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WEB SIDE STORIES

«L'avenir n'est plus ce qu'il était» [Paul Valéry]



Faut il avoir peur du Wifi ?

La mairie de Paris, pourtant ardente contemptrice du Wifi, vient de suspendre ses installations dans quatre bibliothèques de la capitale. Partout dans le monde, comme on l'a fait pour les ondes dégagées par les Gms et autres antennes de distribution, on commence à s'interroger sur l'influence des ondes électro-magnétiques telles que le Wifi sur l'être humain.



Une autre façon de contrôler les naissances !
Une autre façon de contrôler les naissances !
En dépit de mon grand âge (61 ans) Je suis ce qu'on appelle un geek, c'est à dire un adepte convaincu des nouvelles technologies. J'ai donc chez moi une Izibox, analogue à la Freebox et autres Livebox. IL s'agit d'un boîtier permettant d'accéder à Internet sans fil, ou avec fil, à votre convenance.

Depuis quelques temps je souffrais de maux de tête fréquents, ce qui n'est pas du tout habituel chez moi, ayant la chance de disposer, jusqu' à présent, d'une excellente santé. J'ai tout essayé pour enrayer ces maux de tête, en vain, jusqu'à ce que je réalise que lorsque je ne suis pas à la Réunion, lorsque je suis à Madagascar par exemple, je n'ai jamais de maux de tête. J'ai donc fini, la mort dans l'âme, par débrancher, pour voir, les signaux Wifi de mon Izibox et ...je n'ai plus de maux de tête !

Croyez bien qu'il m'en coûte énormément de devoir me passer du Wifi car je fus un ardent défenseur de cette technologie. Jusque dans mon domaine professionnel , car j'étais intendant de lycée dans une vie antérieure et j'ai mis en place nombre de salles équipées en Wifi, alors que cette technologie n'était pas encore très connue dans nos lycées.

Il faut bien reconnaître que nous sommes de plus en plus concernés, voire cernés, par les ondes électro-magnétiques : entre autres, le Gprs/Edge/ de nos Gsm, le Wifi, le Bluetooth et très bientôt l'Usb sans fil.

Tous les commerçants jurent, la main sur le cœur, que toutes ces ondes n'ont aucun effet sur l'homme. Or, non seulement on n'a jamais pris la peine de le démontrer, mais plus grave, on cache volontiers toutes les études qui ne vont pas dans le sens souhaité par les dits commerçants, largement épaulés maintenant par les pouvoirs publics, de plus en plus sarko-scouisés.

Alors ?

Alors, méfiance ! En ce qui me concerne j'ai remplacé le Wifi par le CPL (Courant Porteur de Ligne ; technologie qui consiste à faire transiter le signal informatique par le réseau électrique domestique) et je m'en porte (!) beaucoup mieux. Mon signal également car, contrairement au Wifi le CPL se joue des obstacles pour atteindre maintenant la très impressionnante vitesse de 200 megabits/sec.

Ce qui se révèle largement suffisant pour supporter, encore quelques siècles, le haut débit (!) parcimonieusement, mais chèrement, dispensé dans notre île par France Telecom et son Safe (en français : coffre fort !)

La BNF a renoncé au Wifi : A lire ici



Exrait du site Mobinaute

Une autre façon de contrôler les naissances !
Une autre façon de contrôler les naissances !
Les mobiles GSM/WiFi dangereux pour la santé ?

Publié par Alexandre Habian le Lundi 2 Juillet 2007

Alors que les mobiles hybrides GSM/WiFi commencent à être démocratisés auprès du grand public, notamment grâce aux offres de Free (Freephones), Orange (Unik) ou Neuf Cegetel (Twin), le Criirem se pose la question du danger potentiel sur l'Homme de l'exposition aux champs électromagnétiques de ces terminaux.

Déjà contestée lorsque le téléphone mobile émet et reçoit en permanence des ondes GSM, cette exposition est en effet accentuée lorsque le même terminal est également équipé de WiFi. A cette occasion, le Criirem (centre de recherche et d'information indépendantes sur les rayonnement électromagnétiques), a voulu tirer la sonnette d'alarme sur la multiplication de ces expositions sans pour autant que soit posée la question des risques liés à une utilisation prolongée de ces terminaux.

« Avec ces téléphones hybrides, il ne s'agit plus de rayonnements GSM à 900 ou 1800 Mhz. Ni à 2100 Mhz, la bande radio allouée à l'UMTS. En mode Wi-fi, le terminal émet des ondes pulsées à 2450 Mhz, la fréquence optimum pour agiter les molécules d'eau – c'est-à-dire exactement celle utilisée par un four à micro-ondes » commence par préciser le Criirem. Assez alarmiste, l'association n'hésite pas à ajouter que ces rayonnements pourraient provoquer dans certains cas des « sensations de chaleur ou de pulsations crâniennes, de fatigue, de migraines, d'insomnie ».

« Lors de l'usage d'un téléphone Wi-fi, ou la proximité quotidienne avec un point d'accès, les expositions au Wi-fi s'additionnent et peuvent provoquer, dans la durée, ces réactions biologiques. Nous recevons régulièrement des témoignages en ce sens », finit par ajouter Michèle Rivasi, présidente du criirem. Selon la dernière étude de l'Arcep publiée en avril dernier et intitulée « RLAN et Champs électromagnétiques », il était recommandé aux mobinautes de « positionner les points d'accès [...] plus haut que la hauteur de la tête et [...] d'éviter de toucher de façon prolongée une antenne » pour éviter tous risques sanitaires.

