Source : Le Point
SONDAGE IPSOS/LE POINT
58 % des Français ne souhaitent pas voir Nicolas Sarkozy se représenter en 2012
Avec AFP
Une large majorité des Français ne souhaiteraient pas voir Nicolas Sarkozy se représenter en 2012. ©Abaca
Une nette majorité de Français (58 %) ne souhaitent pas que Nicolas Sarkozy soit candidat à l'élection présidentielle de 2012, selon un sondage Ipsos pour l'hebdomadaire Le Point , rendu public lundi. À l'inverse, 33 % des personnes interrogées désirent que Nicolas Sarkozy brigue un nouveau mandat et 9 % ne se prononcent pas.
Parmi les sympathisants UMP, 75 % d'entre eux veulent que le chef de l'État soit candidat, 21 % y sont opposés (4 % ne se prononcent pas).
Enquête réalisée les 19 et 20 mars, avant le deuxième tour des élections régionales. Elle a été menée par téléphone auprès d'un échantillon de 952 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas).
Parmi les sympathisants UMP, 75 % d'entre eux veulent que le chef de l'État soit candidat, 21 % y sont opposés (4 % ne se prononcent pas).
Enquête réalisée les 19 et 20 mars, avant le deuxième tour des élections régionales. Elle a été menée par téléphone auprès d'un échantillon de 952 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas).
La question qui se pose, maintenant que la réélection de Sarkozy parait clairement compromise et compte tenu du renouveau de la gauche, de nouveau réunie, c’est : qui sera le candidat le mieux placé pour représenter la gauche aux prochaines élections présidentielles ?
En ce qui me concerne je verrais bien une femme, première présidente de la république française. Je vous rassure, certainement pas Mme Royal, à qui il restera quand même le Poitou-Charentes, ce qui n’est pas si mal compte tenu de sa « nullitude ».
Non je pense à Martine Aubry qui, mine de rien, vient de réaliser ce qu’aucun de ses prédécesseurs n’a pu faire depuis fort longtemps, à savoir réunir le P.S, les verts et les communistes. La photo réunissant Mesdames Aubry, Duflot et Buffet , trois femmes comme par hasard, me parait tout à fait emblématique de l’influence bénéfique des femmes dans la politique.
Par ailleurs, Mme Aubry a récemment fait preuve de courage politique en maintenant l’exclusion de Georges Frèche du parti socialiste, au risque de perdre une région. Beaucoup « d’hommes socialistes » aux grandes ambitions n’auraient pas eu ce courage.
Il ne faut pas oublier non plus que Martine Aubry est la mère des 35 heures, dont la mise en place fut honnie par la droite mais que la plupart des français qui travaillent, à l’opposé de ceux qui font fortune en dormant ou grâce à leur parents, apprécient tous les jours, qu’ils soient ouvriers ou cadres supérieurs.
Je ne reviendrai pas sur l’habileté avec laquelle elle a su mettre sur la touche une concurrente de poids, j’ai nommé l’ineffable dame Royal. Cette dernière ayant, au demeurant et comme à son habitude, fait tout ce qu’il fallait pour s’exclure elle-même.
Je pense également que les français, dans leur ensemble, en ont assez des simagrées de nos « hommes politiques » dont Sarkozy fut, à ce jour et j’espère pour longtemps, le plus funeste avatar.
Si les américains ont réussi à élire un noir à la présidence pourquoi les français n’arriveraient ils pas à élire une femme ?
Sans oublier par ailleurs que les femmes sont majoritaires dans notre électorat.
La politique pour moi c’est faire de ses rêves une réalité. Et non le contraire, comme nous le démontre tous les jours le sinistre Sarkozy et les marchands du temple qui le soutiennent.
Pour toutes ces raisons Martine Aubry me parait actuellement la mieux placée pour redorer le blason de la politique dans notre pays et, par la même occasion, donner raison au poète : la femme est, plus que jamais, l’avenir de l’homme.
En ce qui me concerne je verrais bien une femme, première présidente de la république française. Je vous rassure, certainement pas Mme Royal, à qui il restera quand même le Poitou-Charentes, ce qui n’est pas si mal compte tenu de sa « nullitude ».
Non je pense à Martine Aubry qui, mine de rien, vient de réaliser ce qu’aucun de ses prédécesseurs n’a pu faire depuis fort longtemps, à savoir réunir le P.S, les verts et les communistes. La photo réunissant Mesdames Aubry, Duflot et Buffet , trois femmes comme par hasard, me parait tout à fait emblématique de l’influence bénéfique des femmes dans la politique.
Par ailleurs, Mme Aubry a récemment fait preuve de courage politique en maintenant l’exclusion de Georges Frèche du parti socialiste, au risque de perdre une région. Beaucoup « d’hommes socialistes » aux grandes ambitions n’auraient pas eu ce courage.
Il ne faut pas oublier non plus que Martine Aubry est la mère des 35 heures, dont la mise en place fut honnie par la droite mais que la plupart des français qui travaillent, à l’opposé de ceux qui font fortune en dormant ou grâce à leur parents, apprécient tous les jours, qu’ils soient ouvriers ou cadres supérieurs.
Je ne reviendrai pas sur l’habileté avec laquelle elle a su mettre sur la touche une concurrente de poids, j’ai nommé l’ineffable dame Royal. Cette dernière ayant, au demeurant et comme à son habitude, fait tout ce qu’il fallait pour s’exclure elle-même.
Je pense également que les français, dans leur ensemble, en ont assez des simagrées de nos « hommes politiques » dont Sarkozy fut, à ce jour et j’espère pour longtemps, le plus funeste avatar.
Si les américains ont réussi à élire un noir à la présidence pourquoi les français n’arriveraient ils pas à élire une femme ?
Sans oublier par ailleurs que les femmes sont majoritaires dans notre électorat.
La politique pour moi c’est faire de ses rêves une réalité. Et non le contraire, comme nous le démontre tous les jours le sinistre Sarkozy et les marchands du temple qui le soutiennent.
Pour toutes ces raisons Martine Aubry me parait actuellement la mieux placée pour redorer le blason de la politique dans notre pays et, par la même occasion, donner raison au poète : la femme est, plus que jamais, l’avenir de l’homme.