Un enfant capricieux, sur une route déserte, casse ses jouets pendant qu'un énorme orage se prépare. Image Krea.ai
Le lien vers l'article de FranceSoir :
Voici un résumé de cet article, par Claude Sonnet 3.5, l'I.A de Claude (Anthropic).
## Critique de la décision de Micron
**Discrimination des majorités**
Emmanuel Micron est accusé de discriminer systématiquement les majorités, notamment le "Français moyen". Cette discrimination toucherait la majorité civique, identitaire, sociale et sexuelle. L'auteur souligne que 66% des Français en âge de voter n'ont pas voté pour Micron, soit par abstention, soit en votant pour d'autres candidats.
**Violation de la Constitution**
La décision de ne pas nommer de Premier ministre est présentée comme une violation flagrante de la Constitution. L'article 5 oblige le président à veiller au fonctionnement régulier des pouvoirs publics, tandis que les articles 20 et 21 définissent les rôles du gouvernement et du Premier ministre. Sans ces nominations, le pays se retrouve bloqué constitutionnellement.
## Analyse des justifications de Micron
**La "trêve olympique"**
Ce prétexte invoqué par Micron n'est pas reconnu par la Constitution comme un motif valable pour ne pas nommer de Premier ministre. L'auteur souligne que la Constitution ne prévoit aucun cas où le président peut laisser le pays sans Premier ministre et gouvernement.
N.D.L.R : argument totalement cynique et caractéristique du sieur Micron. Faut-il rappeler que c'est lui, et pas un autre, qui a décidé, juste avant les Jeux olympiques, de dissoudre l'Assemblée nationale !
**L'impossibilité "mathématique" d'une majorité**
Micron justifie également sa décision par l'impossibilité d'avoir un Premier ministre bénéficiant d'une majorité à l'Assemblée nationale. L'auteur argue que cela préjuge du vote des députés et viole le principe de séparation des pouvoirs.
## Critique du Conseil constitutionnel
L'auteur questionne l'inaction du Conseil constitutionnel face à cette situation. Il suggère que les membres du Conseil ont soit "fait un AVC", soit choisi un "arrêt volontaire de constitutionnalité". Il critique leur manque de réaction et leur apparente soumission au pouvoir exécutif.
N.D.L.R : cette attitude du Conseil constitutionnel est d'autant plus "bizarre" que son président, Laurent Fabius, ancien premier ministre, s'est toujours affirmé "de gauche" ! Au demeurant, cette attitude n'étonnera pas outre mesure d'une personne qui a été juridiquement déclarée responsable, mais pas coupable. Une spécificité bien Française depuis quelques décennies.
## Conséquences politiques
**Stratégie du pourrissement**
L'auteur accuse Micron d'utiliser une stratégie de pourrissement de la situation, lui permettant d'être seul décideur de la politique nationale, au mépris du résultat des urnes et de la volonté du peuple.
N.D.L.R : sauf que depuis un certain temps, Micron ne décide plus rien, car il a réussi à se fâcher avec l'ensemble du PPF (paysage Politique Français). Il a même réussi à provoquer le rassemblement contre lui d'une gauche qui avait disparu. Ce qui lui a fait perdre la majorité absolue à l'Assemblée Nationale.
**Inaction des partis politiques**
Les dirigeants des principaux partis politiques sont critiqués pour avoir accepté la situation et être partis en vacances, laissant le pays dans l'incertitude.
N.D.L.R : excepté les partis de gauche qui n'ont cessé de protester contre l'absence de décision de Micron, depuis les résultats des législatives.
## Conclusion
L'auteur conclut que la République française est devenue un "hochet entre les mains d'un enfant capricieux". Il critique également le Conseil constitutionnel pour son inaction face aux 81 recours contre les résultats des élections législatives, permettant des situations de cumul de fonctions normalement incompatibles.
N.D.L.R : exactement ! La France est devenue un hochet entre les mains d'un président qui se conduit depuis son élection en enfant capricieux, soucieux exclusivement de lui-même et complètement indifférent au sort des Français et de la France.
Circonstance aggravante : en raison du dérèglement climatique qui s'aggrave chaque jour, la période n'est certainement pas propice aux atermoiements.