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L'introduction
En 2001, le PDG de Taco Bell, une célèbre chaine de fast-food américaine, apprend que la station spatiale russe Mir avait été détruite et allait se crasher dans l’océan Pacifique.
Ce PDG prend alors la décision tout à fait évidente et normale d’imprimer une cible de 150 mètre carré au branding Taco Bell qui va flotter sur l’océan et il annonce au monde entier que si la station spatiale se crashait sur la cible, chaque citoyen américain recevrait un taco gratuit, soit 290 millions de personnes.
A ce stade, on est d’accord qu’il y a de très faibles chances que la station touche la cible. C’est un coup de pub de génie, car désormais le monde entier a appris l’existence d’un fast-food qui s’appelle Taco Bell et tous les américains retenaient leur souffle pour voir s’ils vont avoir un taco gratos.
Mais, même si les chances sont vraiment très faibles, c’est théoriquement possible. Et, si la station tombe sur la cible flottante, Taco Bell va devoir sortir de sa poche 400 millions de $. Ce qui est bien sûr hors de question. Deuxième coup de génie du PDG, il contracte une assurance qui, en échange d’un frais qu’on appelle prime d’assurance, accepte de couvrir le risque de payer les 400 millions de $ d’indemnités.
Au final, la station s’est crashée autre part et n’a pas touché la cible. Les américains ont perdu une occasion de grossir, Taco Bell s’est fait une pub de malade pour le prix d’une prime d’assurance et la société d’assurance a empoché cette prime d’un montant de 4 millions de $.
Finalement, la question qu’il faut se poser est pourquoi une société d’assurance a accepté ce contrat ? Pour répondre à cette question, il faut se mettre dans la tête des assureurs et la façon très intelligente dont ils gèrent le risque.
Après avoir regardé la vidéo, vous trouverez en fichier PDF joint à cet article un résumé, par Claude Sonnet 3.5, via Perplexity.ai.
En 2001, le PDG de Taco Bell, une célèbre chaine de fast-food américaine, apprend que la station spatiale russe Mir avait été détruite et allait se crasher dans l’océan Pacifique.
Ce PDG prend alors la décision tout à fait évidente et normale d’imprimer une cible de 150 mètre carré au branding Taco Bell qui va flotter sur l’océan et il annonce au monde entier que si la station spatiale se crashait sur la cible, chaque citoyen américain recevrait un taco gratuit, soit 290 millions de personnes.
A ce stade, on est d’accord qu’il y a de très faibles chances que la station touche la cible. C’est un coup de pub de génie, car désormais le monde entier a appris l’existence d’un fast-food qui s’appelle Taco Bell et tous les américains retenaient leur souffle pour voir s’ils vont avoir un taco gratos.
Mais, même si les chances sont vraiment très faibles, c’est théoriquement possible. Et, si la station tombe sur la cible flottante, Taco Bell va devoir sortir de sa poche 400 millions de $. Ce qui est bien sûr hors de question. Deuxième coup de génie du PDG, il contracte une assurance qui, en échange d’un frais qu’on appelle prime d’assurance, accepte de couvrir le risque de payer les 400 millions de $ d’indemnités.
Au final, la station s’est crashée autre part et n’a pas touché la cible. Les américains ont perdu une occasion de grossir, Taco Bell s’est fait une pub de malade pour le prix d’une prime d’assurance et la société d’assurance a empoché cette prime d’un montant de 4 millions de $.
Finalement, la question qu’il faut se poser est pourquoi une société d’assurance a accepté ce contrat ? Pour répondre à cette question, il faut se mettre dans la tête des assureurs et la façon très intelligente dont ils gèrent le risque.
Après avoir regardé la vidéo, vous trouverez en fichier PDF joint à cet article un résumé, par Claude Sonnet 3.5, via Perplexity.ai.
« Troisième État » au-delà de la vie et de la mort