Les rayonnements électromagnétiques empoisonnent l'Amérique

Next –up organisation

et IDAHO Observer présentent

par

Amy Worthington

Reproduction : Faites œuvre de salubrité publique.

La reproduction partielle ou intégrale de ce document est vivement encouragée en stipulant ses origines.

Avant-propos,

Face à un suicide collectif latent d’une population tenue dans une parfaite ignorance des effets délétères des radiofréquences sur la santé, Amy Worthington, journaliste au IDAHO Observer dresse un véritable réquisitoire contre les responsables de cette pollution environnementale aux USA: "Les régulateurs fédéraux sont clairement compromis et trop incompétents pour protéger la santé publique . . . Contre cet état de fait, nous devons tirer la sonnette d'alarme".

La mégalomanie, l’irresponsabilité des industriels des télécommunications en synergie avec des intérêts financiers majeurs ont rendu la majorité des parlementaires serviles. L’ensemble associé aux recommandations de l’OMS , ou à des scientifiques connus qui ont ouvert la boîte de pandore en prêchant l’innocuité des irradiations tout en étant rétribués par ces mêmes industriels a généré une situation hors de contrôle et dramatique pour le devenir des nations industrialisées.

De nombreuses constatations implacables d’Amy Worthington peuvent être transposées aux pays Européens, dont la France.

Que personne ne s’y trompe, l’heure des comptes en tous genres a commencé le 17 Novembre 2005 à la réunion de l’OMS à Melbourne (Australie).

Serge Sargentini, Next-Organisation.

Next-up organisation (France) remercie l’aimable aide du IDAHO Observer (USA). Traducteurs Pascal B et Raoul T., vérificateur André S., correctrices Monique V. & Marie-Pierre C.

Par Amy Worthington 17 Novembre 2007

Avant 1996, l'âge du sans fil (Wireless) était lent à se mettre en place, principalement parce que les collectivités avaient le pouvoir de bloquer l'implantation des sites d’antennes relais. Mais le Federal Communications Act de 1996 rend à présent pratiquement impossible pour les collectivités d’empêcher la construction des antennes relais, même si elles constituent une menace pour la santé publique et l'environnement.

Etant donné que la décision d'entrer dans l'ère du sans fil a été déterminée politiquement à notre place, nous avons écarté les causes des soucis environnementaux et de sécurité bien documentés et avec une dangereuse insouciance à courte vue, nous avons intégré dans notre vie tous les gadgets du sans fil qui arrivent sur le marché.

Nous agissons comme si nous étions drogués aux radiations électromagnétiques. Notre dépendance aux téléphones cellulaires nous a entraîné par addiction vers l’Internet WiFi . Aujourd’hui, nous baignons dans ce rayonnement que notre enthousiasme pour le sans fil a déclenché. Ceux qui sont dépendants, non informés, trompés par les industriels et les politiques influencés ne se soucient pas des avertissements des scientifiques quant aux dangers apocalyptiques des rayonnements du sans fil. Contre cet état de fait, nous devons tirer la sonnette d'alarme.

Illa Garcia portait des bijoux le premier jour où elle revint travailler comme vigie anti-incendie de l'État de Californie à l'été 2002. L'intense rayonnement des dizaines d’antennes / RF entourant son poste d’observation chauffa suffisamment les métaux sur son corps pour lui brûler la peau. « J'ai encore les cicatrices », dit-elle. « Je n'ai plus jamais porté de bijoux au travail après cela ».

Ce poste de vigie de montagne sur le territoire du Service des Forêts des Etats-Unis, avec une vue spectaculaire sur le mont Shasta, est l'un des milliers de "points chauds" des rayonnements micro- ondes / RF à travers le pays. Une tour de communication cellulaire nouvellement érigée se trouvait à 30 pieds à peine du poste. "Une antenne de cette tour se trouvait même au même niveau que nos têtes", se souvient Garcia. « Nous pouvions entendre un bourdonnement strident aigu. Il y avait également trois antennes de communication d’état montées sur l'affût de la tour à 6 pieds de l'endroit où nous marchions. Nous passions à côté d’elles chaque jour en grimpant dans le poste de vigie. »

Les manuels de la compagnie Motorola pour la gestion des sites de communications confirment que les radiations hautes fréquences de ces antennes relais sont dangereuses. Les règlements de sécurité rendent obligatoires les signaux d’avertissements, les formations de sensibilisation au CEM, les tenues de protection obligatoires et même des transmetteurs de désactivation pour le personnel travaillant à proximité des antennes. Garcia et sa collègue Marie Jasso n'ont jamais été mises en garde contre les dangers. Cela, disent-ils, démontre une extrême malfaisance de la part des opérateurs et des sociétés commerciales responsables de leur exposition.

A la fin de la saison des incendies, Garcia et Jasso étaient tellement malades qu’elles ont été forcées de prendre leur retraite et leur poste de vigie fut fermé au personnel d’Etat. Garcia, qui a 52 ans, est aujourd'hui gravement handicapée et souffre de fibromyalgie, de thyroïdie auto immunitaire aiguë et de dégénérescence nerveuse. Des tests médicaux ont confirmé des ruptures de brins d’ADN dans son sang et des nécroses anormales dans son cerveau.

