A l'attention des nationalistes généralement susceptibles, it's a joke, mais ce n'est pas la France de Macron qui me fera revenir !
Qu'on ne me dise pas qu'il s'agit là d'une attitude de nanti ; partout où je suis allé, la vie est au moins trois fois moins chère qu'en France ! Ce qui me permet de voyager plus souvent.
Au demeurant :
Enfin, si j'ai un bonne retraite, c'est parce qu'orphelin de père et avec une mère d'origine étrangère qui faisait des ménages pour parvenir à élever mon frère et moi, j'ai fait des études supérieures, j'ai réussi à des concours plutôt difficiles, et j'ai choisi d'exercer outre-Mer une profession fort peu primesautière il faut bien le dire, (comptable public !), mais qui m'a permis de prendre ma retraite le jour des mes 60 ans avec 80%+15% (4 enfants) +35% (Île de la Réunion) de mon dernier traitement (primes exceptées, évidemment).
Je ne me justifie pas, j'explique !
Autrement dit, comme je le répète souvent ici, sauf malchance avérée, on a la vie que l'on se fait, c'est à dire celle qu'on mérite.
Il arrive que des lecteurs de ce site, ou des amis lors de discussions suggèrent que j'ai, et que j'ai eu de la chance. Je ne le pense pas.
Travailler toute sa carrière Outre-Mer, surtout dans ma profession, ce n'était pas drôle tous les jours, et le soleil et les cocotiers j'en n'ai vraiment pas abusé. Quant à faire le DRH avec des fonctionnaires Domiens pendant quasiment toute ma carrière, sans se faire raccompagner fermement à l'avion vers la métropole, je peux vous assurer que ce n'est pas ce qu'il y a de plus facile
Vivre seul, comme je le fais, depuis 20 ans, la plupart des hommes ne le supporteraient pas aussi longtemps.
Vivre à l'étranger depuis ma retraite, dans des pays où on ne parle pas le même étranger que nous, comme disait l'autre, ce n'est pas évident, surtout en Thaïlande, par exemple.
En fait, la seule qualité que je me reconnaisse c'est la capacité d'adaptation.
Je suis un vrai caméléon. Je passe de la situation de célibataire endurci, c'est le cas de le dire, à celle de fêtard et queutard invétéré pendant un mois à Madagascar avec une facilité et une rapidité déconcertantes. A ce niveau là ce n'est plus de la capacité d'adaptation, c'est Dr Jekyll and Mr Hyde ! J'ai fait cela pendant 12 ans à la Réunion : je ne bougeais pas une oreille au boulot et toutes les 6 semaines je partais me défouler grave pendant 15 jours à Mada. Comme par exemple, danser de façon très suggestive avec une accorte jeune femme sur les tables du Glacier à Tananarive. Entre autres.
Idem, lorsque nous nous sommes séparés à plusieurs reprises avec ma deuxième, pardon seconde, épouse pendant mes 16 années passées aux Antilles (St Barth et St Martin)
Ceux qui m'avaient connu marié, père de famille, ne me reconnaissaient plus lorsque j'étais célibataire. Tous les matins je rentrais dans mon appartement de fonction à 3 heures pour prendre le boulot à à 8 heures. Le pire, c'est que lorsque j'étais marié, père de famille, je devenais vraiment pantouflard et je répugnais à sortir !
La chance que j'ai eue, je l'avoue finalement, c'est de savoir m'adapter rapidement à une époque : 1946/2017 où il fut vraiment nécessaire de disposer de cette qualité. Ce le sera d'ailleurs encore plus dans les années à venir. Être intelligent, travailleur, c'est bien, mais savoir s'adapter à toutes les situations, rapidement et dans la bonne humeur, c'est mieux !
A cet égard, je suis ravi que mes enfants, à l'évidence, aient hérité de cette qualité. Elle leur sera encore plus nécessaire qu'à moi. Mais je n'ai, depuis longtemps, aucune inquiétude pour eux.
Qu'on ne me dise pas qu'il s'agit là d'une attitude de nanti ; partout où je suis allé, la vie est au moins trois fois moins chère qu'en France ! Ce qui me permet de voyager plus souvent.
