N.D.L.R
Effectivement, il y aurait là énormément d'argent à récupérer.
Si on voudrait, mais on veut pas ! Comme disait Coluche.
En effet, il se trouve que les plus gros fraudeurs ont la plupart du temps de très hautes relations, qui leur permettent de se moquer de la justice fiscale, comme de leur première contravention.
Juste deux exemples :
Macron, ancien banquier d'affaires chez Rothschild. Il serait pourtant bien placé pour œuvrer très efficacement contre la fraude fiscale. Mais, il ne le fait pas. Question d'éthique sans doute.
Jean-Claude Junker, ancien président de la Commission européenne. Premier ministre du Luxembourg, paradis fiscal notoire, mais bizarrement, pas officiellement. Et pour cause, Junker a officié longtemps au plus haut sommet de l'Europe.
Ces deux seuls exemples (il en existe quantité d'autres) suffisent à démontrer que si la fraude fiscale est aussi importante en Europe (et ailleurs, mais ce n'est pas le sujet ici) c'est essentiellement parce qu'elle bénéficie de complicités au plus haut niveau.
Ce qui est dramatique, c'est que dans les milieux autorisés, comme l'on dit, tout le monde le sait, mais personne ne veut ou ne peut rien faire.
Nous vivons, parait-il dans une démocratie. En vérité, c'est une fausse démocratie, mais une vraie ploutocratie.
Dont je rappelle la définition :
"État d'une société dans lequel la majeure partie du pouvoir du gouvernement est détenu par une caste privilégiée des individus les plus riches, qui jouissent d'une influence politique et sociale disproportionnée". Larousse.
Et, la fraude fiscale, c'est l'ADN de la ploutocratie.
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