Le Dr Gunner Heuser, un médecin spécialisé en neurotoxicité, précise que les troubles de Garcia sont la conséquence d’expositions chroniques à des champs électromagnétiques dans la gamme des micro- ondes, et « qu’elle en est devenue par conséquent totalement invalide. » M. Heuser écrit: "Dans mon expérience, les patients développent de multiples pathologies après une exposition aux CEM exactement comme ils le font après une exposition à des produits chimiques toxiques."

Jasso, qui a travaillé sur le même poste de vigie pendant 11 saisons, est également handicapée avec des dommages cérébraux et pulmonaires, une paralysie partielle du côté gauche, des tremblements musculaires, des douleurs osseuses et des lésions de l'ADN. Jasso a découvert que toutes les personnes vigies qui ont travaillé à Likely Mountain depuis 1989 sont handicapées. À 61 ans à peine, elle a perdu la mémoire au point qu'elle ne peut pas se souvenir des dates de naissance de ses trois premiers enfants.

Elle craint que les rayonnements des télécommunications soient un facteur majeur dans les phénoménales épidémies de démence et d’autisme que connaît la nation.

Les deux femmes disent avoir été injustement lésées de compensations professionnelles et de prestations médicales. Leurs appels à l'aide à l'État et aux organismes fédéraux ont été vains. Ensemble, elles ont déboursé plus de 150.000 dollars en frais médicaux, bien qu’il n'existe pas de traitement efficace pour les maladies dues aux rayonnements.

Vingt-deux autres membres des familles Jasso et Garcia ont également été exposés aux rayonnements de Likely Mountain. Tous souffrent à présent de maladies graves et coûteuses, incluant des tumeurs, les anomalies sanguines, des problèmes d'estomac, des poumons endommagés, des douleurs osseuses, des spasmes musculaires, une fatigue extrême, des tremblements, des engourdissements, une altération de la motricité, des cataractes, des pertes de mémoire, une dégénérescence de la colonne vertébrale, des troubles du sommeil, une immunité réduite contre les infections, des problèmes d’audition et de vision, des pertes de cheveux et des allergies.

Le mari de Jasso, qui a souvent séjourné sur le poste de vigie, souffre d’un rare sarcome des tissus mous connus pour être lié aux rayonnements. Le mari de Garcia, qui a passé moins de temps sur le poste, souffre quant à lui d’un cancer systémique qui a commencé par un sarcome du colon.

Teresa, la fille de Garcia, est restée sur le poste de vigie pendant un total de deux heures pendant sa première grossesse. Sa fille est née avec de légères lésions cérébrales et des problèmes immunitaires. "Ce bébé était toujours malade", explique Garcia. Teresa n'a passé que trois jours sur le poste de vigie lors de sa deuxième grossesse. Son fils est né autiste.

Garcia et Jasso souffrent d’une condition terminale connue sous le nom « d’encéphalopathie toxique », impliquant des lésions cérébrales aux lobes temporaux et frontaux. Cela fut confirmé par des scanners spécifiques du cerveau. Douze autres personnes dans ce groupe de deux familles qui avaient également passé des scanners ont été diagnostiquées avec ce mal. "Chacun d'entre nous qui a cette condition s’est entendu dire qu’il est en train de mourir", explique Garcia. "Nos cellules mutées reproduiront de nouvelles cellules mutées jusqu'à ce que finalement, le corps s'arrête."

Des "bombes nucléaires" sur les pylônes.

Ces pénibles conditions endurées par les familles Garcia et Jasso sont identiques à celles subies par les victimes japonaises des ondes de rayonnements gamma après les explosions nucléaires d'Hiroshima et de Nagasaki en 1945. Cinq décennies d'études confirment que les rayonnements nonionisants des communications dans le spectre des micro-ondes / RF ont le même effet sur la santé humaine que les rayonnements ionisants d’ondes Gamma des réactions nucléaires. Le Dr. Heyo Eckel, expert allemand de pointe dans le domaine des rayonnements et fonctionnaire de l'Association Médicale Allemande, déclare que "les blessures qui résultent de rayonnements radioactifs sont identiques aux effets des rayonnements électromagnétiques. Les dégâts sont tellement similaires qu'ils sont difficiles à différencier. " [1]

Comprendre ce qui s'est passé à Likely Mountain est essentiel à la compréhension de la menace pour la santé publique posée par les rayonnements à hyperfréquences / RF aux États-Unis. Les familles de Garcia et Jasso, ainsi que des anciennes vigies et des multitudes de touristes qui ont visité Likely Moutain en camping ou en promenade ont subi les mêmes sortes de rayonnements à hautes fréquences qui irradient à partir des dizaines de milliers de tours d’antennes relais et d’antennes de toit érigées à travers l’Amérique pour les communications sans fil. La ville de San Francisco, avec une superficie de sept kilomètres carrés à peine, compte plus de 2.500 d’antennes relais cellulaires de téléphonique mobile autorisées positionnées à 530 endroits de la ville. En pratique, cette ville, comme des milliers d'autres, est bombardée d’ondes de type micro-ondes 24 heures par jour.