Au demeurant :
- Je n'ai plus de femme, à la maison, depuis
20 ans,
- Je n'ai jamais possédé de maison, heureusement, j'ai divorcé deux fois,
- J'ai une voiture d'occasion que j'ai payée 4000 €,
- Je ne fume plus depuis 20 ans (à 10 euros le paquet, j'économise 900 € par mois, je fumais 3 paquets par jour)
- Je ne suis pas joueur pour un sou
- Il m'arrive de payer pour passer la nuit avec une femme, ou plusieurs, mais je peux vous dire que dans les pays où je pratique ces exercices je bénéficie de rapports qualité/prix absolument imbattables. A Mada, par exemple le mois dernier, deux charmantes jeunes femmes de 25 et 26 ans, pendant trois bonnes heures l'après midi (elles n'ont pas le droit de sortir le soir !) pour 30 euros. Et beaucoup de fun, de part et d'autres. Absolument rien de sordide, je vous l'assure. J'ai horreur du sordide. De plus, ayant payé des pensions alimentaires une bonne partie de ma vie, jusqu'à une date très récente, je suis bien placé pour savoir que les femmes que l'on paie sont celles qui coûtent le moins cher ;-)
Enfin, si j'ai un bonne retraite, c'est parce qu'orphelin de père et avec une mère d'origine étrangère qui faisait des ménages pour parvenir à élever mon frère et moi, j'ai fait des études supérieures, j'ai réussi à des concours plutôt difficiles, et j'ai choisi d'exercer outre-Mer une profession fort peu primesautière il faut bien le dire, (comptable public !), mais qui m'a permis de prendre ma retraite le jour des mes 60 ans avec 80%+15% (4 enfants) +35% (Île de la Réunion) de mon dernier traitement (primes exceptées, évidemment).
Je ne me justifie pas, j'explique !
Autrement dit, comme je le répète souvent ici, sauf malchance avérée, on a la vie que l'on se fait, c'est à dire celle qu'on mérite.
Il arrive que des lecteurs de ce site, ou des amis lors de discussions suggèrent que j'ai, et que j'ai eu de la chance. Je ne le pense pas.
Travailler toute sa carrière Outre-Mer, surtout dans ma profession, ce n'était pas drôle tous les jours, et le soleil et les cocotiers j'en n'ai vraiment pas abusé. Quant à faire le DRH avec des fonctionnaires Domiens pendant quasiment toute ma carrière, sans se faire raccompagner fermement à l'avion vers la métropole, je peux vous assurer que ce n'est pas ce qu'il y a de plus facile
Vivre seul, comme je le fais, depuis 20 ans, la plupart des hommes ne le supporteraient pas aussi longtemps.
Vivre à l'étranger depuis ma retraite, dans des pays où on ne parle pas le même étranger que nous, comme disait l'autre, ce n'est pas évident, surtout en Thaïlande, par exemple.
En fait, la seule qualité que je me reconnaisse c'est la capacité d'adaptation.
Je suis un vrai caméléon. Je passe de la situation de célibataire endurci, c'est le cas de le dire, à celle de fêtard et queutard invétéré pendant un mois à Madagascar avec une facilité et une rapidité déconcertantes. A ce niveau là ce n'est plus de la capacité d'adaptation, c'est Dr Jekyll and Mr Hyde ! J'ai fait cela pendant 12 ans à la Réunion : je ne bougeais pas une oreille au boulot et toutes les 6 semaines je partais me défouler grave pendant 15 jours à Mada. Comme par exemple, danser de façon très suggestive avec une accorte jeune femme sur les tables du Glacier à Tananarive. Entre autres.
Idem, lorsque nous nous sommes séparés à plusieurs reprises avec ma deuxième, pardon seconde, épouse pendant mes 16 années passées aux Antilles (St Barth et St Martin)
Ceux qui m'avaient connu marié, père de famille, ne me reconnaissaient plus lorsque j'étais célibataire. Tous les matins je rentrais dans mon appartement de fonction à 3 heures pour prendre le boulot à à 8 heures. Le pire, c'est que lorsque j'étais marié, père de famille, je devenais vraiment pantouflard et je répugnais à sortir !
La chance que j'ai eue, je l'avoue finalement, c'est de savoir m'adapter rapidement à une époque : 1946/2017 où il fut vraiment nécessaire de disposer de cette qualité. Ce le sera d'ailleurs encore plus dans les années à venir. Être intelligent, travailleur, c'est bien, mais savoir s'adapter à toutes les situations, rapidement et dans la bonne humeur, c'est mieux !
A cet égard, je suis ravi que mes enfants, à l'évidence, aient hérité de cette qualité. Elle leur sera encore plus nécessaire qu'à moi. Mais je n'ai, depuis longtemps, aucune inquiétude pour eux.