L'auteur n'est "pas encore identifié", a dit le Premier ministre belge Charles Michel, interrogé dans la soirée par la chaîne RTL-TVI. "Mais cela semble être de nouveau une attaque avec une connotation terroriste", a-t-il ajouté.
"Le décès de l'agresseur à la machette est confirmé", a indiqué de son côté la police de Charleroi sur son compte Twitter, après avoir dans un premier temps affirmé qu'il était encore en vie.
L'agresseur est arrivé aux alentours de 16H00 devant l'hôtel de police. "Il a immédiatement sorti une machette du sac de sport qu'il portait et il a porté des coups très violents au visage de deux policières qui se trouvaient de faction en face de l'hôtel de police en criant +Allah Akbar+ (Dieu est grand)", a expliqué le porte-parole de la police de Charleroi, David Quinaux, au micro de RTL-TVI.
C'est une troisième policière qui a alors ouvert le feu et abattu l'assaillant, décédé plus tard à l'hôpital.
"Les deux collègues sont hors de danger", a précisé la police de cette ville de Wallonie, située à une soixantaine de kilomètres au sud de Bruxelles.
Selon l'agence Belga, une des policières a été atteinte "à hauteur du visage", tandis que sa collègue n'était que "très légèrement touchée".
Peu après 20H00, une forte présence policière était encore visible devant l'hôtel de police, avec une dizaine de véhicules et une vingtaine d'agents, a constaté un journaliste de l'AFP.
Cette agression survient alors que le niveau d'alerte terroriste en Belgique, touchée le 22 mars par des attentats dans sa capitale, Bruxelles, était au niveau 3 (correspondant à une menace "possible et vraisemblable) sur une échelle en comprenant quatre.
N.D.L.R
Si tous les barjots de la terre sortent dans la rue en criant "Allah Akbar" parce qu'en ce moment ça le fait, on n'est pas sortis de l'auberge.
Maintenant, ce n'est peut être pas une raison pour mettre tout le monde en prison et réduire tous les jours nos libertés. On pourrait peut être s'interroger sur la fiabilité de notre système psychiatrique ou l'efficacité de nos prisons.
Mais ce serait beaucoup demander à nos édiles qui finalement ont tous un faible pour l'Etat policier. C'est tellement pratique pour s'occuper tranquillement de leurs misérables combines.
Notre société va très mal, on est tous d'accord. Mais les terroristes, finalement, n'y sont pas pour grand chose. Statistiquement, il sont encore insignifiants. On a beaucoup plus de chances de mourir à cause des pesticides, des particules diesel, de la malbouffe, du tabac, des alcools et j'en oublie, que d'un attentat.
Si les politiques ne peuvent effectivement pas faire grand chose contre le terrorisme mondial, ils auraient pu, depuis longtemps, s'efforcer de bâtir une société moins pourrie. Mais ils ont préféré vaquer à leurs petites combines et ont, en connaissance de cause, laissé faire les salopards qui gouvernent notre monde au nom du fric. Je dirais qu'ils récoltent maintenant ce qu'ils ont semé.
Le problème, c'est qu'eux, ils sont les moyens de se protéger. Mais pas nous.
"Le décès de l'agresseur à la machette est confirmé", a indiqué de son côté la police de Charleroi sur son compte Twitter, après avoir dans un premier temps affirmé qu'il était encore en vie.
L'agresseur est arrivé aux alentours de 16H00 devant l'hôtel de police. "Il a immédiatement sorti une machette du sac de sport qu'il portait et il a porté des coups très violents au visage de deux policières qui se trouvaient de faction en face de l'hôtel de police en criant +Allah Akbar+ (Dieu est grand)", a expliqué le porte-parole de la police de Charleroi, David Quinaux, au micro de RTL-TVI.
C'est une troisième policière qui a alors ouvert le feu et abattu l'assaillant, décédé plus tard à l'hôpital.
"Les deux collègues sont hors de danger", a précisé la police de cette ville de Wallonie, située à une soixantaine de kilomètres au sud de Bruxelles.
Selon l'agence Belga, une des policières a été atteinte "à hauteur du visage", tandis que sa collègue n'était que "très légèrement touchée".
Peu après 20H00, une forte présence policière était encore visible devant l'hôtel de police, avec une dizaine de véhicules et une vingtaine d'agents, a constaté un journaliste de l'AFP.
Cette agression survient alors que le niveau d'alerte terroriste en Belgique, touchée le 22 mars par des attentats dans sa capitale, Bruxelles, était au niveau 3 (correspondant à une menace "possible et vraisemblable) sur une échelle en comprenant quatre.
N.D.L.R
Si tous les barjots de la terre sortent dans la rue en criant "Allah Akbar" parce qu'en ce moment ça le fait, on n'est pas sortis de l'auberge.
Maintenant, ce n'est peut être pas une raison pour mettre tout le monde en prison et réduire tous les jours nos libertés. On pourrait peut être s'interroger sur la fiabilité de notre système psychiatrique ou l'efficacité de nos prisons.
Mais ce serait beaucoup demander à nos édiles qui finalement ont tous un faible pour l'Etat policier. C'est tellement pratique pour s'occuper tranquillement de leurs misérables combines.
Notre société va très mal, on est tous d'accord. Mais les terroristes, finalement, n'y sont pas pour grand chose. Statistiquement, il sont encore insignifiants. On a beaucoup plus de chances de mourir à cause des pesticides, des particules diesel, de la malbouffe, du tabac, des alcools et j'en oublie, que d'un attentat.
Si les politiques ne peuvent effectivement pas faire grand chose contre le terrorisme mondial, ils auraient pu, depuis longtemps, s'efforcer de bâtir une société moins pourrie. Mais ils ont préféré vaquer à leurs petites combines et ont, en connaissance de cause, laissé faire les salopards qui gouvernent notre monde au nom du fric. Je dirais qu'ils récoltent maintenant ce qu'ils ont semé.
Le problème, c'est qu'eux, ils sont les moyens de se protéger. Mais pas nous.