Les dommages identiques résultant à la fois des ondes gamma radioactives et des micro-ondes à hautes fréquences induisent une condition pathologique dans laquelle le noyau d’une cellule humaine irradiée se scinde en fragments appelés rupture d’ADN. Les ruptures d’ADN sont des précurseurs assurés du cancer. Lors du désastre du réacteur nucléaire de Tchernobyl en 1986 en Russie, les rayonnements ionisants libérés furent équivalents à 400 bombes atomiques, et causèrent un bilan humain final estimé à 10.000 morts. Les russes exposés développèrent rapidement des ruptures d’ADN dans le sang, les laissant exposés à un risque élevé de cancer.

Ce qu'ils ne nous ont pas dit.

Les micro-ondes / RF des téléphones mobiles et des émetteurs des antennes relais causent également des dommages de types ruptures d’ADN dans les cellules sanguines. Cela fut reporté voici une décennie par les docteurs Henry Lai et Narendrah Singh, spécialisés en recherche biomédicale à l'Université de Washington à Seattle. Le Dr Singh est réputé pour les études des comètes d’ADN qui servent à identifier les lésions de l'ADN. Lai et Singh ont démontré dans de nombreuses études sur des animaux, que le rayonnement de la téléphonie mobile provoque rapidement des ruptures de brins simples et doubles d'ADN, cela à des niveaux bien en deçà des normes d’exposition fédérales actuelles jugées « sûres ». [2]

L’industrie des télécommunications sait tout cela grâce à son propre programme d’étude Wireless Technology Research ( WTR : vidéo ) échelonné sur une durée de six ans mandatée par le Congrès et qui fut complété en 1999. Une équipe de plus de 200 médecins, de scientifiques et d’experts dans ce domaine a démontré que le sang humain exposé aux rayonnements des téléphones cellulaires subissait une augmentation des dommages génétiques de 300 % sous la forme de micronoyaux.[3]

Le Dr. George Carlo, un expert dans le domaine de la santé publique qui a coordonné ces études sur le WTR, confirme que l'exposition aux rayonnements des communications utilisant la technologie sans fil est "potentiellement la plus grande insulte à la santé" que cette nation ait jamais connue.

M. Carlo croit que les rayonnements micro-ondes / RF sont une plus grande menace que l'usage de la cigarette et l'amiante. [Reportage vidéo : Interview Accablante du Dr George Carlo WTR ].

En 2000, le géant européen des communications T-Mobile a commissionné l’institut allemand ECOLOG pour examiner tous les éléments scientifiques disponibles en ce qui concerne les risques sanitaires liés à l’utilisation des télécommunications sans fil. ECOLOG a trouvé plus de 220 documents publiés et pré publiés concernant les effets déclencheurs ou promoteurs de cancers suite à une irradiation par les rayonnements à hautes fréquences employés par la technologie sans fil.[4]

Beaucoup d'études ont été publiées depuis.

En 2004, douze groupes de recherche venus de sept pays européens et coopérant dans le projet d'étude REFLEX [ Pr Franz Adlkofer: vidéo ] confirmèrent que, dans des conditions de laboratoire, les micro-ondes des appareils de communications sans fil provoquaient des ruptures significatives de brins d’ADN simples et doubles à la fois dans les cellules humaines et animales.[5]

En 2005, une étude médicale chinoise a confirmé des dommages statistiquement significatifs à l’ADN par le fait des micro-ondes pulsées du niveau utilisés avec les téléphones cellulaires.[6]

Cette même année, des chercheurs de l'Université de Chicago ont décrit comment les micro-ondes pulsées des communications modifient l'expression des gènes dans les cellules humaines à des niveaux d’expositions non-thermiques (athermique). [7]

Parce que les ondes gamma et les rayonnements micro-ondes / RF sont identiquement carcinogéniques et génotoxiques pour les racines cellulaires de la vie, la dose de sécurité pour les deux types de rayonnements est de zéro.

Aucune étude n'a prouvé qu’un quelconque niveau d'exposition à des rayonnements dommageables pour les cellules est sans danger pour les humains. Le Dr George Carlo confirme que les dégâts aux cellules ne sont pas dépendants de la dose car n’importe quel niveau d’exposition, si minime soit-il, peut déclencher une réaction de défense de la part des mécanismes cellulaires.[8]

Les fonctionnaires de la Food and Drug Administration et le National Institutes of Health passèrent étroitement en revue les résultats accablants des études WTR qui ont également révélé les dégâts causés par les micro-ondes à la barrière sanguine du cerveau (barrière Hémato Encéphalique). Mais ces fonctionnaires ont choisi de minimiser, d’obscurcir et même de nier les éléments scientifiques irréfutables.

Tirant des milliards de dollars de la vente de licences des spectres de fréquences, le gouvernement fédéral a permis à l'industrie des télécommunications de répandre une technologie manifestement dangereuse qui incite des millions de personnes à s’entourer d’appareils sans fils improprement testés

[9] et à saturer la nation avec les ondes cancérigènes qu’utilisent ces appareils.

Le Dr. Carlo explique que même l'American Cancer Society marche main dans la main avec l'industrie des communications, laquelle octroie à la société de substantielles contributions. [10]

Deux façons de mourir.

