4 techniques scientifiquement prouvées pour baisser votre hypertension sans médicament !

Tout d'abord, il faut savoir que l'hypertension artérielle (HTA) est, d'une part, très répandue dans la population (dans le monde, près d'un adulte sur trois en soufre) et d'autre part, très dangereuse. 

L’hypertension artérielle (HTA) est un facteur de risque majeur pour de nombreuses maladies chroniques, et sa prévalence dans le monde en fait un problème de santé publique de premier ordre. Voici un panorama de son importance dans l’ensemble des maladies :

### **1. Maladies cardiovasculaires**
L’HTA est l’un des principaux contributeurs :
- **Infarctus du myocarde (crise cardiaque)** : Une pression artérielle élevée provoque une surcharge du cœur, augmentant le risque de blocages artériels.
- **Accident vasculaire cérébral (AVC)** : L’HTA favorise les lésions des vaisseaux cérébraux, à l’origine d’AVC ischémiques ou hémorragiques.
- **Insuffisance cardiaque** : l'hypertension chronique affaiblit le muscle cardiaque en le surmenant.

### **2. Insuffisance rénale**
Les reins sont particulièrement vulnérables à l’HTA, car une pression trop élevée endommage les vaisseaux sanguins rénaux. Cela peut évoluer vers une insuffisance rénale chronique.

### **3. Maladies neurodégénératives**
L’HTA augmente le risque de démences, notamment la maladie d’Alzheimer, en raison de l’impact sur les petits vaisseaux cérébraux (atteinte microvasculaire).

### **4. Problèmes de vision**
L’hypertension provoque des lésions aux vaisseaux rétiniens, entraînant une rétinopathie hypertensive. Dans les cas graves, cela peut conduire à la cécité.

### **5. Facteur silencieux mais global**
- Souvent asymptomatique, l’HTA est surnommée le « tueur silencieux ». Sans traitement, elle agit en coulisse, aggravant de nombreux troubles avant que les symptômes ne se manifestent.
- Sa prévalence mondiale est alarmante : près de **1 adulte sur 3** en souffre, et beaucoup l’ignorent.

### **6. Interactions avec d’autres maladies**
- **Diabète** : L’hypertension et le diabète coexistent fréquemment, renforçant leurs effets néfastes respectifs.
- **Syndrome métabolique** : Associée à l’obésité, l’HTA amplifie les risques généraux de maladies chroniques.

### **Conclusion**
L’HTA, bien qu’elle soit une maladie en soi, est surtout un **amplificateur d'autres maladies**. Réduire son impact est l’un des leviers les plus puissants pour améliorer l’espérance de vie et la qualité de vie générale. 
Source : ChatGPT

Pour lutter contre l'hypertension la première chose à faire est de s'informer sur cette maladie, ce que vous faites en ce moment et surveiller soi-même sa tension avec l'aide des nombreux tensiomètres que l'on trouve maintenant dans les commerces en ligne et dans les pharmacies  (c'est plus cher, mais on pourra vous aider parce qu'il existe de nombreuses façons de mal prendre sa tension.) 

Dernière nouveauté, il existe depuis peu une smartwatch capable de prendre votre tension, avec un airbag sous le cadran, avec des résultats fiables.  C'est la D2  de Huawei. J'en ai acheté une et j'en suis très satisfait. D'autant qu'elle fait aussi beaucoup d'autres choses, y compris en matière de santé.

À propos de l'autosurveillance de la tension artérielle, j'ai entendu un médecin spécialiste affirmer très récemment, elle a contribué largement à diminuer de façon significative les dégâts de la HTA. 

Pour illustrer le caractère sournois de la HTA, ma mère est morte d'un AVC à l'âge de 67 ans alors que par ailleurs, c'était une femme très vivante et très active.L'entourage et moi-même n'ont absolument rien compris à son décès, car il fut brutal et nous surprit tous. Aujourd'hui, j'ai compris que cet AVC était vraisemblablement dû à l'hypertension artérielle et éventuellement à ce qui se cachait derrière cette hypertension.

Ainsi, retenez bien que l'on peut avoir l'air ou peut-être même être en apparente parfaite santé et avoir de l'hypertension artérielle due la plupart du temps au stress, qui est une des maladies chroniques la plus répandue de ces dernières décennies.

La vidéo ci-après va vous montrer, après qu'une méta-ananyse de 2019 l'a démontré, comment les exercices physiques peuvent être plus efficaces que les médicaments pour réduire l'hpertension.

La raison pour laquelle il ne faut pas se précipiter chez le médecin dès que l'on apprend qu'on a de la tension est la suivante. Certes, les médecins ont à leur disposition quantité de médicaments contre l'hypertension.

L'inconvénient, c'est que tous les médicaments ont des effets indésirables, c'est-à-dire nocifs pour l'organisme. (*voir la note à la fin de l'article) Surtout ce genre de médicaments, quand on les prend tout le temps et pour les personnes âgées, jusqu'à la mort.

Naguère, c'était la seule façon de soigner l'hypertension. Aujourd'hui, les médecins veulent bien reconnaître  qu'il existe de nombreuses solutions naturelles pour faire baisser l'hypertension. 

Mais, si vous êtes plutôt en bonne santé, si vous ne souffrez pas de comorbidités, autrement dit de maladies déjà graves, si vous avez toujours la pêche, même à un âge avancé, et si vous ne souffrez pas déjà d'une hypertension grave à savoir, au-delà de 160, il n'est pas nécessaire d'aller chez le docteur immédiatement. 

Essayez de continuer et même d'améliorer encore votre mode de vie, surveillez régulièrement votre tension, et cela suffira à ramener votre tension à des chiffres tolérables.

