N.D.L.R
J'ai pratiqué le Fasting durant 5 années, de 70 à 75 ans (j'en ai maintenant 76).
Je jeûnais du repas du soir à 14-15 h le lendemain, soit 18 h de jeûne. Et pas de petit déjeuner !
Je faisais un petit brunch à 14 ou 15 h : 1 kiwi, 2 œufs au plat, du pain, du fromage et un (solide, mais sans charcuterie et sans alimentation préparée) diner vers 18-19 h.
Dans ces conditions, j'avais le temps de digérer, car, je me couche très rarement avant minuit-1 h du matin. C'est normal, je suis retraité donc je n'ai aucune raison d'être fatigué.
De l'âge de 30 ans à l'âge de 70 ans, mon poids a toujours fait le yoyo, de 80 à 95 kg, pour 1,80 m. J'ai toujours été un gros mangeur, mais heureusement, j'ai toujours fait du sport. Et, vu les quantités que j'étais capable d'ingurgiter, beaucoup de sport.
Avec le régime intermittent et durant 5 années, j'ai retrouvé mon poids de forme, de 72 à 74 kg. Et, mon métabolisme, perturbé depuis 45 ans (avant 30 ans, je ne buvais pas du tout), a été rétabli de façon durable : mon poids ne bougeait plus à quelques centaines de grammes près.
L'année dernière, il se trouve qu'au mois de septembre, j'ai fait un stage de « jeûne+randonnée » c'est-à-dire, une semaine sans rien manger sauf un bol de légumes très léger le soir, et nonobstant, 10 à 15 km par jour de marche dans la forêt avoisinante.
J'étais déjà à mon poids de forme avant de faire ce stage. J'ai alors perdu 5 à 6 kg que j'ai eu par la suite toutes les peines du monde à retrouver. À tel point que j'ai décidé d'arrêter le jeune intermittent strict que je pratiquais depuis cinq ans. Et, même, de faire un petit régime pour grossir ! Mince d'accord, maigre jamais.
Ainsi, depuis près d'un an, j'ai recommencé à déjeuner : 3 minicroissants et un kiwi (!) mais à 10 h seulement le matin, ce qui me fait tout de même un jeûne de 12 à 13 h, avec toujours mon petit brunch vers 14, 15 h, et un repas, toujours solide, le soir, vers 19 h. Cela n'a effectivement plus rien à voir avec mon Fasting strict durant cinq ans, mais avec les exercices physiques que je continue à pratiquer au quotidien, cela suffit pour conserver un bon métabolisme.
Évidemment depuis un an, je surveille attentivement mon poids qui ne change pas été reste stable, entre 72 et 74 kg.
Je précise que je continue à faire, chaque jour, de 3 à 10 km de marche rapide, chaque jour. Et, comme d'habitude, toutes les occasions sont bonnes pour moi de faire un peu d'exercice, c'est-à-dire :
Finalement, grâce à mon jeune intermittent et mon stage de « jeûne randonnée » je continue à mon âge avancé de bénéficier toujours d'un excellent métabolisme.
S'il advenait que je reprenne du poids un jour je ne manquerais pas de me remettre au "fasting" et au « jeune+randonnée.»
La vidéo
Résumé, par ChatGPT, avec mes indications détaillées
Voici un résumé d'une page qui tient compte des concepts précédemment abordés, en mettant l'accent sur les nouvelles recherches dans le domaine du jeûne intermittent et les modifications apportées par JB à son régime intermittent.
La gestion de la glycémie et du glucose joue un rôle crucial dans notre bien-être général et peut avoir un impact significatif sur la perte de poids. Comprendre ces concepts est essentiel pour adopter des choix alimentaires et un mode de vie sains. Lorsque nous consommons des aliments riches en glucides, notre système digestif les décompose en glucose, qui est libéré dans notre sang, formant ainsi la glycémie.
Certains aliments provoquent une augmentation rapide de la glycémie, tandis que d'autres sont digérés plus lentement, entraînant une augmentation progressive de la glycémie. Une glycémie élevée peut avoir des conséquences néfastes sur notre santé et notre poids, notamment une résistance à l'insuline, une prise de poids et des fringales fréquentes.
Pour maintenir une glycémie stable et favoriser la perte de poids, différentes approches peuvent être utilisées. L'exercice physique régulier est l'un des moyens les plus efficaces de réguler la glycémie en utilisant le glucose comme source d'énergie.