La science médicale démontre qu'il existe deux façons de mourir d'empoisonnement par rayonnement: "la cuisson rapide et la cuisson lente". Les japonais brûlés par l’éclair des explosions nucléaires virent une partie de leurs chairs se détacher avant de mourir dans de pénibles douleurs quelques heures ou quelques jours plus tard. D’autres personnes ont également trouvé une mort rapide après avoir marché au travers de puissants faisceaux radar dont les micro-ondes peuvent "cuire" les organes internes en quelques secondes d'exposition à peine.

Les mécanismes de "cuisson" lente par rayonnements sont cumulatifs, progressifs, permanents et continus. Des milliers de victimes japonaises des détonations nucléaires sont mortes dans de pénibles douleurs des années après avoir été exposées. Le processus de "cuisson" lente par exposition aux micro-ondes / RF se manifeste par des éruptions de cancers communément trouvées dans les riverains qui sont irradiés par les sites d’antennes relais. De récentes études épidémiologiques suédoises confirment qu’après 2.000 heures d'exposition aux téléphones cellulaires, soit une période de latence d'environ 10 ans, le risque de cancer du cerveau augmente de 240 pour cent. [11]

L’habitat humain est aujourd’hui simultanément inondé par de nombreuses fréquences électromagnétiques différentes. L'ADN humain perçoit très clairement cette cacophonie énergique et réagit comme le ferait l’oreille humaine à un volume élevé de musique country, de R & B et de rock and roll sortant d’un même haut-parleur. Les cellules irradiées luttent pour se prémunir contre ces dissonances destructrices en durcissant leurs membranes. Elles cessent de recevoir des nutriments, cessent de libérer des toxines, meurent prématurément et déversent des fragments de micronoyaux en une sorte de "tumor bank account." Ceci est précisément la façon dont les rayonnements par micro-ondes vieillissent prématurément les tissus vivants.

Irradier l’équipe.

La douleur, permanente et errante, est intense pour Kenneth Hurtado, 32 ans, du sud de la Californie. Il est allé en enfer et en est revenu. Cela a commencé par une tumeur de sept livres sur un rein, diagnostiquée en 2002. Le cancer se propagea à son cerveau. Sa première tumeur au cerveau fut enlevée par craniotomie, la seconde par cyber knife. En 2005, des nodosités cancérigènes furent trouvées dans ses poumons. En 2006, le cancer produisit des métastases aux jambes. Cette année, il se bat contre trois atroces tumeurs sur sa moelle épinière. Hurtado hait les attaques qu’elles lui occasionnent. Sa dernière se produisit alors qu'il était au volant. « C'est comme si le diable s’emparait de votre corps », dit-il.

Désormais incapable de travailler, Hurtado explique qu'il était en assez bonne santé en 1998 lorsqu’il commença une carrière d'installateur d’antennes pour une grande société internationale fabriquant du matériel électronique pour fournisseurs de services sans fil. À la base des tours abritant les antennes relais, il existe une sorte de cabanon où les installateurs assemblent les armoires, les amplificateurs et les filtres qui génèrent les fréquences micro-ondes et les envoient aux transmetteurs que sont les antennes relais via d’énormes câbles. Montées sur des supports sectoriels nommés alpha, bêta et gamma, les antennes relais envoient et reçoivent ces ondes radios carcinogènes par paquets de données pulsées à la vitesse de la lumière.

Fixés sur les clôtures et verrouillés autour des cabanons se trouvent des panneaux d’avertissement de danger. « Quand vous regardez autour de ces endroits, vous découvrez de nombreux oiseaux morts sur le gravier » explique Hurtado. « Ils ne peuvent supporter les rayonnements et ils en meurent. Il ne faut pas réfléchir longtemps pour comprendre que c’est très nocif. »

Hurtado ignore la quantité de rayonnements qu’il a reçue en effectuant son travail. Il précise qu'il existe au moins quatre points de connexion à l'intérieur des cabanons par où les rayonnements peuvent pénétrer. Il en recevait inévitablement une dose quand il activait les antennes relais pour les essais et il se demande si son cancer est le résultat. "Quand ils m’ont embauché, nous avons eu des séances d’information sur la sécurité, mais ils ont fortement minimisés les dangers," se souvient-il. Il n’a reçu aucun vêtement de protection contre les rayonnements électromagnétiques et ce n'est qu'en 2002 qu'il fut équipé d’un testeur pour contrôler les intensités des rayonnements hyperfréquences micro-ondes. "Le lecteur est supposé vous avertir si vous recevez trop de rayonnements", dit-il, "mais j'ai mis le mien sur une perche et je l’ai placé à côté des antennes relais sans que l'alarme ne se déclenche."

Un rapport médical dans l'International Journal of Occupational and Environmental Health confirme que les travailleurs exposés à des niveaux élevés de rayonnements micro-ondes / RF ont habituellement des taux de cancer astronomiques. [12]

Le rapport constate que, pour ces travailleurs, la période de latence entre l'exposition aux rayonnements et la maladie est brève comparativement aux populations moins exposées.

