Désolé mais la situation est en train de glisser dangereusement. Réveillons-nous !!
1) Un discours anxiogène qui n’a plus aucun rapport avec la gravité réelle de l’épidémie
Aujourd’hui, 2 mai 2020, le nombre de malades en France décroît chaque jour depuis 22 jours, tout comme le nombre de nouvelles contaminations et de décès.
On compte, dans chaque département, quelques dizaines de patients en soins intensifs à cause du coronavirus (40 en moyenne, 3947 en tout) et les chiffres baissent tous les jours depuis quinze jours. [1]
Mais c'est le nombre de nouvelles contaminations surtout qui est en forte baisse (moins de 1500 en tout sur les 3 derniers jours), annonçant un recul important des décès dans les jours qui viennent?
Le pic épidémique est désormais loin derrière nous, et l’apocalypse ne s’est pas produite. Il n’y a aucune saturation du système hospitalier et aucune raison de penser qu'il se produira prochainement.
Et pourtant, rien ne change au niveau politique. Au contraire, les dirigeants continuent à nous répéter chaque jour que “rien ne sera plus comme avant”, qu’il n’y aura “pas de retour à la normale” avant des mois ou des années.
Pour justifier un maintien du confinement de masse, ils disent : « Les hôpitaux ne sont pas débordés, cela prouve que le confinement marche, donc restez chez vous et continuez à vous tenir à distance. »
L’immense majorité des Français achètent ce raisonnement, sans se rendre compte qu’il s’agit d’un raisonnement “circulaire”, c’est-à-dire sans aucun lien logique puisqu’on pourrait aussi bien dire le contraire, à savoir : “Le pic épidémique est passé, les hôpitaux n’ont jamais été saturés, vous pouvez donc revenir à la vie normale.”
Les experts gouvernementaux parlent de confinement de 18 mois ou plus, d’autres de déconfinement progressif et partiel à partir du 11 mai, d’autres encore de périodes de déconfinement et reconfinement un mois sur deux ou sur trois.
Ces mesures sont justifiées au nom de la “sécurité des Français”. Or, un tel confinement, même intermittent, aurait le même impact qu’une guerre. Le virus, tel qu’on le connaît maintenant, serait incapable de désorganiser notre société, mais ces mesures contre la pandémie suffiraient amplement à mettre des pays entiers à genoux.
Déjà des milliers d’entreprises en faillite sont rachetées à bas prix par des multinationales financées par les banques centrales et garanties par les États, donc bénéficiant de cash illimité.
La situation est d’autant plus angoissante qu’on ne voit aucune raison à ce que les Autorités politiques changent de discours à court terme, pour une situation qui les arrange puisqu’elle accroît leur pouvoir de façon prodigieuse.
C’est peut-être la raison pour laquelle des personnalités comme Donald Trump, Emmanuel Macron, Boris Johnson, Vladimir Poutine, Giuseppe Conte (Italie), Xi Jinping (Chine) supposés représenter des tendances politiques différentes voire opposées, sont aujourd’hui parfaitement alignés. Tous suivent exactement la même ligne d’action et sont encouragés en cela par les autorités spirituelles elles-mêmes, comme s’il n’existait plus aucun contre-pouvoir, aucune dissidence.
Or, selon un rapport de l'Organisation Internationale du Travail paru mercredi, plus de la moitié des travailleurs dans le monde risque de perdre leur moyen de subsistance dans les prochains mois à cause de ces mesures !! Si cela se concrétise, ce sera le plus grand assassinat de masse jamais programmé : voir le site de France Info : https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/coronavirus-plus-de-la-moitie-des-travailleurs-dans-le-monde-risquent-de-perdre-leurs-moyens-de-subsistance_3940297.html
2) Approbation unanime des victimes
Mais le plus extraordinaire est que ces sévères mesures de restriction bénéficient de l’approbation quasi unanime de la population qui refuse de comprendre d’où vient le vrai danger, et semble ne se préoccuper que de savoir si elle pourra avoir des masques.
