Pourquoi a-t-il fallu des décennies pour admettre officiellement que le tabac était dangereux pour la santé ?
Comment expliquer qu'une part importante de la population croie toujours que les activités humaines sont sans conséquence sur le changement climatique ?
Les pesticides néonicotinoïdes sont-ils vraiment responsables de la surmortalité des abeilles ?
Pourquoi la reconnaissance du bisphénol A comme perturbateur endocrinien n'a-t-elle motivé que de timides interdictions ?
Au travers de ces « cas d'école » qui, des laboratoires aux réseaux sociaux, résultent tous de batailles planifiées à coups de millions de dollars et d’euros, cette enquête à cheval entre l'Europe et les États-Unis dévoile les contours d'une offensive méconnue, pourtant lancée dès les années 1950, quand la recherche révèle que le tabac constitue un facteur de cancer et d'accidents cardiovasculaires.
Pour contrer une vérité dérangeante, car susceptible d'entraîner une réglementation accrue au prix de lourdes pertes financières, l'industrie imagine alors en secret une forme particulière de désinformation, qui se généralise aujourd'hui : susciter, en finançant, entre autres, abondamment des études scientifiques concurrentes, un épais nuage de doute qui alimente les controverses et égare les opinions publiques.
N.D.L.R
C'est la technique du rideau de fumée largement utilisé par les politiciens depuis l'aube des temps.
Le comble, c'est que cette technique est appliquée à la science depuis les années 50.
Des scientifiques sont payés pour effectuer des travaux scientifiques destinés à discréditer…d'autres scientifiques.
Après la fabrique du consentement, la fabrique de l'ignorance !
Je note que sur ce genre de sujet les pourfendeurs, dûment appointés, des fake news, tels :
sont beaucoup moins diserts sur ce genre de sujet, pourtant autrement important que la plupart de ceux qui font l'objet de leurs investigations.
Là, encore une fois, ce sont des employés à la solde des grands capitalistes qui détiennent la plupart des médias de ce pays, qui sous prétexte de lutte contre le complotisme, sont chargés de désamorcer tout ce qui pourrait nuire à leurs patrons.
Lesquels, évidemment, sont absolument étrangers à tout ce qui pourrait ressembler de près ou de loin à du complotisme.
Je rappelle la définition de comploter : préparer secrètement à plusieurs.
Ce que font très exactement, et en permanence :
j’en passe, et des plus tordus.
Comment expliquer qu'une part importante de la population croie toujours que les activités humaines sont sans conséquence sur le changement climatique ?
Les pesticides néonicotinoïdes sont-ils vraiment responsables de la surmortalité des abeilles ?
Pourquoi la reconnaissance du bisphénol A comme perturbateur endocrinien n'a-t-elle motivé que de timides interdictions ?
Au travers de ces « cas d'école » qui, des laboratoires aux réseaux sociaux, résultent tous de batailles planifiées à coups de millions de dollars et d’euros, cette enquête à cheval entre l'Europe et les États-Unis dévoile les contours d'une offensive méconnue, pourtant lancée dès les années 1950, quand la recherche révèle que le tabac constitue un facteur de cancer et d'accidents cardiovasculaires.
Pour contrer une vérité dérangeante, car susceptible d'entraîner une réglementation accrue au prix de lourdes pertes financières, l'industrie imagine alors en secret une forme particulière de désinformation, qui se généralise aujourd'hui : susciter, en finançant, entre autres, abondamment des études scientifiques concurrentes, un épais nuage de doute qui alimente les controverses et égare les opinions publiques.
N.D.L.R
C'est la technique du rideau de fumée largement utilisé par les politiciens depuis l'aube des temps.
Le comble, c'est que cette technique est appliquée à la science depuis les années 50.
Des scientifiques sont payés pour effectuer des travaux scientifiques destinés à discréditer…d'autres scientifiques.
Après la fabrique du consentement, la fabrique de l'ignorance !
Je note que sur ce genre de sujet les pourfendeurs, dûment appointés, des fake news, tels :
- Liberation : patron = Patrick Drahi !
- Le Monde : patrons =Niel, Pigasse et Křetínský !
- Afp Factuel : patron= l'État français !
sont beaucoup moins diserts sur ce genre de sujet, pourtant autrement important que la plupart de ceux qui font l'objet de leurs investigations.
Là, encore une fois, ce sont des employés à la solde des grands capitalistes qui détiennent la plupart des médias de ce pays, qui sous prétexte de lutte contre le complotisme, sont chargés de désamorcer tout ce qui pourrait nuire à leurs patrons.
Lesquels, évidemment, sont absolument étrangers à tout ce qui pourrait ressembler de près ou de loin à du complotisme.
Je rappelle la définition de comploter : préparer secrètement à plusieurs.
Ce que font très exactement, et en permanence :
- les industriels du tabac,
- les grandes compagnies pharmaceutiques,
- les industriels de la chimie,
- les géants de l'agroalimentaire,
- les propriétaires des grands médias français
- les G.A.F.A.M
j’en passe, et des plus tordus.