Aujourd’hui, le Gulf Stream ralentit de plus en plus. Sa vitesse a baissé de 4 % en 40 ans, atteignant un record de lenteur depuis… un millénaire.
Si ce ralentissement se poursuit, les conséquences seraient ressenties à l’échelle mondiale.
Les hivers seraient ainsi plus froids, notamment en Europe où la température moyenne chuterait de plusieurs degrés, conduisant à une forte baisse de la productivité de la végétation. Dans des régions comme l’Inde ou l’Afrique, les moussons s’amenuiseraient, conduisant à l’agrandissement des zones désertiques.
N.D.L.R
Pour ceux qui n'auraient pas vu le film « le jour d'après », je rappelle que le gros problème dans ce film, ce n'est pas la chaleur, mais le froid glacial.
C'est la raison pour laquelle il ne faut plus parler de réchauffement climatique, mais de dérèglement climatique. En effet, cela encourage les climato-sceptiques à nier le dérèglement climatique… quand il fait froid.
Pourquoi les gouvernements et les médias de révérence privilégient-ils en permanence le terme de réchauffement ?
Parce qu'un réchauffement cela peut fluctuer et même se transformer en refroidissement. Un dérèglement parfaitement aléatoire du climat est beaucoup moins susceptible d'atténuation. Et, beaucoup plus dangereux pour l'humanité.
S'il faut lutter, en permanence, contre la chaleur, le froid intense, les orages meurtriers, et les inondations inexorables, les gouvernements, et leurs perroquets, auront beau jeu de dire que ce n'est pas possible.
Et, c'est bien connu : à l'impossible, nul n'est tenu.
Lire l'article de Ça m'intéresse ici
Si ce ralentissement se poursuit, les conséquences seraient ressenties à l’échelle mondiale.
Les hivers seraient ainsi plus froids, notamment en Europe où la température moyenne chuterait de plusieurs degrés, conduisant à une forte baisse de la productivité de la végétation. Dans des régions comme l’Inde ou l’Afrique, les moussons s’amenuiseraient, conduisant à l’agrandissement des zones désertiques.
N.D.L.R
Pour ceux qui n'auraient pas vu le film « le jour d'après », je rappelle que le gros problème dans ce film, ce n'est pas la chaleur, mais le froid glacial.
C'est la raison pour laquelle il ne faut plus parler de réchauffement climatique, mais de dérèglement climatique. En effet, cela encourage les climato-sceptiques à nier le dérèglement climatique… quand il fait froid.
Pourquoi les gouvernements et les médias de révérence privilégient-ils en permanence le terme de réchauffement ?
Parce qu'un réchauffement cela peut fluctuer et même se transformer en refroidissement. Un dérèglement parfaitement aléatoire du climat est beaucoup moins susceptible d'atténuation. Et, beaucoup plus dangereux pour l'humanité.
S'il faut lutter, en permanence, contre la chaleur, le froid intense, les orages meurtriers, et les inondations inexorables, les gouvernements, et leurs perroquets, auront beau jeu de dire que ce n'est pas possible.
Et, c'est bien connu : à l'impossible, nul n'est tenu.
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