C’est ainsi que le peuple français semble prêt à accepter sans broncher que soit oblitérée la saison touristique de l’été 2020.
Le tourisme représentant environ 8 % du PIB du pays (environ 40 milliards par an), et beaucoup plus dans certaines régions (30 % en Corse), cette mesure déclenchera à elle seule avec certitude un effondrement de l’économie française, dont les conséquences, notamment sur le système de santé, seront incalculables.
N’oublions pas que tous ces entrepreneurs, petits patrons, commerçants, artisans ont des engagements financiers : loyers, traites de remboursement, matériel, impôts. Ils sortent de dix-huit mois de marasme avec les grèves, les gilets jaunes… Peuvent-ils encore tenir des mois, ou même des semaines ?
Et s’ils ne peuvent plus honorer leurs engagements, comment exclure un effet domino sur les autres secteurs, notamment avec des faillites bancaires entraînant la ruine des épargnants et donc du système de solidarité et de protection sociale ?
3) Quand la fin de l’épidémie sera-t-elle déclarée ?
Le pouvoir politique continue à communiquer et agir comme si l’épidémie continuait à représenter un danger majeur pour le pays.
Or, si des scénarios noirs étaient crédibles en février ou en mars, il n’en va plus du tout de même aujourd’hui où l’on s’aperçoit que l’épidémie a fait en quatre mois 230 000 morts au niveau mondial, soit moins de deux journées de décès en temps normal (il meurt habituellement environ 150 000 personnes par jour dans le monde).
Les médias continuent à entretenir la psychose en affirmant que “le pire reste à venir”, notamment avec la théorie de la “seconde vague”. Régulièrement, ils essayent de faire croire que les jeunes pourraient eux aussi être touchés, bien qu’ils ne parviennent guère à citer plus que quelques cas isolés et mystérieux.
Rappelons qu’il n’y a plus en France que deux à trois décès par jour en moyenne par département, liés au coronavirus. Les chiffres des décès du cancer, de maladies respiratoires et autres ont curieusement baissé depuis mars 2020 : et pour cause, puisque toute personne décédée « avec » le coronavirus est classée dans les décédés « du » coronavirus.
Les victimes restent dans leur immense majorité des personnes de plus de 75 ans, et souvent plus de 85 ans, souffrant d’une ou plusieurs pathologies.
Ces chiffres sont, en outre, en décroissance rapide. Il est probable que début juin, il n’y aura plus que quelques décès par jour à l’échelle nationale.
Comment peut-on, sans motif malveillant, vouloir mettre à genou des centaines de milliers d’hôtels, restaurants, centres de vacances, moniteurs, guides, accompagnateurs, festivals, centres culturels, plus tous leurs sous-traitants, au nom de la santé publique, sachant que notre système de santé s’effondrera si toutes ces personnes cessent de financer le système ??
4) Négligences coupables du gouvernement français
Depuis le début de la crise, le gouvernement a pris un nombre étonnamment élevé de mesures incohérentes et contre-productives :
Y a-t-il simple incompétence, ou volonté de nuire ?
5) « Conspirationnisme » et « théories du complot »
Il est demandé à chaque citoyen de se méfier de tout le monde. Les gestes les plus anciens d’amitié, de confiance, de réconfort sont interdits, ainsi que d’être présent auprès d’un proche en train de décéder et même d’organiser des obsèques dans des conditions décentes.
Mais tout propos critique vis-à-vis des mesures coercitives prises par les Autorités est dénoncé comme « conspirationniste » ou relevant de la « théorie du complot ».
La méfiance généralisée et obligatoire envers ses proches, ses collègues, ses voisins, ses amis, et même sa famille, se double en effet d’une adhésion et d’une confiance tout aussi obligatoires envers les Autorités dont les motivations n’ont pas le droit d’être questionnées.
Personne ne prend même la peine de répondre aux légitimes questions que l'on peut se poser sur le fait, par exemple, que les jeunes soient tous empêchés d'étudier, de travailler, de sortir, sous prétexte de se protéger contre le coronavirus, alors que ce virus n’a fait aucun mort dans la population des moins de 45 ans en bonne santé.