Hurtado explique que de nombreux travailleurs dans l’industrie sont dangereusement surexposés. « J'ai parlé à des gars des services d’intervention qui doivent évoluer autour des antennes relais et ils m’ont dit qu’avant que la journée de travail soit à moitié terminée, ils commencent à se sentir vraiment malade. » Il ajoute: « A mon avis, ils se font cuire. »

Hurtado soupçonne que, depuis les premiers jours de l’avènement du sans fil, il y a eu des activités illégales liées à l'exposition du public à ces sites de transmissions. « Je suis sûr », dit-il, « que certaines de ces installations dépassent les limites d’exposition fixées par la FCC. Ils peuvent augmenter les émissions des amplificateurs à distance pour obtenir un meilleur signal et ils ne se soucient pas des alarmes une fois les installateurs partis. » Les inspecteurs chargés du contrôle pourraient identifier les contrevenants parce que les spectres des canaux peuvent être analysés. "Mais, » dit-il, « il n'y a simplement personne pour effectuer les contrôles et je crois que le public reçoit beaucoup trop de rayonnements à présent. » .

Les Régulateurs endormis au volant.

La Federal Communications Commission (FCC), seul organisme habilité à réglementer les industries des télécommunications et de radiodiffusion, n'a ni l'argent, ni la main-d'oeuvre ni la motivation pour mener correctement à bien le contrôle des rayonnements produits par des centaines de milliers d’installations commerciales sans fil qui génèrent ces ondes cancérigènes à travers toute la nation. La FCC reconnaît que les tests physiques destinés à vérifier la conformité aux lignes directrices dans le domaine des émissions sont relativement rares.

Les critiques prétendent que les gens appointés à la FCC, n’ayant pratiquement aucune expertise dans les domaines médicaux ou de santé publique, ne sont que de vieux employés sans formation aux nouvelles technologies en quelque sorte une "équipe de majorettes" pour les industriels des télécommunications et de radiodiffusion. Le Center for Public Integrity a découvert que les fonctionnaires de la FCC ont été soudoyés par ces industries grâce à des cadeaux tels que des coûteux voyages à Las Vegas. [13]

Le Dr George Carlo confirme qu'il n'existe pas de responsabilité en ce qui concerne la réglementation. "Il faut se rendre aux stations de base et mesurer indépendamment leurs émissions parce que nous avons eu de nombreux cas où une antenne relais légalement autorisée à transmettre 100 watts émettait de 900 à 1000 Watts. Si personne ne contrôle, on peut facilement augmenter puissance par commande à distance". [14]

Les associations de riverains surveillant l’ensemble des antennes de communication de Lookout Mountain près de Denver dans le Colorado, ont toujours constaté que, en dépit de neuf années de protestations à la FCC, le rayonnement sur la montagne a été mesuré à des niveaux supérieurs de 125% aux niveaux d'exposition autorisés par la loi fédérale. [15] .

Exposition : directives mortelles.

Même s'il existait un système de surveillance fiable, de nombreux experts disent que les directives de la FCC sur l'exposition du public aux rayonnements micro-ondes / RF sont trop élevées, voir mortelles, car elles sont basées sur des théories totalement obsolètes et sans fondement suivant une seule intensité de puissance néfaste suffisamment élevée pour brûler presque instantanément des tissus.

(Ndlr de Next-up : Cette constatation est applicable au 61 V/m (normes UMTS) issus du décret 2002 775 en vigueur en France, d’où les sempiternelles conclusions des mesures, sous couvert de l’ANFR :

" Les mesures irradiations sont x fois inférieures aux normes . . . " ceci afin de donner confiance à la population. Pourquoi le Directeur de l’ANFR ne testerait-il pas sur lui, les normes qu’il est chargé de faire respecter à cette même la population ?)

Ce qui met la FCC en contradiction avec les connaissances scientifiques actuelles concernant le niveau d’exposition minimum à partir duquel des dommages peut-être occasionnés aux cellules vivantes.

Une myriade de symptômes d’intoxication due aux rayonnements peuvent être induits à des niveaux d'exposition des centaines, voire des milliers de fois inférieurs à ceux autorisés par les normes actuelles. En Russie, les normes d'exposition du public sont 100 fois plus sévères que les nôtres parce que les chercheurs russes ont constamment démontré qu’aux niveaux admis au USA, les humains développent des changements pathologiques dans le cœur, les reins, le foie et les tissus cérébraux, ainsi que les cancers de toutes types.[16]

Norbert Hankin, chef de la division de protection contre les rayonnements de l’EPA, a déclaré que les directives de la FCC en matière d’exposition ne protègent que contre les effets résultant d'un mécanisme thermique (cuisson ou brûlures instantanées). Il concède que « la croyance généralisée chez de nombreuses personnes est que ces directives protègent les êtres humains des dommages infligés par tous les types de mécanismes, n'est pas justifiée. » [17]

Ainsi, les niveaux d'exposition du public aux micro-ondes tolérés par la FCC et ses comités conseils remplis de gens issus de l’industrie sont une catastrophe nationale pour la santé publique.

Et pourtant, pour des raisons pragmatiques et lucratives, les limites d'exposition fédérales ont été délibérément fixées si haut que, quelque soit la quantité supplémentaire de rayonnements sans fil ajoutée au fardeau national, on restera toujours "dans les normes."

