembre 2018 : « Concrètement, 14 réacteurs de 900 MW seront arrêtés d'ici à 2035. Ce mouvement commencera à l'été 2020 avec l'arrêt définitif des deux réacteurs de Fessenheim. Il restera alors à organiser la fermeture de 12 réacteurs entre 2025 et 2035: quatre à six réacteurs d'ici 2030, le reste entre 2030 et 2035. »
Mais, le 8 décembre 2020: Cet avenir de la filière nucléaire, il repose pour moi sur, au fond, trois lignes de force, trois convictions. La première, c'est que notre avenir énergétique et écologique passe par le nucléaire.[...] La seconde conviction, la seconde ligne de force, c'est que notre avenir économique et industriel passe également par le nucléaire.[...] Enfin, notre avenir stratégique, notre statut de grande puissance passe par la filière nucléaire. »
Et le 10 février 2022: « Pour augmenter la production électrique, il nous faut, à côté des énergies renouvelables, reprendre le fil de la grande aventure du nucléaire civil en France. »
La politique de Macron ? Tout, et son contraire.
Quand je pense qu'il y a encore des gens pour le prendre pour un génie…
Et, c'est à un moment crucial pour l'avenir de nos enfants que l'on a choisi un président incapable de voir plus loin que la prochaine élection.
Macron s'en fiche éperdument. Dans cinq ans, il repartira d'où il est venu, c'est-à-dire de la banque Rothschild. Avec un carnet d'adresses bien rempli qu'il ne manquera pas de monnayer au plus offrant.
Mais, les historiens ne l'oublieront certainement pas et lui attribueront la place qu'il mérite parmi les dirigeants qui se sont succédé depuis la dernière guerre mondiale : à savoir, la dernière.
Il a réussi l'exploit d'être plus mauvais dans cet exercice présidentiel que Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy et Hollande.
Ce n'est pas un hasard s'il a été, et sera sans doute, durant cinq prochaines années, le président de la République le plus haï des Français.
Certes ses prédécesseurs ne furent pas non plus des lumières.
Mais, aucun n'a aussi outrageusement avantagé les plus riches.
Et, aucun n'a eu l'impudence d'insulter aussi souvent les moins favorisés des Français, publiquement, et à plusieurs reprises.
Cet homme restera dans l'histoire de France une tache indélébile.
Emmanuel Macron, le 10 février 2017: « On a un problème de dépendance parce que ce n'est pas bon d'avoir 75 % de notre énergie électrique qui dépend du nucléaire. Est-ce que le 50 % en 2025 est atteignable ? Je ne sais pas vous le dire aujourd'hui mais je veux me mettre dans cette trajectoire. »
Puis, le 27 novembre 2018 : « Concrètement, 14 réacteurs de 900 MW seront arrêtés d'ici à 2035. Ce mouvement commencera à l'été 2020 avec l'arrêt définitif des deux réacteurs de Fessenheim. Il restera alors à organiser la fermeture de 12 réacteurs entre 2025 et 2035: quatre à six réacteurs d'ici 2030, le reste entre 2030 et 2035. »
Mais, le 8 décembre 2020: Cet avenir de la filière nucléaire, il repose pour moi sur, au fond, trois lignes de force, trois convictions. La première, c'est que notre avenir énergétique et écologique passe par le nucléaire.[...] La seconde conviction, la seconde ligne de force, c'est que notre avenir économique et industriel passe également par le nucléaire.[...] Enfin, notre avenir stratégique, notre statut de grande puissance passe par la filière nucléaire. »
Et le 10 février 2022: « Pour augmenter la production électrique, il nous faut, à côté des énergies renouvelables, reprendre le fil de la grande aventure du nucléaire civil en France. »
La politique de Macron ? Tout, et son contraire.
Quand je pense qu'il y a encore des gens pour le prendre pour un génie…
Et, c'est à un moment crucial pour l'avenir de nos enfants que l'on a choisi un président incapable de voir plus loin que la prochaine élection.
Macron s'en fiche éperdument. Dans cinq ans, il repartira d'où il est venu, c'est-à-dire de la banque Rothschild. Avec un carnet d'adresses bien rempli qu'il ne manquera pas de monnayer au plus offrant.
Mais, les historiens ne l'oublieront certainement pas et lui attribueront la place qu'il mérite parmi les dirigeants qui se sont succédé depuis la dernière guerre mondiale : à savoir, la dernière.
Il a réussi l'exploit d'être plus mauvais dans cet exercice présidentiel que Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy et Hollande.
Ce n'est pas un hasard s'il a été, et sera sans doute, durant cinq prochaines années, le président de la République le plus haï des Français.
Certes ses prédécesseurs ne furent pas non plus des lumières.
Mais, aucun n'a aussi outrageusement avantagé les plus riches.
Et, aucun n'a eu l'impudence d'insulter aussi souvent les moins favorisés des Français, publiquement, et à plusieurs reprises.
Cet homme restera dans l'histoire de France une tache indélébile.