> Répression massive des internautes.
> Sans intervention de l'institution judiciaire.
> Sans surveillance de la CNIL.
> Sur la base de dénonciations massives d'officines privées, sans preuves.
> 300.000 emails d'accusation par mois sans contestation possible.
> 90.000 lettres recommandées par mois sans contestation possible.
> 30.000 coupures par mois de l'accès à internet, pour une durée de 1 an, avec des possibilités de contestation totalement délirantes.
> La présomption d'innocence ne s'applique pas. La charge de la preuve est renversée : c'est à vous de prouver que vous êtes innocent.
> Quasi obligation de mettre sur son PC un logiciel (payant) espionnant vos communications y compris vos emails. Il est déjà annoncé que ce mouchard sera relié en temps réel à un serveur central gouvernemental.
> Adoption du principe du sur-référencement : l'ordre d'apparition des sites Web, sur les moteurs de recherche, sera décidé par l'Etat.
> Adoption du principe de filtrage du Web : on va décider pour vous ce que vous pourrez consulter ou non.
Toutes les lignes rouges sont franchies.
La suite à lire attentivement ici