Le gâchis de la réglementation de la FCC est mis en évidence dans le cas de Likely Moutain. Jasso explique que lorsque Garcia et elle prirent contact avec la FCC concernant leurs blessures conséquences des rayonnements, elles durent faire face à un effroyable manque de compétences et de préoccupation. « La FCC n'a pas de réponses », déclare Jasso. « Leurs directives concernant les rayonnements sont confuses et absurdes. Ils refusent de s’occuper des problèmes des antennes relais multiples, des extensions, des couplages (interférence) avec le métabolisme et le sang humain parce qu'ils veulent éviter les problèmes de réglementation sur les sites des stations de télécommunications. »

Elle ajoute: « la FCC va mettre un travailleur à l’amende pour des milliers de dollars pour n’avoir pas installé une lumière au sommet d'une tour de télécommunications, mais elle n’a pas publié ne serait-ce qu’une lettre d’avertissement à ses employés au sujet des dommages corporels occasionnés à Likely Moutain. Ils disent que de tels dommages ne peuvent se produire parce que leurs titulaires de permis sont réglementés. »

Catch 22.

Lorsque Garcia et Jasso ont porté plainte contre les sociétés propriétaires des émetteurs d’antennes relais micro-ondes sur Likely Mountain, elles ne trouvèrent aucun avocat pour accepter leur cas et furent forcées d’ester seules en justice. En août 2007, un tribunal du district de Californie rejeta leur plainte, principalement sur la base de ce qu'elles n'avaient pas prouvé que les accusés avaient dépassé les normes d’exposition de la FCC. Selon la loi fédérale, la santé brisée de 24 personnes, ainsi que des témoignages médicaux, ne sont pas une preuve suffisante de négligence et de responsabilité.

Puisque la FCC ne prévoit aucune contrainte pour la surveillance des sites d'émetteurs d’antennes relais et puisque l’industrie des télécommunications n'est pas tenue de prouver par une documentation consistante qu'elle respecte bien les directives, les personnes lésées ont peu de chance de pouvoir prouver leur non respect parce que les dommages causés à leur santé n’apparaissent souvent que des mois, voire des années après leur exposition.

Le tribunal craint que le cas de Jasso et Garcia ne mette en lumière « le conflit, entre l’autorité déléguée à l’industrie par la FCC, d’établir les directives et les limitations des rayonnements RF et les efforts des plaignants d'établir que les installations sans fil comme celle de Likely Moutain sont extrêmement dangereuses. » Et donc, alors que la science d’aujourd’hui prouve amplement que les directives de la FCC sont très dangereuses, l’industrie des télécommunications se cache derrière l’incompétence de la FCC, tout simplement parce que celle-ci conserve le pouvoir exclusif de fixer les normes.

Force est de constater que c’est un désastre car la FCC a les mains liées par la loi sur les télécommunications (TCA) de 1996. L'industrie des télécommunications est tristement célèbre pour ses généreuses "donations" qui lui permettent de maintenir les législateurs sous pression.

Anticipant une crise sanitaire nationale inéluctable à cause des rayonnements et la réaction du public qui en découlera, le lobby des télécommunications s’est ouvertement aménagé une disposition légale qui interdit les gouvernements d’état ou locaux de prendre en compte les effets (sanitaires) environnementaux quand ils implantent des installations de support pour les émissions sans fil tant que « ces installations respectent les règlements de la FCC concernant ces émissions. » Nombre de gens disent que la TCA assure que la guerre de l'Amérique contre le cancer ne sera jamais gagnée, tout en protégeant les évidents pollueurs de toute responsabilité.

Livrés à nous-mêmes.

Après le passage de la TCA, un groupe de scientifiques et d'ingénieurs, appuyés par le Communications Workers of America, ont porté plainte devant la cour fédérale. Ils espéraient que la Cour suprême allait revoir à la fois les directives d’exposition dépassées de la FCC et la légalité d'une loi fédérale qui entravait sérieusement le pouvoir des autorités d’état et locales en ce qui concerne l'implantation des émetteurs dangereux d’antennes relais En 2001, la Cour suprême a refusé de juger l'affaire. La pétition lancée par la suite par le groupe en direction de la FCC demandant à l’agence de mettre ses directives sur l'exposition à jour en fonction des dernières données scientifiques a été refusée.[18]

Voilà où nous en sommes aujourd'hui. Le public n'a pas le droit de vote, pas de voix, pas le choix.

L'exposition chronique à des niveaux scientifiquement indéfendables de rayonnements destructeurs pour l'ADN est désormais obligatoire pour tout le monde en Amérique. C'est pour cela que Garcia et Jasso sont aujourd'hui malades; C’est pour cela que l’industrie jouit du pouvoir incontesté de placer ses dangereux émetteurs d’antennes relais avec leurs revers néfastes dans les zones résidentielles et commerciales et c'est aussi pour cela que des milliers d'Américains vivant dans les bâtiments avec des antennes relais sur le toit, et surtout faces à eux ne sont pas mis en garde, malgré qu'ils travaillent et habitent dans ces champs électromagnétiques cancérigènes. En attendant, l'industrie des télécommunications ramasse chaque trimestre des milliards de dollars de bénéfices, dont aucun n'est mis de côté pour payer pour la catastrophe sanitaire qui nous attend.

