Quelques remarques préalables :
Le diaporama ci-après, dont je ne suis pas l'auteur, prend comme exemple, tout à fait par hasard ;-) evidemment, un député de gauche.
Je rappelle que la majorité absolue de l'Assemblée nationale est détenue par la droite (Ump et ses satellites) depuis l'arrivée de Naboléon aux commandes.
Par ailleurs M. Debré Jean Louis n'est pas précisément, que je sache, un homme de gauche.
Je dirais donc que la majorité et l'opposition sont bien d'accord sur cette affaire.
Sur les accusations éventuelles d'anti-parlementarisme que certains, devinez de quel côté, ne manqueront pas de me faire, je répondrais que lorsque le Parlement (Assemblée et Sénat confondus) votent délibérément contre le peuple, comme ils viennent de le faire à l'occasion du simulacre de débat sur les retraites, il est plus que normal que le peuple signale à l'attention de tous ceux qui les ignoreraient encore les "facilités" que nos élus s'accordent beaucoup plus volontiers qu'aux Français qu'ils sont censés représenter.
A ceux, enfin, qui me feront remarquer que l'Assemblée, consciente de ces injustices (puis-je pouffer ?) a promis de les réformer, je répondrais que nos députés seront, à tout le moins, beaucoup moins diligents à supprimer leurs privilèges qu'ils ne l'ont été à sucrer les retraites des français qu'ils sont censés représenter. Qui veut parier avec moi ?
Tant il est vrai que les promesses de nos parlementaires, au cours du jour, valent autant que la côte de Sarkozy dans les sondages. Et je reste poli.
Le diaporama ci-après, dont je ne suis pas l'auteur, prend comme exemple, tout à fait par hasard ;-) evidemment, un député de gauche.
Je rappelle que la majorité absolue de l'Assemblée nationale est détenue par la droite (Ump et ses satellites) depuis l'arrivée de Naboléon aux commandes.
Par ailleurs M. Debré Jean Louis n'est pas précisément, que je sache, un homme de gauche.
Je dirais donc que la majorité et l'opposition sont bien d'accord sur cette affaire.
Sur les accusations éventuelles d'anti-parlementarisme que certains, devinez de quel côté, ne manqueront pas de me faire, je répondrais que lorsque le Parlement (Assemblée et Sénat confondus) votent délibérément contre le peuple, comme ils viennent de le faire à l'occasion du simulacre de débat sur les retraites, il est plus que normal que le peuple signale à l'attention de tous ceux qui les ignoreraient encore les "facilités" que nos élus s'accordent beaucoup plus volontiers qu'aux Français qu'ils sont censés représenter.
A ceux, enfin, qui me feront remarquer que l'Assemblée, consciente de ces injustices (puis-je pouffer ?) a promis de les réformer, je répondrais que nos députés seront, à tout le moins, beaucoup moins diligents à supprimer leurs privilèges qu'ils ne l'ont été à sucrer les retraites des français qu'ils sont censés représenter. Qui veut parier avec moi ?
Tant il est vrai que les promesses de nos parlementaires, au cours du jour, valent autant que la côte de Sarkozy dans les sondages. Et je reste poli.