Comme dirait Monsieur le baron : c'est tellement mieux... pour nous !
Une monumentale erreur de gestion a coûté à la France des dizaines de milliards d’euros.
Le fiasco est tel qu’en comparaison, l’épouvantail du “déficit des retraites de 12 milliards d’euros”, semble ridicule.
Ce scandale stupide que nous payons tous avec nos impôts, c’est la dette indexée sur l’inflation.
N.D.L.R
Dans ces conditions, il ne faut pas s'étonner que la dette française soit très prisée par les investisseurs étrangers.
Il fut un temps où l'administration française était saluée comme une des plus performantes du monde. Mais, depuis qu'elle a été envahie par les technocrates, à la vue courte et aux dents longues (je pense à MC Kinsey et consorts) on peut constater, surtout depuis le tragique épisode de la gestion abracadabrante et mortifère de la Covid, que les choses ont bien changé, et pas dans le bon sens.
De plus, la présence à la tête de notre pays d'un transfuge de la banque Rothschild, qui ne connaissait rien à la politique, pour n'avoir jamais exercé un quelconque mandat local, et ce, pour deux quinquennats, soit 10 ans, plus quelques années en « qualité » de conseiller économique privilégié du précédent président, n'a certainement pas contribué à arranger les choses.
On ne peut gouverner notre pays comme une banque et les français ne sont pas de petits actionnaires que l'on peut gruger jusqu'à plus soif.
Ou plutôt, on peut le faire, Micron le prouve quotidiennement, mais il ne faut pas s'étonner si chaque jour qui passe les français sont plus pauvres quand les amis du président deviennent les plus riches du monde.
[Un article des Echos qui confirme l'analyse d'Osons Causer]url:https://www.lesechos.fr/economie-france/budget-fiscalite/le-cout-de-la-dette-publique-devrait-bondir-de-pres-de-20-milliards-deuros-dici-a-2027-1852499
Regardez la vidéo ici :
Le fiasco est tel qu’en comparaison, l’épouvantail du “déficit des retraites de 12 milliards d’euros”, semble ridicule.
Ce scandale stupide que nous payons tous avec nos impôts, c’est la dette indexée sur l’inflation.
N.D.L.R
Dans ces conditions, il ne faut pas s'étonner que la dette française soit très prisée par les investisseurs étrangers.
Il fut un temps où l'administration française était saluée comme une des plus performantes du monde. Mais, depuis qu'elle a été envahie par les technocrates, à la vue courte et aux dents longues (je pense à MC Kinsey et consorts) on peut constater, surtout depuis le tragique épisode de la gestion abracadabrante et mortifère de la Covid, que les choses ont bien changé, et pas dans le bon sens.
De plus, la présence à la tête de notre pays d'un transfuge de la banque Rothschild, qui ne connaissait rien à la politique, pour n'avoir jamais exercé un quelconque mandat local, et ce, pour deux quinquennats, soit 10 ans, plus quelques années en « qualité » de conseiller économique privilégié du précédent président, n'a certainement pas contribué à arranger les choses.
On ne peut gouverner notre pays comme une banque et les français ne sont pas de petits actionnaires que l'on peut gruger jusqu'à plus soif.
Ou plutôt, on peut le faire, Micron le prouve quotidiennement, mais il ne faut pas s'étonner si chaque jour qui passe les français sont plus pauvres quand les amis du président deviennent les plus riches du monde.
[Un article des Echos qui confirme l'analyse d'Osons Causer]url:https://www.lesechos.fr/economie-france/budget-fiscalite/le-cout-de-la-dette-publique-devrait-bondir-de-pres-de-20-milliards-deuros-dici-a-2027-1852499
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Le résumé de la vidéo
• La dette publique de la France indexée sur l'inflation a coûté plus de 15 milliards d'euros en 2022 et continuera à coûter des dizaines de milliards d'euros dans les années à venir.
• L'augmentation du coût de la dette publique est principalement due à la dette indexée sur l'inflation.
Une dette publique classique est remboursée avec des intérêts fixes, tandis qu'une dette indexée sur l'inflation est remboursée avec l'inflation accumulée.
• Environ 11,5 % de la dette d'État en France est indexée sur l'inflation.
• Les dettes indexées sur l'inflation permettent à l'État de bénéficier de taux d'intérêt plus bas tant que l'inflation reste inférieure à 1,4 % par an.
• L'explosion de l'inflation en France et en Europe a entraîné une augmentation considérable du coût de la dette indexée sur l'inflation.
• Les dettes indexées sur l'inflation ont déjà coûté plus de 15 milliards d'euros en 2022 et devraient coûter environ 14 milliards d'euros supplémentaires en 2023.
• Les dettes indexées sur l'inflation ont été émises en grande quantité de 2015 à 2020, malgré des taux d'intérêt bas sur la dette classique.
• Il est difficile de savoir qui détient réellement ces dettes, mais de nombreux acheteurs étrangers sont impliqués.
• Les justifications selon lesquelles ces dettes protègent les petits épargnants et permettent de maintenir les taux du livret A et de l'assurance-vie sont remises en question.
• Les dettes indexées sur l'inflation sont considérées comme un échec et une erreur de gestion monumentale.
• L'inflation continue aura un impact financier négatif croissant sur ces dettes à l'avenir.
• L'augmentation du coût de la dette publique est principalement due à la dette indexée sur l'inflation.
Une dette publique classique est remboursée avec des intérêts fixes, tandis qu'une dette indexée sur l'inflation est remboursée avec l'inflation accumulée.
• Environ 11,5 % de la dette d'État en France est indexée sur l'inflation.
• Les dettes indexées sur l'inflation permettent à l'État de bénéficier de taux d'intérêt plus bas tant que l'inflation reste inférieure à 1,4 % par an.
• L'explosion de l'inflation en France et en Europe a entraîné une augmentation considérable du coût de la dette indexée sur l'inflation.
• Les dettes indexées sur l'inflation ont déjà coûté plus de 15 milliards d'euros en 2022 et devraient coûter environ 14 milliards d'euros supplémentaires en 2023.
• Les dettes indexées sur l'inflation ont été émises en grande quantité de 2015 à 2020, malgré des taux d'intérêt bas sur la dette classique.
• Il est difficile de savoir qui détient réellement ces dettes, mais de nombreux acheteurs étrangers sont impliqués.
• Les justifications selon lesquelles ces dettes protègent les petits épargnants et permettent de maintenir les taux du livret A et de l'assurance-vie sont remises en question.
• Les dettes indexées sur l'inflation sont considérées comme un échec et une erreur de gestion monumentale.
• L'inflation continue aura un impact financier négatif croissant sur ces dettes à l'avenir.