L’ensemble de la population est confinée chez elle, entre quatre murs, et on parle de plus en plus d’une surveillance électronique via smartphones après le déconfinement. Les heures de sorties sont réglementées, avec des représailles judiciaires en cas d’éloignement du domicile comme si le citoyen était en train de s’évader.
Par ailleurs, les prisons ont été vidées de près de 20 % des détenus, qui n’ont d’ailleurs été “libérés” que pour se retrouver incarcérés à nouveau chez eux, comme tous les autres citoyens, au nom de la lutte contre le coronavirus :
“Au prétexte d’éviter l’épidémie en prison, des milliers de prisonniers sont extraits de leurs cellules et renvoyés chez eux, dans des conditions de semi-liberté qui se distinguent à peine de celles des voisins, théoriquement en liberté, mais de fait contraints et surveillés dans les mêmes proportions”, explique Lucien Cerise sur le site Strategika. [3]
Ainsi se retrouve gommée la différence traditionnelle entre “homme libre” et “prisonnier”, le domicile de chacun devenant sa propre prison, avec promenades réglementées.
6) Le monde de 1984
Du jour au lendemain, notre société a basculé dans un système de contrôle social de type orwellien (1984) et carcéral tel que décrit par Michel Foucault (Surveiller et Punir).
L'objectif affiché étant de “sauver des vies”, toute voix critique est automatiquement soupçonnée d’indifférence coupable envers les malheurs d’autrui, y compris quand votre unique préoccupation, comme c’est mon cas, est précisément d’alerter contre le risque d’une catastrophe collective.
Or, la manœuvre réussit parfaitement jusqu'à présent, avec un niveau d'adhésion dans la population qui frise l'unanimité, une partie de l'opinion estimant même que le gouvernement n'en fait pas encore assez dans la répression.
Une majorité attend sans s'inquiéter que l’épidémie de coronavirus se termine pour reprendre ses activités et planifier un départ en vacances qui risque pourtant de n'avoir jamais lieu. Car la vérité est que l'épidémie est déjà terminée, avec moins de dix cas de nouvelle contamination par département français le 1ᵉʳ mai (780 cas au niveau national).
Pendant ce temps, nous nous habituons à ce que toutes nos relations sociales se fassent sur Internet, et donc sous l’œil des Autorités qui bien entendu surveillent nos communications au nom de la lutte contre les “fake news et les théories du complot”.
Nous verrons d'ailleurs si cette lettre est catégorisée comme telle et censurée sur les réseaux sociaux.
Mais vous pouvez compter sur moi pour organiser la résistance si ce que j'ai écrit ici se confirme dans les semaines à venir. Surveillez bien votre boîte à lettres électroniques dans les semaines à venir.
À votre santé !
Jean-Marc Dupuis
1) Un discours anxiogène qui n’a plus aucun rapport avec la gravité réelle de l’épidémie
Aujourd’hui, 2 mai 2020, le nombre de malades en France décroît chaque jour depuis 22 jours, tout comme le nombre de nouvelles contaminations et de décès.
On compte, dans chaque département, quelques dizaines de patients en soins intensifs à cause du coronavirus (40 en moyenne, 3947 en tout) et les chiffres baissent tous les jours depuis quinze jours. [1]
Mais c'est le nombre de nouvelles contaminations surtout qui est en forte baisse (moins de 1500 en tout sur les 3 derniers jours), annonçant un recul important des décès dans les jours qui viennent?
Le pic épidémique est désormais loin derrière nous, et l’apocalypse ne s’est pas produite. Il n’y a aucune saturation du système hospitalier et aucune raison de penser qu'il se produira prochainement.
Et pourtant, rien ne change au niveau politique. Au contraire, les dirigeants continuent à nous répéter chaque jour que “rien ne sera plus comme avant”, qu’il n’y aura “pas de retour à la normale” avant des mois ou des années.
