En rouge, les pixels espion
Je l'ai immédiatement appliqué dans Gmail, ma messagerie depuis sa création.
Que je vais sans doute abandonner, car Google veut désormais tout faire payer.
Y compris Gmail qui est dans le package de 15 MB que Google nous accorde généreusement pour : Drive+Photos+Gmail.
A noter que la parade indiquée a pour effet se supprimer la « messagerie dynamique » de Gmail. Ce que Google va modérément apprécier je suppose.
En effet, il ne faut jamais perdre de vue toutes les superbes fonctionnalités des logiciels de Google n'ont pas pour but premier de nous satisfaire, mais plutôt de satisfaire l'appétit inextinguible de Google pour nos données personnelles. Sur lesquelles il assoit ses revenus, toujours plus importants, sinon respectables.
Ci-dessous copie d'écran du paragraphe qui nous intéresse dans les nombreux paramètres de Gmail. Sur ordinateur seulement car sur votre smartphone ils se retrouvent à la portion congrue. Pour nous, utilisateurs, bien sûr. Pour Google, le fait que nos possibilités d'action sur les paramètres de Gmail mobile soient très limitées ne diminue en rien sa manipulation irréfragable de nos données personnelles. Bien au contraire.
Sur Android les paramètres pour bloquer les images dans Gmail (qui ne servent à rien, sinon à mieux vous appâter, vous les verrez de toute façon dans le renvoi vers l'article sur Internet avec votre navigateur qui, je l'espère pour vous est sécurisé à l'encontre de ces pixels espions) se trouvent dans le menu sandwich (trois points verticaux) des paramètres généraux de Gmail. On vous y demandera de supprimer les images que paraît-il vous auriez accordées. Ah bon ? Cela ne m'a jamais frappé.
Je rappelle que depuis 2018 Google a très discrètement enlevé son slogan initial : "Don't be evil" (Ne soyez pas malveillants) du code de bonne conduite qu'il distribue à tous ses employés.
Depuis que j'en ai été avisé mon attitude envers Google, que je suivais depuis ses débuts sur Internet, a radicalement changé. J'utilise ses programmes parce que pendant longtemps ils furent les meilleurs. Mais si je trouve un meilleur logiciel, j'abandonne celui de Google sans aucun remord.
J'ai fait exactement la même chose avec Microsoft, que j'ai abandonné totalement dès que les Chromebooks sont sortis, en 2011.
Avant, durant toute ma carrière j'ai dû l'utiliser, il n'y avait pas de concurrent, à part Linux, mais Linux était inconnu des services informatiques de l'Éducation Nationale pendant très longtemps. Il n'a été adopté que bien plus tard et uniquement dans les réseaux.
Pour les logiciels, c'est toujours le monopole des logiciels Microsoft, Windows et Office. À l'exception de l'enseignement supérieur où les universités ne sont plus soumises à ce monopole ruineux. J'en sais quelque chose car pendant toute ma carrière j'ai acheté des licences pour les logiciels utilisés dans les établissements scolaires dont j'avais la charge.
J'ai trouvé sur Internet un mode d'emploi intitulé : Comment insérer un pixel de tracking dans vos designs ! Et ce n'est pas l'oeuvre d'un hacker. C'est dire à quel point les pixels trackers sont répandus.
A voir ici :
Un article de Kaspersky France sur ce sujet :
Que je vais sans doute abandonner, car Google veut désormais tout faire payer.
Y compris Gmail qui est dans le package de 15 MB que Google nous accorde généreusement pour : Drive+Photos+Gmail.
A noter que la parade indiquée a pour effet se supprimer la « messagerie dynamique » de Gmail. Ce que Google va modérément apprécier je suppose.
En effet, il ne faut jamais perdre de vue toutes les superbes fonctionnalités des logiciels de Google n'ont pas pour but premier de nous satisfaire, mais plutôt de satisfaire l'appétit inextinguible de Google pour nos données personnelles. Sur lesquelles il assoit ses revenus, toujours plus importants, sinon respectables.
Ci-dessous copie d'écran du paragraphe qui nous intéresse dans les nombreux paramètres de Gmail. Sur ordinateur seulement car sur votre smartphone ils se retrouvent à la portion congrue. Pour nous, utilisateurs, bien sûr. Pour Google, le fait que nos possibilités d'action sur les paramètres de Gmail mobile soient très limitées ne diminue en rien sa manipulation irréfragable de nos données personnelles. Bien au contraire.
Sur Android les paramètres pour bloquer les images dans Gmail (qui ne servent à rien, sinon à mieux vous appâter, vous les verrez de toute façon dans le renvoi vers l'article sur Internet avec votre navigateur qui, je l'espère pour vous est sécurisé à l'encontre de ces pixels espions) se trouvent dans le menu sandwich (trois points verticaux) des paramètres généraux de Gmail. On vous y demandera de supprimer les images que paraît-il vous auriez accordées. Ah bon ? Cela ne m'a jamais frappé.
Je rappelle que depuis 2018 Google a très discrètement enlevé son slogan initial : "Don't be evil" (Ne soyez pas malveillants) du code de bonne conduite qu'il distribue à tous ses employés.
Depuis que j'en ai été avisé mon attitude envers Google, que je suivais depuis ses débuts sur Internet, a radicalement changé. J'utilise ses programmes parce que pendant longtemps ils furent les meilleurs. Mais si je trouve un meilleur logiciel, j'abandonne celui de Google sans aucun remord.
J'ai fait exactement la même chose avec Microsoft, que j'ai abandonné totalement dès que les Chromebooks sont sortis, en 2011.
Avant, durant toute ma carrière j'ai dû l'utiliser, il n'y avait pas de concurrent, à part Linux, mais Linux était inconnu des services informatiques de l'Éducation Nationale pendant très longtemps. Il n'a été adopté que bien plus tard et uniquement dans les réseaux.
Pour les logiciels, c'est toujours le monopole des logiciels Microsoft, Windows et Office. À l'exception de l'enseignement supérieur où les universités ne sont plus soumises à ce monopole ruineux. J'en sais quelque chose car pendant toute ma carrière j'ai acheté des licences pour les logiciels utilisés dans les établissements scolaires dont j'avais la charge.
J'ai trouvé sur Internet un mode d'emploi intitulé : Comment insérer un pixel de tracking dans vos designs ! Et ce n'est pas l'oeuvre d'un hacker. C'est dire à quel point les pixels trackers sont répandus.
A voir ici :
Un article de Kaspersky France sur ce sujet :