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L’Elysée a annoncé ce mardi 15 octobre ne pas demander de hausse de sa dotation pour 2025 après la polémique suscitée par l’augmentation de son budget, assurant vouloir « donner l’exemple » comme l’Assemblée nationale et le Sénat, qui renonceront également à leurs augmentations de crédits.Un article de Msn que vous trouverez plus loin dans cet article
N.D.L.R
Le culot de cet homme est abyssal. La copie de mon post sur Facebook lorsque j'ai partagé cette information.
"Quant à Micron, avec plus de 120 millions par an pour son seul train de vie, il a encore des progrès à faire.
Surtout maintenant qu'il ne lui reste plus que l'inauguration des chrysanthèmes dans son agenda. Parce que son image internationale est aussi peu reluisante que son image nationale.
Comme à son habitude, il se croit important à l'étranger alors que le monde entier se moque de lui ou ne peut plus le supporter.
A l'étranger, ils savent compter : un président avec 3 300 milliards d'euros de dette, cela ne risque pas de les impressionner
Et, si en plus, il joue les Jupiter au petit pied..."
Pour les détails sur l'ampleur du foutage de gueule de l'intéressé (ô combien) à propos de "ses menues dépenses d'intendance" regardez la vidéo jointe à cet article. Vous serez édifié. Et, en plus, il prétend donner l'exemple.
Annexe :
J'ai posé la question des dépenses de l'Élysée à Sonnet 3.5. Voici sa réponse ultime après que j'ai attiré son attention sur des détails qu'il ignorait de prime abord.
Vous soulevez des points intéressants concernant les dépenses de l'Élysée et la gestion budgétaire de la présidence française. Voici une analyse nuancée de la situation :
## Comparaison avec d'autres pays européens
Il est vrai que certains pays du nord de l'Europe ont adopté un style de gouvernance plus sobre :
- Dans les monarchies constitutionnelles comme la Suède ou le Danemark, les chefs d'État ont effectivement un train de vie moins fastueux.
- Aux Pays-Bas, le Premier ministre se déplace souvent à vélo.
Cependant, il faut noter que la France a une tradition républicaine différente, avec un rôle présidentiel plus central et protocolaire.
## Utilisation du château de Versailles
L'usage du château de Versailles pour des réceptions d'État fait partie de la diplomatie française. Néanmoins, ces événements soulèvent des questions légitimes :
- Le coût élevé de ces réceptions, comme le dîner pour le roi Charles III estimé à 38 000 euros par convive[3].
- La pertinence de telles dépenses dans un contexte de déficit public important.
## Évolution récente du budget de l'Élysée
Les chiffres montrent une augmentation constante des dépenses :
- En 2023, le budget alloué était de 122,6 millions d'euros[1].
- Les dépenses réelles ont atteint 124,2 millions d'euros, créant un déficit de 8,3 millions d'euros[7].
La décision récente de renoncer à l'augmentation prévue pour 2025 (de 122,6 à 125,7 millions d'euros) peut effectivement être perçue comme insuffisante face aux critiques[6].
## Contrôle du budget présidentiel
Le contrôle du budget de l'Élysée s'est amélioré ces dernières années :
- La Cour des comptes effectue un audit annuel des comptes de la présidence[5].
- Le budget est désormais public et soumis à un examen parlementaire.
Cependant, des dépassements budgétaires récurrents sont constatés, ce qui soulève des questions sur l'efficacité de ce contrôle.
## Contexte économique global
Il est important de replacer ces dépenses dans le contexte économique français :
- La dette publique française atteint effectivement des niveaux préoccupants.
- Le gouvernement demande des efforts budgétaires à de nombreux secteurs[2].
Dans ce contexte, les dépenses de l'Élysée, bien que relativement modestes par rapport au budget global de l'État, peuvent être perçues comme symboliquement importantes.
En conclusion, bien que des efforts de transparence aient été faits, la gestion budgétaire de l'Élysée reste un sujet de débat. La décision de ne pas augmenter le budget pour 2025 peut être vue comme un geste insuffisant face aux attentes de sobriété dans un contexte économique tendu. Une réflexion plus approfondie sur le train de vie présidentiel et son adéquation avec les réalités économiques du pays pourrait être nécessaire.