Le jeûne intermittent est une autre approche populaire pour maintenir une glycémie stable. Cette pratique implique d'alterner des périodes de jeûne avec des périodes de repas. En réduisant la fréquence des repas, on peut éviter les fluctuations brusques de la glycémie et permettre à notre corps de devenir plus efficace dans l'utilisation du glucose.
De récentes recherches dans le domaine du jeûne intermittent ont montré des résultats prometteurs. Ces études suggèrent que le jeûne intermittent peut non seulement aider à maintenir une glycémie stable, mais également avoir des effets positifs sur la perte de poids, la santé métabolique et la longévité.
Ces nouvelles recherches ont également influencé JB dans la modification de son régime intermittent. Ayant pris connaissance des bienfaits potentiels du jeûne intermittent, JB a décidé d'ajouter des périodes de jeûne plus longues à son régime, en espaçant davantage ses repas. Cela lui a permis de réduire les fluctuations de sa glycémie, de contrôler son appétit et de favoriser une perte de poids plus efficace.
Il est important de noter que le jeûne intermittent n'est pas adapté à tout le monde. Il est recommandé de consulter un professionnel de la santé avant d'entreprendre un tel régime, en particulier pour les personnes ayant des problèmes de santé préexistants ou prenant des médicaments.
En conclusion, la gestion de la glycémie et du glucose est essentielle pour notre santé et notre poids. Le jeûne intermittent peut être une approche efficace pour maintenir une glycémie stable et favoriser la perte de poids, en fonction des dernières recherches. Cependant, il est important de prendre en compte les besoins individuels et de consulter un professionnel de la santé avant de modifier son régime alimentaire.
J'ai pratiqué le Fasting durant 5 années, de 70 à 75 ans (j'en ai maintenant 76).
Je jeûnais du repas du soir à 14-15 h le lendemain, soit 18 h de jeûne. Et pas de petit déjeuner !
Je faisais un petit brunch à 14 ou 15 h : 1 kiwi, 2 œufs au plat, du pain, du fromage et un (solide, mais sans charcuterie et sans alimentation préparée) diner vers 18-19 h.
Dans ces conditions, j'avais le temps de digérer, car, je me couche très rarement avant minuit-1 h du matin. C'est normal, je suis retraité donc je n'ai aucune raison d'être fatigué.
De l'âge de 30 ans à l'âge de 70 ans, mon poids a toujours fait le yoyo, de 80 à 95 kg, pour 1,80 m. J'ai toujours été un gros mangeur, mais heureusement, j'ai toujours fait du sport. Et, vu les quantités que j'étais capable d'ingurgiter, beaucoup de sport.
Avec le régime intermittent et durant 5 années, j'ai retrouvé mon poids de forme, de 72 à 74 kg. Et, mon métabolisme, perturbé depuis 45 ans (avant 30 ans, je ne buvais pas du tout), a été rétabli de façon durable : mon poids ne bougeait plus à quelques centaines de grammes près.
L'année dernière, il se trouve qu'au mois de septembre, j'ai fait un stage de « jeûne+randonnée » c'est-à-dire, une semaine sans rien manger sauf un bol de légumes très léger le soir, et nonobstant, 10 à 15 km par jour de marche dans la forêt avoisinante.
J'étais déjà à mon poids de forme avant de faire ce stage. J'ai alors perdu 5 à 6 kg que j'ai eu par la suite toutes les peines du monde à retrouver. À tel point que j'ai décidé d'arrêter le jeune intermittent strict que je pratiquais depuis cinq ans. Et, même, de faire un petit régime pour grossir ! Mince d'accord, maigre jamais.
Ainsi, depuis près d'un an, j'ai recommencé à déjeuner : 3 minicroissants et un kiwi (!) mais à 10 h seulement le matin, ce qui me fait tout de même un jeûne de 12 à 13 h, avec toujours mon petit brunch vers 14, 15 h, et un repas, toujours solide, le soir, vers 19 h. Cela n'a effectivement plus rien à voir avec mon Fasting strict durant cinq ans, mais avec les exercices physiques que je continue à pratiquer au quotidien, cela suffit pour conserver un bon métabolisme.
Évidemment depuis un an, je surveille attentivement mon poids qui ne change pas été reste stable, entre 72 et 74 kg.
