En dehors de l'aspect inhumain de la privation sensorielle dans ces prisons, équivalentes à nos Quartiers de Haute Sécurité, la clef du film peut s'énoncer ainsi : aux U.S.A, on fait du fric avec les prisons.
Dans ce cas précis une vallée entière vit de ses prisons. Ce qui a pour effet d’entraîner la multiplication à outrance des enfermements ; il faut bien que ces prisons=investissements soient rentables. Comme il est dit dans le commentaire : crise ou pas crise, les prisons n'ouvriront pas pour autant. Comme dit la chanson : cette (grosse entreprise) ne connait pas la crise.
Je rappelle que Sarkozy a aussi cette idée en tête pour la France. Il l'a mise de côté, pour l'instant, parce que le ministre qui devrait la mettre en oeuvre a eu lui même quelques ennuis avec la justice. Et que la collusion, ou le conflit d’intérêt, a été manifeste avant même la réalisation du projet, ce qui n'a pas manqué de le plomber.
Mais soyez en sûr, ce n'est que partie remise.
La grande force, et la grande honte du capitalisme moderne, c'est d'être capable de faire du fric avec tout, et surtout pas n'importe quoi. En l’occurrence, n'importe qui. Les détenus, c'est de la main d'oeuvre gratuite et corvéable à merci.
Jadis, on appelait cela des esclaves..
Le lien pour voir la vidéo (interactive)
Dans ce cas précis une vallée entière vit de ses prisons. Ce qui a pour effet d’entraîner la multiplication à outrance des enfermements ; il faut bien que ces prisons=investissements soient rentables. Comme il est dit dans le commentaire : crise ou pas crise, les prisons n'ouvriront pas pour autant. Comme dit la chanson : cette (grosse entreprise) ne connait pas la crise.
Je rappelle que Sarkozy a aussi cette idée en tête pour la France. Il l'a mise de côté, pour l'instant, parce que le ministre qui devrait la mettre en oeuvre a eu lui même quelques ennuis avec la justice. Et que la collusion, ou le conflit d’intérêt, a été manifeste avant même la réalisation du projet, ce qui n'a pas manqué de le plomber.
Mais soyez en sûr, ce n'est que partie remise.
La grande force, et la grande honte du capitalisme moderne, c'est d'être capable de faire du fric avec tout, et surtout pas n'importe quoi. En l’occurrence, n'importe qui. Les détenus, c'est de la main d'oeuvre gratuite et corvéable à merci.
Jadis, on appelait cela des esclaves..
Le lien pour voir la vidéo (interactive)