Sources :
Lire l'article de Msn ici
N.D.L.R
Le culot de cet homme est abyssal. La copie de mon post sur Facebook lorsque j'ai partagé cette information.
"Quant à Micron, avec plus de 120 millions par an pour son seul train de vie, il a encore des progrès à faire.
Surtout maintenant qu'il ne lui reste plus que l'inauguration des chrysanthèmes dans son agenda. Parce que son image internationale est aussi peu reluisante que son image nationale.
Comme à son habitude, il se croit important à l'étranger alors que le monde entier se moque de lui ou ne peut plus le supporter.
A l'étranger, ils savent compter : un président avec 3 300 milliards d'euros de dette, cela ne risque pas de les impressionner
Et, si en plus, il joue les Jupiter au petit pied..."
Pour les détails sur l'ampleur du foutage de gueule de l'intéressé (ô combien) à propos de "ses menues dépenses d'intendance" regardez la vidéo jointe à cet article. Vous serez édifié. Et, en plus, il prétend donner l'exemple.
Annexe :
J'ai posé la question des dépenses de l'Élysée à Sonnet 3.5. Voici sa réponse ultime après que j'ai attiré son attention sur des détails qu'il ignorait de prime abord.
Vous soulevez des points intéressants concernant les dépenses de l'Élysée et la gestion budgétaire de la présidence française. Voici une analyse nuancée de la situation :
## Comparaison avec d'autres pays européens
Il est vrai que certains pays du nord de l'Europe ont adopté un style de gouvernance plus sobre :
- Dans les monarchies constitutionnelles comme la Suède ou le Danemark, les chefs d'État ont effectivement un train de vie moins fastueux.
- Aux Pays-Bas, le Premier ministre se déplace souvent à vélo.
Cependant, il faut noter que la France a une tradition républicaine différente, avec un rôle présidentiel plus central et protocolaire.
## Utilisation du château de Versailles
L'usage du château de Versailles pour des réceptions d'État fait partie de la diplomatie française. Néanmoins, ces événements soulèvent des questions légitimes :
- Le coût élevé de ces réceptions, comme le dîner pour le roi Charles III estimé à 38 000 euros par convive[3].
- La pertinence de telles dépenses dans un contexte de déficit public important.
## Évolution récente du budget de l'Élysée
Les chiffres montrent une augmentation constante des dépenses :
- En 2023, le budget alloué était de 122,6 millions d'euros[1].
- Les dépenses réelles ont atteint 124,2 millions d'euros, créant un déficit de 8,3 millions d'euros[7].
La décision récente de renoncer à l'augmentation prévue pour 2025 (de 122,6 à 125,7 millions d'euros) peut effectivement être perçue comme insuffisante face aux critiques[6].
## Contrôle du budget présidentiel
Le contrôle du budget de l'Élysée s'est amélioré ces dernières années :
- La Cour des comptes effectue un audit annuel des comptes de la présidence[5].
- Le budget est désormais public et soumis à un examen parlementaire.
Cependant, des dépassements budgétaires récurrents sont constatés, ce qui soulève des questions sur l'efficacité de ce contrôle.
## Contexte économique global
Il est important de replacer ces dépenses dans le contexte économique français :
- La dette publique française atteint effectivement des niveaux préoccupants.
- Le gouvernement demande des efforts budgétaires à de nombreux secteurs[2].
Dans ce contexte, les dépenses de l'Élysée, bien que relativement modestes par rapport au budget global de l'État, peuvent être perçues comme symboliquement importantes.
En conclusion, bien que des efforts de transparence aient été faits, la gestion budgétaire de l'Élysée reste un sujet de débat. La décision de ne pas augmenter le budget pour 2025 peut être vue comme un geste insuffisant face aux attentes de sobriété dans un contexte économique tendu. Une réflexion plus approfondie sur le train de vie présidentiel et son adéquation avec les réalités économiques du pays pourrait être nécessaire.
Sources :
[2]https://www.economie.gouv.fr/daj/lettre-de-la-daj-cour-des-comptes-rapport-public-annuel-202
[4] https://fr.wikipedia.org/wiki/Budget_de_l'%C3%89tat_fran%C3%A7ais_en_2024
Lire l'article de Msn ici
E. Macron : un grand pervers à l'Elyzée