J'ai toujours détesté Twitter. A mon sens, c'est exactement et depuis toujours, le plus haïssable des réseaux sociaux.
La moindre opinion susceptible d'être contredite le sera, ce qui est normal sur un lieu de discussion.
Ce qui est beaucoup moins normal c'est que les discussions ne peuvent jamais s'avérer constructives. Il y a toujours un "troller", un "hater", un connard quoi, qui va s'immiscer dans la controverse avec son langage ordurier et son cerveau borné, aussi surement que jadis la vérole dans le bas clergé.
Il se trouve que beaucoup (trop) de personnes adorent se rouler dans cette fange nauséeuse. Les journalistes en premier milieu qui viennent y chercher leur pain quotidien. Comme le pense Musk, et tous les patrons de journaux et leurs corvéables : toute controverse est bonne pour ceux qui en vivent. Ou comme le disent les people : remuer la merde, Coco, c'est très juteux !
Je suis sur Facebook depuis 2008, d'abord parce que mes enfants sont éparpillés dans le monde et que, comme tous les enfants, ils sont plus prolixes avec Facebook qu'avec leur parents. Ensuite, parce que j'adore partager mes coups de cœur et mes coups de gueule et que j'ai beaucoup plus de followers sur Facebook que sur ce site.
Ceux qui le connaissent, il existe depuis 23 ans, savent que je n'ai pas pour habitude de mâcher mes mots. Tout en restant ouvert à la discussion tant qu'elle reste courtoise. Il m'arrive donc souvent d'exprimer sur Facebook des idées qui pourraient susciter la controverse. Et bien, depuis 15 ans, sur ce réseau, j'ai souvent eu des discussions, mais elles ont très rarement dégénéré. Et, je poste souvent, et beaucoup.
Il faut dire que, comme sur mon site, si un "hater" se mêle de la discussion, je peux le bannir de mon compte Facebook et ne plus jamais en entendre parler. C'est très efficace.
Je présume que sur X cela doit être plus difficile, et je ne veux pas le savoir. Je ne vais sur Facebook que lorsqu'une personne que je respecte publie un Tweet qui pourrait m'intéresser. Pour le reste, je cherche mes infos ailleurs que sur Twitter. Et, je n'ai que l'embarras du choix.
Quant à ce que je pense Élon Musk : il est la preuve vivante que l'on peut être un génie (ce qui, dans son cas, est indéniable) et « en même temps» (comme dirait le plus détesté des Présidents) un Connard majuscule.
Comme d'habitude vous trouverez en fichier annexé à cet article un résumé de ChatGPT +
L'adresse de l'article de Numérama
La moindre opinion susceptible d'être contredite le sera, ce qui est normal sur un lieu de discussion.
Ce qui est beaucoup moins normal c'est que les discussions ne peuvent jamais s'avérer constructives. Il y a toujours un "troller", un "hater", un connard quoi, qui va s'immiscer dans la controverse avec son langage ordurier et son cerveau borné, aussi surement que jadis la vérole dans le bas clergé.
Il se trouve que beaucoup (trop) de personnes adorent se rouler dans cette fange nauséeuse. Les journalistes en premier milieu qui viennent y chercher leur pain quotidien. Comme le pense Musk, et tous les patrons de journaux et leurs corvéables : toute controverse est bonne pour ceux qui en vivent. Ou comme le disent les people : remuer la merde, Coco, c'est très juteux !
Je suis sur Facebook depuis 2008, d'abord parce que mes enfants sont éparpillés dans le monde et que, comme tous les enfants, ils sont plus prolixes avec Facebook qu'avec leur parents. Ensuite, parce que j'adore partager mes coups de cœur et mes coups de gueule et que j'ai beaucoup plus de followers sur Facebook que sur ce site.
Ceux qui le connaissent, il existe depuis 23 ans, savent que je n'ai pas pour habitude de mâcher mes mots. Tout en restant ouvert à la discussion tant qu'elle reste courtoise. Il m'arrive donc souvent d'exprimer sur Facebook des idées qui pourraient susciter la controverse. Et bien, depuis 15 ans, sur ce réseau, j'ai souvent eu des discussions, mais elles ont très rarement dégénéré. Et, je poste souvent, et beaucoup.
Il faut dire que, comme sur mon site, si un "hater" se mêle de la discussion, je peux le bannir de mon compte Facebook et ne plus jamais en entendre parler. C'est très efficace.
Je présume que sur X cela doit être plus difficile, et je ne veux pas le savoir. Je ne vais sur Facebook que lorsqu'une personne que je respecte publie un Tweet qui pourrait m'intéresser. Pour le reste, je cherche mes infos ailleurs que sur Twitter. Et, je n'ai que l'embarras du choix.
Quant à ce que je pense Élon Musk : il est la preuve vivante que l'on peut être un génie (ce qui, dans son cas, est indéniable) et « en même temps» (comme dirait le plus détesté des Présidents) un Connard majuscule.
Comme d'habitude vous trouverez en fichier annexé à cet article un résumé de ChatGPT +
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