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«L'avenir n'est plus ce qu'il était» [Paul Valéry]



La lutte contre le chômage est une escroquerie intellectuelle !

Vous estimez que la lutte contre le chômage n'est, visiblement, pas la priorité de ceux qui nous gouvernent ? Vous vous étonnez qu'il n'y ait, sur ce point et depuis si longtemps, jamais de projet qui tienne la route et vous vous demandez pourquoi ? Sachez, vous qui venez de perdre votre emploi et goûtez aux joies de la précarité tant vantée par Laurence Parisot, que le chômage est voulu et planifié car il est un outil économique indispensable au bon fonctionnement du système ultralibéral mondialisé dans lequel nous vivons.



La lutte contre le chômage est une escroquerie intellectuelle !
Outre maintenir sinon accroître la rentabilité des entreprises et réjouir les boursicoteurs et autres rapaces de la finance, le chômage a deux propriétés inavouables :

• faisant pression à la baisse sur les salaires, il permet de contenir l'inflation;
• affaiblissant le salariat par la crainte qu'il suscite, il l'oblige à accepter des emplois de moins en moins dignes, subir des conditions de travail dégradées, etc… et permet de dérèglementer le travail.

Merci au lecteur anonyme qui m'a transmis ce lien (qui n'est pas rien !)

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La lutte contre le chômage est une escroquerie intellectuelle !
N.D.L.R

Vous avez bien noté l'énormité de cette escroquerie intellectuelle : le chômage n'est pas une fatalité, c'est une variable économique d'ajustement, sciemment organisée par le capitalisme libéral financier et entièrement approuvée par les gouvernements de l'union européenne (je ne mets pas de majuscules, elle ne les mérite pas)

Cette escroquerie, pas seulement intellectuelle, a pour but d'une part, de contenir l'inflation, hantise des financiers et d'autre part de déréglementer le travail, ce qui permet aux entreprises et aux gouvernements de ne plus avoir de problèmes avec le salariat.

Le chômage n'est donc ni structurel ni conjoncturel, il est fonctionnel !

Les solutions ? Il n'y en a pas !

Certains ont eu la faiblesse de croire, comme en 1981, que l'arrivée de la gauche au pouvoir était une des solutions possibles. Quelques mois à peine après son élection la côte de popularité de François Hollande (40 %) atteste, s'il en était besoin, que « le peuple de gauche » a très vite compris que Hollande et son gouvernement n'ont rien à voir avec la gauche, et pratiqueront pendant cinq ans une politique de droite que Sarkozy, lui-même, aurait été incapable de  poursuivre.

Fermez le ban.

Mercredi 17 Octobre 2012

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