Pour justifier un maintien du confinement de masse, ils disent : « Les hôpitaux ne sont pas débordés, cela prouve que le confinement marche, donc restez chez vous et continuez à vous tenir à distance. »
L’immense majorité des Français achètent ce raisonnement, sans se rendre compte qu’il s’agit d’un raisonnement “circulaire”, c’est-à-dire sans aucun lien logique puisqu’on pourrait aussi bien dire le contraire, à savoir : “Le pic épidémique est passé, les hôpitaux n’ont jamais été saturés, vous pouvez donc revenir à la vie normale.”
Les experts gouvernementaux parlent de confinement de 18 mois ou plus, d’autres de déconfinement progressif et partiel à partir du 11 mai, d’autres encore de périodes de déconfinement et reconfinement un mois sur deux ou sur trois.
Ces mesures sont justifiées au nom de la “sécurité des Français”. Or, un tel confinement, même intermittent, aurait le même impact qu’une guerre. Le virus, tel qu’on le connaît maintenant, serait incapable de désorganiser notre société, mais ces mesures contre la pandémie suffiraient amplement à mettre des pays entiers à genoux.
Déjà des milliers d’entreprises en faillite sont rachetées à bas prix par des multinationales financées par les banques centrales et garanties par les États, donc bénéficiant de cash illimité.
La situation est d’autant plus angoissante qu’on ne voit aucune raison à ce que les Autorités politiques changent de discours à court terme, pour une situation qui les arrange puisqu’elle accroît leur pouvoir de façon prodigieuse.
C’est peut-être la raison pour laquelle des personnalités comme Donald Trump, Emmanuel Macron, Boris Johnson, Vladimir Poutine, Giuseppe Conte (Italie), Xi Jinping (Chine) supposés représenter des tendances politiques différentes voire opposées, sont aujourd’hui parfaitement alignés. Tous suivent exactement la même ligne d’action et sont encouragés en cela par les autorités spirituelles elles-mêmes, comme s’il n’existait plus aucun contre-pouvoir, aucune dissidence.
Or, selon un rapport de l'Organisation Internationale du Travail paru mercredi, plus de la moitié des travailleurs dans le monde risque de perdre leur moyen de subsistance dans les prochains mois à cause de ces mesures !! Si cela se concrétise, ce sera le plus grand assassinat de masse jamais programmé : voir le site de France Info : https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/coronavirus-plus-de-la-moitie-des-travailleurs-dans-le-monde-risquent-de-perdre-leurs-moyens-de-subsistance_3940297.html
2) Approbation unanime des victimes
Mais le plus extraordinaire est que ces sévères mesures de restriction bénéficient de l’approbation quasi unanime de la population qui refuse de comprendre d’où vient le vrai danger, et semble ne se préoccuper que de savoir si elle pourra avoir des masques.
C’est ainsi que le peuple français semble prêt à accepter sans broncher que soit oblitérée la saison touristique de l’été 2020.
Le tourisme représentant environ 8 % du PIB du pays (environ 40 milliards par an), et beaucoup plus dans certaines régions (30 % en Corse), cette mesure déclenchera à elle seule avec certitude un effondrement de l’économie française, dont les conséquences, notamment sur le système de santé, seront incalculables.
N’oublions pas que tous ces entrepreneurs, petits patrons, commerçants, artisans ont des engagements financiers : loyers, traites de remboursement, matériel, impôts. Ils sortent de dix-huit mois de marasme avec les grèves, les gilets jaunes… Peuvent-ils encore tenir des mois, ou même des semaines ?
Et s’ils ne peuvent plus honorer leurs engagements, comment exclure un effet domino sur les autres secteurs, notamment avec des faillites bancaires entraînant la ruine des épargnants et donc du système de solidarité et de protection sociale ?
3) Quand la fin de l’épidémie sera-t-elle déclarée ?
Le pouvoir politique continue à communiquer et agir comme si l’épidémie continuait à représenter un danger majeur pour le pays.