J'ai écrit récemment un article au sujet de l'hypertension en indiquant que les chiffres tolérables de l'hypertension avaient été largement abaissés depuis 2018.  Il est intitulé : l'hypertension artérielle : des normes en baisse, mais est-ce uniquement dans l’intérêt des malades ?  Vous le trouverez ici : 

Depuis j'ai lu beaucoup d'articles, regardé beaucoup de vidéos sur l'hypertension et découvert qu'il existait beaucoup de façon de faire baisser naturellement cette HTA.

Il en existe même tellement et ils sont tellement efficaces quand on les applique durablement que je me demande si la décision des Américains en 2018 de baisser notablement les normes en matière de pression artérielle « normale » ne serait pas due au fait que « les malades en puissance »  ont pris conscience, avec les potentiomètres en vente en ligne à prix tout a fait abordable (20 € pour les moins chers), de la gravité des conséquences de l'HTA et pris les mesures adéquates pour la réduire naturellement. 

Certains ne vont pas manquer de penser que je vois le mal partout. Je leur répondrai que Big Pharma, depuis toujours, voit, elle, le fric partout. Et, sait très bien comment faire pour aller le chercher.

Elle va même, comme vous le démontrera un article très prochain, jusqu'à inventer des maladies lorsqu'elle manque d'idées pour de nouveaux médicaments. Et, jusqu'à soigner ces maladies qui n'existent pas avec de vieux médicaments affublés de nouveaux noms.

Vous trouverez, comme d'habitude, en fichier PDF annexé un résumé très complet d  l'intelligence artificielle Recall.ai.


*Note: Les effets nocifs des médicaments contre l'hypertension. Les médicaments antihypertenseurs sont essentiels pour contrôler la pression artérielle et prévenir des complications graves. Cependant, ils peuvent entraîner des effets secondaires, variables selon les classes de médicaments et les individus. Voici un aperçu des principaux types d'antihypertenseurs et de leurs effets indésirables les plus fréquents :

Diurétiques thiazidiques : Ces médicaments favorisent l'élimination de l'eau et du sel par les reins, réduisant ainsi le volume sanguin. Effets secondaires possibles :
​

• Crampes musculaires
• Faiblesse
• Sécheresse de la bouche
• Étourdissements
• Maux de tête
• Nausées

   
Bêtabloquants : Ils diminuent la fréquence cardiaque et la force de contraction du cœur. Effets secondaires possibles :

• Fatigue
• Pieds et mains froids
• Ralentissement du rythme cardiaque
• Troubles digestifs
• Troubles du sommeil
• Troubles de l’érection

   
Inhibiteurs de l'enzyme de conversion (IEC) : Ils bloquent la production d'angiotensine II, une hormone qui augmente la pression artérielle. Effets secondaires possibles :

• Toux sèche
• Insuffisance rénale
• Éruptions cutanées
• Altération de la fonction rénale ou hépatique
• Fatigue
• Céphalées
• Troubles digestifs

   
Antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II (ARA II) : Ils bloquent l'action de l'angiotensine II. Effets secondaires possibles :

• Hyperkaliémie (taux élevé de potassium)
• Hypotension artérielle
• Insuffisance rénale fonctionnelle

   
Inhibiteurs calciques : Ils empêchent le calcium de pénétrer dans les cellules musculaires des vaisseaux sanguins, entraînant leur relaxation. Effets secondaires possibles :

• Œdème (gonflement) des pieds et des chevilles
• Tachycardie ou bradycardie
• Troubles digestifs
• Vertiges
• Fatigue
• Rougeur du visage

 
Antihypertenseurs centraux : Ils agissent sur le système nerveux central pour abaisser la pression artérielle. Effets secondaires possibles :

• Troubles de l'érection
• Diminution de la libido

  Il est important de noter que tous les patients ne ressentent pas ces effets secondaires, et leur intensité peut varier. Si vous éprouvez des effets indésirables gênants ou persistants, il est recommandé de consulter votre médecin. Ne modifiez jamais ou n'arrêtez pas votre traitement sans avis médical, car cela pourrait compromettre le contrôle de votre hypertension.

Source : ChatGPT

Comme d'habitude, vous trouverez dans un fichier PDF attaché au présent article un résumé de la vidéo par ChatGPT

J'ai demandé à Perplexity son avis sur la meta-analyse, dont il question dans cette video, qui a prouvé que les exercices physiques sont plus efficaces que les médicaments. Je précise que Perplexity avait dans un premier temps complètement omis cet important détail. Après que je lui ai rappelé cet important détail, elle a refait son résumé.

 Voici le résumé rectifié de Perplexity.

Vous avez raison de souligner l'importance de cette méta-analyse et ses implications potentielles pour l'industrie pharmaceutique et la pratique médicale. Voici quelques points clés à considérer :

Résultats de la méta-analyse

La méta-analyse de 2019 publiée dans le British Journal of Sports Medicine a effectivement démontré que :

• Chez les populations hypertendues (≥140 mmHg), il n'y avait pas de différence détectable entre les effets des médicaments antihypertenseurs et ceux de l'exercice d'endurance ou de résistance dynamique sur la réduction de la pression artérielle systolique.
• L'exercice a réduit la pression artérielle systolique de 8,96 mmHg en moyenne chez les populations hypertendues, un effet comparable à celui des médicaments.

Implications pour l'industrie pharmaceutique

Ces résultats pourraient effectivement être perçus comme une "bombe" pour les fabricants de médicaments antihypertenseurs, car ils suggèrent qu'une alternative non-médicamenteuse pourrait être aussi efficace que leurs produits.

Impact sur la pratique médicale