Tellement mégalomane qu'il s'est dissous tout seul...
Introduction de Blast
« Coup d’État », « dictature », « illibéralisme », des qualificatifs que l’on entend, par-ci par-là, depuis la dissolution surprise décidée par Emmanuel Macron à la suite des élections européennes. Et, d'autant plus, depuis la nomination de Michel Barnier en qualité de premier ministre, homme pourtant issu d’une formation très minoritaire à l’Assemblée nationale.
Alors, qu’en est-il ? La constitutionnaliste Eugénie Mérieau propose un pas de côté. Bien que toute cette « séquence » soit conforme, si on suit la lettre, à la Constitution de la Vᵉ République, encore faut-il s’intéresser à la nature même de cette dernière. Et, remonter à la manière dont, dès l’annonce de sa mise en place, la Vᵉ République s’inscrit dans une logique de coup d'État.
Par conséquent, et peut-être surtout, voir un peu au-delà : comprendre comment l'état d'urgence permanent, notamment sous la présidence d’Emmanuel Macron, a subverti l’État de droit en profondeur. Ainsi, la France n’a aujourd’hui rien à envier aux pays voisins qualifiés, parfois avec un certain dédain, « d’illibéraux ».
N.D.L.R : comme une dictature, par exemple.
Je l'ai déjà écrit ici : la démocratie est sans avenir. Elle est déjà bien malade, même dans certains pays d'Europe, mais avec lé dérèglement climatique que la plupart des États laissent se développer et que la plupart des citoyens ignorent (s'il s'y intéressaient vraiment, les politiques seraient bien obligés d'en parler, au moins à l'occasion des campagnes électorales), les politiques attendent que la situation soit catastrophique pour imposer alors des mesures qu'ils seraient bien incapables de mettre en œuvre aujourd'hui.
En période de fin du monde, la démocratie n'est plus la meilleure façon de gouverner les hommes. La parole restera aux dictateurs et à leur bras armé : les militaires.
Après avoir regardé cette vidéo, vous trouverez en fichier PDF attaché à cet article, le résumé par ChatGPT 4 o, la dernière intelligence artificielle d'OpenAI, fournie également désormais par Perplexity.ai. Pour le même prix.
« Coup d’État », « dictature », « illibéralisme », des qualificatifs que l’on entend, par-ci par-là, depuis la dissolution surprise décidée par Emmanuel Macron à la suite des élections européennes. Et, d'autant plus, depuis la nomination de Michel Barnier en qualité de premier ministre, homme pourtant issu d’une formation très minoritaire à l’Assemblée nationale.
Alors, qu’en est-il ? La constitutionnaliste Eugénie Mérieau propose un pas de côté. Bien que toute cette « séquence » soit conforme, si on suit la lettre, à la Constitution de la Vᵉ République, encore faut-il s’intéresser à la nature même de cette dernière. Et, remonter à la manière dont, dès l’annonce de sa mise en place, la Vᵉ République s’inscrit dans une logique de coup d'État.
Par conséquent, et peut-être surtout, voir un peu au-delà : comprendre comment l'état d'urgence permanent, notamment sous la présidence d’Emmanuel Macron, a subverti l’État de droit en profondeur. Ainsi, la France n’a aujourd’hui rien à envier aux pays voisins qualifiés, parfois avec un certain dédain, « d’illibéraux ».
N.D.L.R : comme une dictature, par exemple.
Je l'ai déjà écrit ici : la démocratie est sans avenir. Elle est déjà bien malade, même dans certains pays d'Europe, mais avec lé dérèglement climatique que la plupart des États laissent se développer et que la plupart des citoyens ignorent (s'il s'y intéressaient vraiment, les politiques seraient bien obligés d'en parler, au moins à l'occasion des campagnes électorales), les politiques attendent que la situation soit catastrophique pour imposer alors des mesures qu'ils seraient bien incapables de mettre en œuvre aujourd'hui.
En période de fin du monde, la démocratie n'est plus la meilleure façon de gouverner les hommes. La parole restera aux dictateurs et à leur bras armé : les militaires.
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