En 2016, la HAS avait considéré que le dépistage du cancer du poumon chez les fumeurs ne serait pas utile.
Une étude présentée récemment à Toronto pourrait bien faire bouger la position de la Haute Autorité de santé (HAS) concernant l’intérêt du dépistage par scanner du cancer bronchopulmonaire chez les sujets à risque (gros fumeurs ou anciens gros fumeurs, à partir de 50 ou 55 ans).
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Une étude présentée récemment à Toronto pourrait bien faire bouger la position de la Haute Autorité de santé (HAS) concernant l’intérêt du dépistage par scanner du cancer bronchopulmonaire chez les sujets à risque (gros fumeurs ou anciens gros fumeurs, à partir de 50 ou 55 ans).
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