C'est fou ce que le temps passe vite...
Rectificatif :
Un de mes lecteurs vient de m'avertir que cette image est en fait un montage.
J'en prends acte et je rectifie mon article.
Mais je ne le supprime pas, car ce montage, finalement, ne fait qu'illustrer des faits avérés.
En effet, il ne fait pas de doute que l'histoire d'amour de Macron et Dame Trogneux a commencé alors qu'il n'avait pas 17 ans, et qu'elle en avait 41.
Si un inconnu fait cela de nos jours, il est passible des Assises.
Je rappelle que le fait que Madame Trogneux était l’enseignante de Macron constitue une circonstance aggravante. En effet :
"Le viol est puni de 20 ans de réclusion criminelle (article 222-24) du code pénal) lorsqu'il est commis par une personne qui abuse de l'autorité que lui confèrent ses fonctions". Ce qui est le cas de tout enseignant par rapport à un(e) de ses élèves.
En conclusion, le photomontage qui fait l'objet de cet article est une peccadille comparée à la peine encourue par « la première dame de France. »
Et cet article est une bonne occasion de rappeler des faits qui ont été depuis soigneusement glissés sous le tapis.
Entendons-nous : le fait de coucher avec une personne plus jeune, voire beaucoup plus jeune, et consentante n'est absolument pas répréhensible. Ce n'est pas moi qui dirais le contraire.
En revanche, avec les mineurs, et encore plus les élèves pour les enseignants, c'est en principe très sévèrement puni par la loi.
Ce qui n'est pas le cas d'un photomontage, surtout s'il a pour but d'illustrer des faits avérés.