Or, si des scénarios noirs étaient crédibles en février ou en mars, il n’en va plus du tout de même aujourd’hui où l’on s’aperçoit que l’épidémie a fait en quatre mois 230 000 morts au niveau mondial, soit moins de deux journées de décès en temps normal (il meurt habituellement environ 150 000 personnes par jour dans le monde).
Les médias continuent à entretenir la psychose en affirmant que “le pire reste à venir”, notamment avec la théorie de la “seconde vague”. Régulièrement, ils essayent de faire croire que les jeunes pourraient eux aussi être touchés, bien qu’ils ne parviennent guère à citer plus que quelques cas isolés et mystérieux.
Rappelons qu’il n’y a plus en France que deux à trois décès par jour en moyenne par département, liés au coronavirus. Les chiffres des décès du cancer, de maladies respiratoires et autres ont curieusement baissé depuis mars 2020 : et pour cause, puisque toute personne décédée « avec » le coronavirus est classée dans les décédés « du » coronavirus.
Les victimes restent dans leur immense majorité des personnes de plus de 75 ans, et souvent plus de 85 ans, souffrant d’une ou plusieurs pathologies.
Ces chiffres sont, en outre, en décroissance rapide. Il est probable que début juin, il n’y aura plus que quelques décès par jour à l’échelle nationale.
Comment peut-on, sans motif malveillant, vouloir mettre à genou des centaines de milliers d’hôtels, restaurants, centres de vacances, moniteurs, guides, accompagnateurs, festivals, centres culturels, plus tous leurs sous-traitants, au nom de la santé publique, sachant que notre système de santé s’effondrera si toutes ces personnes cessent de financer le système ??
4) Négligences coupables du gouvernement français
Depuis le début de la crise, le gouvernement a pris un nombre étonnamment élevé de mesures incohérentes et contre-productives :
- refus de fermer les frontières, sous le prétexte bizarre que “le virus ne connaît pas les frontières” ;
- lenteur extraordinaire à organiser des dépistages alors que nous en avions les moyens techniques avec plusieurs laboratoires spécialisés sur le territoire français qui disposaient même des stocks de réactifs nécessaires aux tests ;
- hôpitaux et services de soins sont rendus inaccessibles ou difficiles d’accès à la population, y compris pour les personnes porteuses de symptômes de coronavirus, à qui les tests étaient couramment refusés ;
- confinement des personnes saines avec les personnes contaminées, alors que le ministre de la Santé Olivier Véran déclarait lui-même le 9 mars à la télévision : « Mais en réalité, vous savez ce qui fait que la grippe s’arrête au printemps ? Ce n’est pas la chaleur. Au printemps qu’est-ce qui se passe ? On ouvre les fenêtres, on ouvre les portes, on n’est plus confiné dans des lieux, on va dehors. Et donc, c’est le confinement qui provoque la circulation du virus ;
- pénurie de masques et même de gel hydro-alcoolique, et refus de mobiliser les forces productives du pays pourtant équipées pour les fournir ;
- hydroxychloroquine classée “substance vénéneuse” le 13 janvier, alors que le produit est utilisé depuis 60 ans et plus d’un million de boîtes se vendaient chaque année, sans qu’aucun accident ne soit déclaré ;
- banalisation, par décret du 28 mars 2020, du Rivotril pour les “patients atteints ou susceptibles d’être atteints par le virus SARS-CoV-2”, alors qu’il s’agit d’un sédatif pouvant entraîner la mort, dont la première contre-indication est l’insuffisance respiratoire sévère.
Y a-t-il simple incompétence, ou volonté de nuire ?
5) « Conspirationnisme » et « théories du complot »
Il est demandé à chaque citoyen de se méfier de tout le monde. Les gestes les plus anciens d’amitié, de confiance, de réconfort sont interdits, ainsi que d’être présent auprès d’un proche en train de décéder et même d’organiser des obsèques dans des conditions décentes.
Mais tout propos critique vis-à-vis des mesures coercitives prises par les Autorités est dénoncé comme « conspirationniste » ou relevant de la « théorie du complot ».
