Cliquer ici pour regarder une passionnante émission de France 5, très bien faite, sur ce sujet :
Voici une autre vidéo sur ce sujet, par Michel de Lorgerie, un spécialiste de la question que l'on voit dans l'émission de France 5 mais qui n'a pas été invité au débat. Et pourtant, ce qu'il dit est passionnant. Il est sûr que l'émission a été très objective et qu'il était difficile d'inviter au débat un des plus farouches opposants des statines. D'autant qu'aucun représentant de l'industrie pharmaceutique, qui s'est gavée avec cette molécule depuis des années, n'a souhaité participer au débat.
N.D.L.R
Bravo à l'émission de France, donc à Michel Cymes et Marina Carrère d'Encausse !
Il n'y a pas de mystère : les deux animateurs sont médecins tous les deux !
Bravo à Michel de Lorgerie pour son combat acharné contre, encore une fois, les dérives de l'industrie pharmaceutique.
Je l'ai toujours dit ; la santé est un domaine trop important pour être laissé à des industriels.
Par définition, cette industrie n'a aucun intérêt à produire des médicaments qui nous guérissent rapidement et de la façon la plus complète possible. Elle a même des motivations très exactement opposées. Les preuves nous en sont administrées tous les jours. Ce qui ne l'empêchera aucunement de prospérer tant que nous vivrons sous l'empire du fric.
Bravo à l'émission de France, donc à Michel Cymes et Marina Carrère d'Encausse !
Il n'y a pas de mystère : les deux animateurs sont médecins tous les deux !
Bravo à Michel de Lorgerie pour son combat acharné contre, encore une fois, les dérives de l'industrie pharmaceutique.
Je l'ai toujours dit ; la santé est un domaine trop important pour être laissé à des industriels.
Par définition, cette industrie n'a aucun intérêt à produire des médicaments qui nous guérissent rapidement et de la façon la plus complète possible. Elle a même des motivations très exactement opposées. Les preuves nous en sont administrées tous les jours. Ce qui ne l'empêchera aucunement de prospérer tant que nous vivrons sous l'empire du fric.