Après avoir regardé la vidéo, ou avant si vous n'avez pas le temps, vous trouverez ci-aprés un article rédigé part Claude 3, version Opus à partir de cette vidéo.
Révolutionnez votre santé mentale par l'alimentation :
les découvertes scientifiques qui changent la donne
Introduction
Et si la clé d'une meilleure santé mentale se trouvait dans notre assiette ?
C'est ce que révèlent les dernières découvertes scientifiques détaillées par le Dr Guillaume Fond, psychiatre et chercheur. Ses travaux novateurs démontrent les liens étroits entre alimentation, microbiote intestinal et troubles psychiques comme la dépression et l'anxiété. Une véritable révolution qui bouscule notre vision du soin en santé mentale et ouvre de nouvelles perspectives passionnantes pour se soigner autrement. Décryptage.
I. L'alimentation, un levier majeur pour la santé mentale
A. Adopter le régime méditerranéen
Le régime méditerranéen, riche en fruits, légumes, légumineuses et céréales complètes, est la meilleure option pour prévenir la dépression. Consommer quotidiennement des produits végétaux variés diminue le risque de 33 %. À l'inverse, l'alimentation ultra-transformée l'augmente d'autant. Les recommandations : viser 20 fruits et légumes différents par semaine et limiter la viande, surtout transformée, à 500g.
B. Fuir les aliments ultra-transformés
Gare aux produits ultra-transformés dont on ne reconnaît plus l'origine, bourrés d'additifs aux noms compliqués. Conçus pour durer longtemps et créer une addiction, ils génèrent de l'inflammation et du stress oxydatif délétères pour le cerveau. Privilégier les aliments bruts est la clé d'une saine alimentation.
C. Rééquilibrer son petit-déjeuner
Trop de sucres, pas assez de protéines : la plupart des petits-déjeuners sont déséquilibrés. Résultat, ils perturbent la glycémie et favorisent l'anxiété. Les bons réflexes : opter pour des protéines (œufs, skyr...) et de bonnes graisses (oléagineux), en adaptant les quantités à son niveau d'activité physique. Et zapper les jus de fruits et céréales ultra-transformées !
II. Ls compléments alimentaires : des alliés santé redoutables
A. L'importance des Oméga-3
Essentiels pour la fluidité des membranes neuronales, les oméga-3 EPA/DHA ont le plus haut niveau de preuve d'efficacité sur la dépression. Sauf que l'alimentation actuelle, même avec des poissons gras, peine à couvrir nos besoins. D'où l'intérêt de les supplémenter, à raison de 1 à 2 g/j d'EPA+DHA.
B. La vitamine D, l'hormone anti-inflammatoire
En modulant le système immunitaire, la vitamine D agit comme un puissant anti-inflammatoire. Son insuffisance, très fréquente sous nos latitudes, augmente le risque de dépression. La supplémentation, de préférence quotidienne, est donc recommandée à tous.
C. Le zinc, un oligo-élément essentiel
Cet oligo-élément active de multiples voies métaboliques et module l'inflammation. Une supplémentation de 5 à 10 mg/j est conseillée, en particulier chez les personnes carencées (dosage sanguin à l'appui).
D. La vitamine B9, mais pas n'importe laquelle
Importante pour la synthèse des neurotransmetteurs, la vitamine B9 doit être apportée sous forme de méthylfolate, sa forme active, et non d'acide folique que 30% des gens ne convertissent pas correctement.
III. Prendre soin de son microbiote, un enjeu crucial
A. Un lien étroit intestin-cerveau
Le microbiote intestinal communique en permanence avec le cerveau via plusieurs voies (nerveuse, hormonale, immunitaire). Un microbiote déséquilibré génère de l'inflammation et augmente le risque de dépression et d'anxiété. D'où l'importance de le chouchouter !
B. L'équation gagnante : fibres + probiotiques
Pour un microbiote en pleine forme, deux ingrédients sont indispensables. D'abord, des fibres variées issues de végétaux pour le nourrir. Ensuite, des probiotiques ciblés pour le rééquilibrer, à des doses suffisantes (>10 milliards) et sur une durée prolongée (>8 semaines).
C. Réduire les facteurs délétères
Certains éléments de notre mode de vie moderne perturbent la flore intestinale : alcool, additifs alimentaires, médicaments... Les limiter permet de préserver la muqueuse intestinale et de réduire l'inflammation liée à son altération.
Conclusion
Les liens entre alimentation, microbiote et santé mentale sont une révolution scientifique majeure. Ils démontrent qu'en changeant notre façon de manger et en ciblant certains micronutriments clés, nous pouvons agir efficacement sur des troubles comme l'anxiété et la dépression, en complément des traitements classiques. Une approche intégrative et personnalisée qui replace l'alimentation au cœur du soin psychique et ouvre de formidables perspectives thérapeutiques. À nous de nous en saisir !
N.D.L.R
Bien entendu tous ces conseils sont valables également pour la santé en général. Mais depuis que l'on a découvert (récemment) notre deuxième cerveau : l'intestin, on découvre également qu'une meilleure alimentation peut être bénéfique à notre santé mentale. Dont le stress, maladie du siècle, fait partie.
A l'occasion de la crise sanitaire récente on a découvert que le stress, dont souffrent de plus en plus beaucoup de nos contemporains, y compris les enfants et les personnes âgées, affaiblit considérablement notre système immunitaire et favorise en conséquence les attaques du virus SARS-COV 2, responsable de la covid. Ainsi que de tous les virus existants et à venir.
Je rappelle que les "autorités" sanitaires de l'époque ne voulait pas entendre parler de l'immunité, naturelle ou acquise. Alors que c'est une caractériqtique essentielle du corps humain, malheuresuement fort mise à mal et en permanence par la pollution, la malbouffe, les pesticides, etc. De la même façon elles réfusaient catégoriquement d'admettre que la vitamine D pouvait être plus efficace que le Dafalgan pour soigner la covid.
Vous trouverez également ci-dessous, en fichier PDF attaché, le résumé, toujours par Claude 3 Opus, de la vidéo.