La méfiance généralisée et obligatoire envers ses proches, ses collègues, ses voisins, ses amis, et même sa famille, se double en effet d’une adhésion et d’une confiance tout aussi obligatoires envers les Autorités dont les motivations n’ont pas le droit d’être questionnées.
Personne ne prend même la peine de répondre aux légitimes questions que l'on peut se poser sur le fait, par exemple, que les jeunes soient tous empêchés d'étudier, de travailler, de sortir, sous prétexte de se protéger contre le coronavirus, alors que ce virus n’a fait aucun mort dans la population des moins de 45 ans en bonne santé.
L’ensemble de la population est confinée chez elle, entre quatre murs, et on parle de plus en plus d’une surveillance électronique via smartphones après le déconfinement. Les heures de sorties sont réglementées, avec des représailles judiciaires en cas d’éloignement du domicile comme si le citoyen était en train de s’évader.
Par ailleurs, les prisons ont été vidées de près de 20 % des détenus, qui n’ont d’ailleurs été “libérés” que pour se retrouver incarcérés à nouveau chez eux, comme tous les autres citoyens, au nom de la lutte contre le coronavirus :
“Au prétexte d’éviter l’épidémie en prison, des milliers de prisonniers sont extraits de leurs cellules et renvoyés chez eux, dans des conditions de semi-liberté qui se distinguent à peine de celles des voisins, théoriquement en liberté, mais de fait contraints et surveillés dans les mêmes proportions”, explique Lucien Cerise sur le site Strategika. [3]
Ainsi se retrouve gommée la différence traditionnelle entre “homme libre” et “prisonnier”, le domicile de chacun devenant sa propre prison, avec promenades réglementées.
6) Le monde de 1984
Du jour au lendemain, notre société a basculé dans un système de contrôle social de type orwellien (1984) et carcéral tel que décrit par Michel Foucault (Surveiller et Punir).
L'objectif affiché étant de “sauver des vies”, toute voix critique est automatiquement soupçonnée d’indifférence coupable envers les malheurs d’autrui, y compris quand votre unique préoccupation, comme c’est mon cas, est précisément d’alerter contre le risque d’une catastrophe collective.
Or, la manœuvre réussit parfaitement jusqu'à présent, avec un niveau d'adhésion dans la population qui frise l'unanimité, une partie de l'opinion estimant même que le gouvernement n'en fait pas encore assez dans la répression.
Une majorité attend sans s'inquiéter que l’épidémie de coronavirus se termine pour reprendre ses activités et planifier un départ en vacances qui risque pourtant de n'avoir jamais lieu. Car la vérité est que l'épidémie est déjà terminée, avec moins de dix cas de nouvelle contamination par département français le 1ᵉʳ mai (780 cas au niveau national).
Pendant ce temps, nous nous habituons à ce que toutes nos relations sociales se fassent sur Internet, et donc sous l’œil des Autorités qui bien entendu surveillent nos communications au nom de la lutte contre les “fake news et les théories du complot”.
Nous verrons d'ailleurs si cette lettre est catégorisée comme telle et censurée sur les réseaux sociaux.
Mais vous pouvez compter sur moi pour organiser la résistance si ce que j'ai écrit ici se confirme dans les semaines à venir. Surveillez bien votre boîte à lettres électroniques dans les semaines à venir.
À votre santé !
Jean-Marc Dupuis
N.D.L.R
Dans un récent article je citais le Professeur Raoult et le Docteur Delépine qui affirment : d'ici la fin du mois de mai, fin de partie pour le Covid-19.
Les courbes ci-jointes leur donnent raison mais, comme c'est bizarre, en France on ne veut pas les connaître.
Dans un récent article je citais le Professeur Raoult et le Docteur Delépine qui affirment : d'ici la fin du mois de mai, fin de partie pour le Covid-19.
Les courbes ci-jointes leur donnent raison mais, comme c'est bizarre, en France on ne veut pas les connaître.