Je précise que je continue à faire, chaque jour, de 3 à 10 km de marche rapide, chaque jour. Et, comme d'habitude, toutes les occasions sont bonnes pour moi de faire un peu d'exercice, c'est-à-dire :
- Une demi-heure de gymnastique au tapis de sol chaque jour avec musculation, abdominaux et stretching.
- Je ne prends jamais l'ascenseur même lorsque j'ai les bras chargés de courses,
- Au contraire, chaque fois que je prends un escalier, je le fais au pas de gymnastique,
- Je laisse toujours ma voiture à quelques kilomètres du magasin où je dois me rendre. Sauf lorsqu'il s'agit des courses de la semaine, dans ce cas, j'utilise le parking du supermarché.
- J'ai une télévision, mais je ne la regarde jamais dans la journée. Excepté la seconde semaine de Roland-Garros. Et encore ! À chaque changement de côté, je me lève quand les joueurs s'assoient et je fais soit 25 pompes (des vraies) soit une dizaine de squats. Dans ces conditions, après un match en 5 sets, je suis (presque) aussi fatigué que les joueurs.
Finalement, grâce à mon jeune intermittent et mon stage de « jeûne randonnée » je continue à mon âge avancé de bénéficier toujours d'un excellent métabolisme.
S'il advenait que je reprenne du poids un jour je ne manquerais pas de me remettre au "fasting" et au « jeune+randonnée.»
La vidéo
Résumé, par ChatGPT, avec mes indications détaillées
Voici un résumé d'une page qui tient compte des concepts précédemment abordés, en mettant l'accent sur les nouvelles recherches dans le domaine du jeûne intermittent et les modifications apportées par JB à son régime intermittent.
La gestion de la glycémie et du glucose joue un rôle crucial dans notre bien-être général et peut avoir un impact significatif sur la perte de poids. Comprendre ces concepts est essentiel pour adopter des choix alimentaires et un mode de vie sains. Lorsque nous consommons des aliments riches en glucides, notre système digestif les décompose en glucose, qui est libéré dans notre sang, formant ainsi la glycémie.
Certains aliments provoquent une augmentation rapide de la glycémie, tandis que d'autres sont digérés plus lentement, entraînant une augmentation progressive de la glycémie. Une glycémie élevée peut avoir des conséquences néfastes sur notre santé et notre poids, notamment une résistance à l'insuline, une prise de poids et des fringales fréquentes.
Pour maintenir une glycémie stable et favoriser la perte de poids, différentes approches peuvent être utilisées. L'exercice physique régulier est l'un des moyens les plus efficaces de réguler la glycémie en utilisant le glucose comme source d'énergie.
Le jeûne intermittent est une autre approche populaire pour maintenir une glycémie stable. Cette pratique implique d'alterner des périodes de jeûne avec des périodes de repas. En réduisant la fréquence des repas, on peut éviter les fluctuations brusques de la glycémie et permettre à notre corps de devenir plus efficace dans l'utilisation du glucose.
De récentes recherches dans le domaine du jeûne intermittent ont montré des résultats prometteurs. Ces études suggèrent que le jeûne intermittent peut non seulement aider à maintenir une glycémie stable, mais également avoir des effets positifs sur la perte de poids, la santé métabolique et la longévité.
Ces nouvelles recherches ont également influencé JB dans la modification de son régime intermittent. Ayant pris connaissance des bienfaits potentiels du jeûne intermittent, JB a décidé d'ajouter des périodes de jeûne plus longues à son régime, en espaçant davantage ses repas. Cela lui a permis de réduire les fluctuations de sa glycémie, de contrôler son appétit et de favoriser une perte de poids plus efficace.
Il est important de noter que le jeûne intermittent n'est pas adapté à tout le monde. Il est recommandé de consulter un professionnel de la santé avant d'entreprendre un tel régime, en particulier pour les personnes ayant des problèmes de santé préexistants ou prenant des médicaments.
En conclusion, la gestion de la glycémie et du glucose est essentielle pour notre santé et notre poids. Le jeûne intermittent peut être une approche efficace pour maintenir une glycémie stable et favoriser la perte de poids, en fonction des dernières recherches. Cependant, il est important de prendre en compte les besoins individuels et de consulter un professionnel de la santé avant de modifier son régime alimentaire.