L'eau de la Seine a toujours une sale gueule. Pas besoin de prélèvements savants pour n'avoir aucune envie d'y piquer une tête.
Qu'en est-il d'un plan B ? Ce sont tout de même des Jeux olympiques.
Vous allez rire :
Déclaration de préfet : Paris 2024 l'a dit et répété depuis des mois : il n'y a pas de plan B prévu à ce jour. «Monsieur Estanguet a toujours dit qu'il n'y avait pas de plan B», a confirmé le préfet.
Si la Seine est jugée impraticable, le triathlon (1 500m de natation, 40km à vélo, et 10km de course à pied) se transformerait alors en duathlon avec la suppression de l'épreuve de natation.
Fermez le ban. Ah, le génie français...
N.B
Tout ceci n'a pas empêché la fédération de triathlon, le préfet et la mairie de Paris d'autoriser une palanquée de nageurs à nager dans la Seine une épreuve de triathlon en aout 2023, lors d'un "test event". Soit, il y a un an, alors que la Seine devait logiquement être encore plus polluée que maintenant.
Apparemment, il n'y a pas eu de suites douloureuses constatées chez les courageux nageurs. Toutefois, par la suite et jusqu'à aujourd'hui, on a formellement interdit aux nageurs de triathlon (et aux autres) de recommencer cette expérience.
Qu'en est-il d'un plan B ? Ce sont tout de même des Jeux olympiques.
Vous allez rire :
Déclaration de préfet : Paris 2024 l'a dit et répété depuis des mois : il n'y a pas de plan B prévu à ce jour. «Monsieur Estanguet a toujours dit qu'il n'y avait pas de plan B», a confirmé le préfet.
Si la Seine est jugée impraticable, le triathlon (1 500m de natation, 40km à vélo, et 10km de course à pied) se transformerait alors en duathlon avec la suppression de l'épreuve de natation.
Fermez le ban. Ah, le génie français...
N.B
Tout ceci n'a pas empêché la fédération de triathlon, le préfet et la mairie de Paris d'autoriser une palanquée de nageurs à nager dans la Seine une épreuve de triathlon en aout 2023, lors d'un "test event". Soit, il y a un an, alors que la Seine devait logiquement être encore plus polluée que maintenant.
Apparemment, il n'y a pas eu de suites douloureuses constatées chez les courageux nageurs. Toutefois, par la suite et jusqu'à aujourd'hui, on a formellement interdit aux nageurs de triathlon (et aux autres) de recommencer cette expérience.
Il y en a qui n'ont peur de rien