Chaque citoyen est désormais condamné à se protéger et à se défendre lui-même comme il peut contre les agressions des rayonnements. Il y a eu un certain nombre de poursuites judiciaires contre les l’industrie des télécommunications depuis que les sites d’antennes relais ont commencé à s’implanter dans les arrière-cours de toute la nation. En 2001, une action en justice groupée a été lancée à South Bend dans l’Indiana par des familles vivant à proximité de sites d’antennes relais. La plainte décrit les effets sur la santé subis par les demandeurs, y compris les palpitations, les interférences auditives, des maux de tête récurrents, des pertes de mémoire à court terme, des troubles du sommeil, de multiples tumeurs, des problèmes glandulaires, une fatigue chronique, des allergies, un affaiblissement du système immunitaire, de fausses couches et l'impossibilité d'apprendre (concentration). [19]

L’action en justice de South Bend fut réglée à l'amiable sur la base des nuisances occasionnées et de la baisse de la valeur immobilière.

Les arguments sanitaires n’ont aucun poids si les émissions sont conformes aux normes d’exposition FCC. Ce cas est utile pour comprendre la folie des normes de la FCC.

Les familles malades ont fait appel au conseiller en rayonnement Bill Curry, qui a acquis son expérience d'ingénieur comme spécialiste pour les laboratoires Argonne et Livermore. Le Dr Curry a constaté que l'un des sites d’antennes relais irradiait les maisons à plus de 65 microwatts par centimètre carré. [20]

Cette densité de puissance est bien en deçà des normes fédérales d'exposition, qui autorisent à balayer n'importe quel quartier à au moins 580 microwatts par centimètre carré, voire plus selon les fréquences. Si les familles étaient déjà malades à 65 microwatts/cm², qu’en serait-il à 580?.

Si l’on considère que pendant la guerre froide les Soviétiques avaient furtivement bombardé l’ambassade américaine de Moscou de micro-ondes à un niveau d'exposition moyenne seulement 01 microwatts/cm2, cela dans le but de rendre le personnel malade, avec ensuite les conséquences sur la mortalité ultérieurement constatées, ambassadeur inclus, le danger que court l’Amérique est tout à fait clair. [21]

Jusqu’à quel point l’Amérique est-elle malade des rayonnements ?

Depuis que la révolution du sans fil a commencé à submerger d’ondes les États-Unis dans les années 1990, il n'y a eu aucune étude sanitaire financée par le gouvernement fédéral afin d'évaluer les effets génotoxiques cumulés pour la santé publique des rayonnements des radiofréquences sans cesse croissants. Il n’existe aucune base de données nationale permettant aux citoyens de localiser l'emplacement des émetteurs dans leur région. Les gouvernements locaux et d’état ne peuvent fournir aucune information quant à la quantité de rayonnements "commerciaux" sans fil qui contaminent leur population. Lorsqu'on tente de savoir qui est le propriétaire d'un site d’antennes relais ou quel opérateur a des émetteurs sur ce site, les citoyens sont généralement face à un mur.

Le Dr G. Carlo dirige le seul registre de surveillance sanitaire indépendant postérieur à l’activation des installations du pays dans lequel les gens peuvent reporter des maladies dues aux rayonnements. [22]

Le Dr G. Carlo a déclaré que ce registre a répertorié des milliers de personnes qui estiment que leurs maladies, notamment les cancers du cerveau et des yeux, sont dues aux rayonnements des irradiations des radiofréquences micro-ondes provenant aussi bien des téléphones sans fil que des sites d’antennes relais.

Au cours des deux dernières années, le registre a enregistré une recrudescence des rapports cependant les Répéteurs Hertziens (RH) qui deviennent toujours plus nombreux et sont très dangereux sur le plan énergétique (GHz) pour pouvoir répondre à l’augmentation des flux (liaisons) nécéssaires à l’explosion des nouvelles technologies multimédia. (Ndlr : Le scandale sanitaire des RH en France).

Nous ne pouvons qu’essayer de deviner combien d'Américains sont aujourd'hui décédés à cause de l’agression des micro-ondes. Arthur Firstenberg, fondateur du Cellular Phone Task Force, a écrit que le 14 novembre 1996, le principal fournisseur de service du téléphone cellulaire de la ville de New York a activé des milliers d’antennes relais PCS nouvellement érigées sur les toits des immeubles d'habitation.

Les autorités sanitaires ont indiqué qu’une grave et persistante grippe a frappé la ville la même semaine. En réponse à ses annonces publiées dans les journaux informant que les maladies dues aux rayonnements sont semblables à la grippe, la Tast Force fut contactée par des centaines de personnes qui leur signalèrent l'apparition soudaine de symptômes analogues aux symptômes des micro-ondes tels qu’attaques cérébrales, crises cardiaques et dépressions nerveuses.

Firstenberg rassembla ensuite les statistiques de l'US Center for Disease Control et analysa les statistiques hebdomadaires sur la mortalité pour 122 villes américaines.

Plusieurs douzaines de villes avaient enregistré une augmentation de mortalité de 10 à 25% pendant deux à trois mois, à dater de la semaine au cours de laquelle le réseau de téléphone cellulaire numérique de la ville commença son service commercial. Les villes qui n’inaugurèrent pas de système de téléphone cellulaire dans la même période ne présentaient aucune augmentation anormale de la mortalité. [23] (ndlr de Next-up : Exemple de surmortalité constatée en France )

Etudes à l'étranger.

De récentes enquêtes sur la santé dans d'autres pays confirment que les personnes vivant à proximité de transmetteurs sans fil subissent des effets délétères :

En 2002 , des médecins spécialistes français (Ndlr Roger Santini 2006 ) ont constaté que les personnes vivant à p


Mardi 11 Décembre 2007

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