Sous la pression des compagnies de réassurance, les assurances professionnelles et industrielles en responsabilité civile (R.C.) ont assorti leurs polices de clauses d'exclusions. Voici quelles sont ces clauses :
- - "les dommages causés par tout fait ou succession de faits de même origine, dès lors que ce fait ou ces faits ou certains des dommages causés proviennent ou résultent de toute source de radiations ionisantes, des propriétés radioactives, toxiques, explosives ou autres propriétés dangereuses des combustibles nucléaires, produits ou déchets radioactifs;
- - les dommages immatériels non consécutifs;
- tous les dommages, pertes ou dépenses de quelque nature que ce soit, causés directement ou indirectement par, résultant de ou lié de quelque manière que ce soit aux organismes génétiquement modifiés (OGM);
- tous les dommages, pertes ou dépenses de quelque nature que ce soit, causés directement ou indirectement par, résultant de ou lié de quelque manière que ce soit à l'encéphalopathie spongiforme transmissible (TSE) en ce compris dans sa manifestation chez l'homme."
Les compagnies d'assurances appliquent-elles le principe de précaution ?
Source : http://www.equilibrehabitatsante.com
N.D.L.R
Pour les compagnies d'assurances, aucun doute, les ondes électro-magnétiques peuvent être dangereuses.
Pour les États en revanche, on ne veut pas entendre parler du principe de précaution dans ce domaine.
A votre avis pourquoi ?
Comme toujours, parce qu'il y a trop d'argent en jeu !
Dans 5, 10, ou 20 ils nous diront qu'ils sont peut être responsables mais certainement pas coupables. Alors que les sonnettes d'alarme ont résonné depuis longtemps.
Par ailleurs cela ne risque pas de s'arranger à l'avenir car les ondes qui nous entourent en permanence sont de plus en plus puissantes et de plus en plus nombreuses.
"Gouverner, c'est prévoir " écrivait Emile de Girardin, l'inventeur de la presse moderne, au 19 ème siècle.
Au 21ème siècle, la devise c'est : gouverner, c'est assurer, encore et toujours, la primauté de l'argent sur l'humain.