Cela devient une spécialité très rare en France.
En l’espace d’une décennie, entre les années 2007 et 2017, le nombre de gynécologues médicaux (spécialisés dans les problèmes hormonaux, la contraception, la stérilité, le diagnostic de tumeur, la ménopause…) a chuté de 41,6 % dans l’Hexagone, selon une enquête du journal Le Monde parue mercredi soir.
Ces praticiens ne sont plus, aujourd’hui, que 1 136 en France pour 28 millions de femmes âgées de plus de 16 ans. Et ils pourraient n’être que 531 en 2025 contre 1 648 en 2010.
L’origine de cette situation ? La décision des pouvoirs publics de ne plus former de spécialistes de la santé des femmes entre 1987 et 2003, "afin de s’aligner sur les formations des autres pays européens".
Lire l'article de Ouest-France ici :
En l’espace d’une décennie, entre les années 2007 et 2017, le nombre de gynécologues médicaux (spécialisés dans les problèmes hormonaux, la contraception, la stérilité, le diagnostic de tumeur, la ménopause…) a chuté de 41,6 % dans l’Hexagone, selon une enquête du journal Le Monde parue mercredi soir.
Ces praticiens ne sont plus, aujourd’hui, que 1 136 en France pour 28 millions de femmes âgées de plus de 16 ans. Et ils pourraient n’être que 531 en 2025 contre 1 648 en 2010.
L’origine de cette situation ? La décision des pouvoirs publics de ne plus former de spécialistes de la santé des femmes entre 1987 et 2003, "afin de s’aligner sur les formations des autres pays européens".
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