Avant la période actuelle les 25% de cas graves n'étaient même pas en rouge ! A presque 30 % on condescend à sortir le rouge !
Vous aurez noté, j'espère, que la plupart des médias grand public, naguère si prolixes sur tout ce qui concerne cette maladie le sont beaucoup moins désormais en ce qui concerne les effets indésirables des vaccins.
Même les organes officiels de pharmacovigilance relatent, comme c'est leur travail, les 10 % d'incidents qu'ils reçoivent, mais avec des pincettes. C'est-à-dire en précisant chaque fois qu'il y a effectivement beaucoup d'effets indésirables à la suite des vaccins, mais que le lien de causalité entre les vaccins et ces effets indésirables n'est pas scientifiquement établi. En sachant pertinemment que cette causalité directe ne pourra jamais être établie scientifiquement. C'est la défense classique de tous les malfaisants en matière de santé qui invoquent la rigueur scientifique pour couvrir leurs errements coupables.
Il n'empêche qu'il existe aujourd'hui une science des statistiques et que les résultats de cette science sur ce sujet précis indiquent que la corrélation entre les vaccins et leurs effets indésirables est très élevée, dans tous les pays, et qu'en conséquence il est urgent de mettre fin le plus tôt possible à ces campagnes de vaccination massives. pour se contenter de ne vacciner que les personnes à risques. Comme cela aurait dû être le cas depuis le début de cette crise sanitaire.
Je rappelle que par le passé l'on avait stoppé les vaccinations pour beaucoup moins d'effets indésirables que cela. Par exemple lors de la première épidémie de grippe porcine H1N1 en 1976. Voir à la fin de l'article.
Même les organes officiels de pharmacovigilance relatent, comme c'est leur travail, les 10 % d'incidents qu'ils reçoivent, mais avec des pincettes. C'est-à-dire en précisant chaque fois qu'il y a effectivement beaucoup d'effets indésirables à la suite des vaccins, mais que le lien de causalité entre les vaccins et ces effets indésirables n'est pas scientifiquement établi. En sachant pertinemment que cette causalité directe ne pourra jamais être établie scientifiquement. C'est la défense classique de tous les malfaisants en matière de santé qui invoquent la rigueur scientifique pour couvrir leurs errements coupables.
Il n'empêche qu'il existe aujourd'hui une science des statistiques et que les résultats de cette science sur ce sujet précis indiquent que la corrélation entre les vaccins et leurs effets indésirables est très élevée, dans tous les pays, et qu'en conséquence il est urgent de mettre fin le plus tôt possible à ces campagnes de vaccination massives. pour se contenter de ne vacciner que les personnes à risques. Comme cela aurait dû être le cas depuis le début de cette crise sanitaire.
Je rappelle que par le passé l'on avait stoppé les vaccinations pour beaucoup moins d'effets indésirables que cela. Par exemple lors de la première épidémie de grippe porcine H1N1 en 1976. Voir à la fin de l'article.
N.B
La simple copie d'écran qui illustre cet article vous donnera une idée assez précise des mensonges que l'on vous assène en permanence sur l'importance des effets nocifs des vaccins.
Elle émane de l'organe officiel français de pharmacovigilance, c'est-à-dire de surveillance des effets dits "secondaires" des médicaments et des vaccins. Organisme que l'on ne peut suspecter de complotisme.
Vous avez bien lu : 25 % d'effets graves depuis le début de la pandémie. Ce chiffre monte encore à 29 % pour la dernière période d'observation du 11/02 au 24/02.
Quand on sait que les rapports d'effets indésirables sont estimés par les professionnels à 10 % du nombre réel d'effets indésirables, cela fait froid dans le dos, non ?
Je rappelle que ces chiffres n'ont jamais été observés depuis les débuts de la vaccination de masse, dans les années 1950.
Bien entendu, la proportion de cas graves n'a aucune raison de diminuer dans l'avenir. Elle a même toutes les raisons d'augmenter.
Si vous tapez "Effets secondaires des vaccins COVID-19" dans Google, vous constaterez avec effroi que la quasi-totalité des articles, à l'exception de ceux des organes officiels chargés de mesurer ces effets (!), ne dénient pas l'existence d'effets indésirables non graves, mais dénient catégoriquement l'existence d'effets secondaires graves.
Comme d'habitude, comme on ne peut cacher plus longtemps la vérité on compte sur les médias grand public, qui furent tellement efficaces avec la Covid, pour continuer d'appliquer leur mantra "un clou chasse l'autre".
Avec la guerre en Ukraine, c'est déjà fait ! Comme le dit un humoriste : Poutine n'aura jamais le prix Nobel de la paix, mais on peut lui attribuer le prix Nobel de médecine : en une seule journée, avec son entrée en guerre en Ukraine, il a effacé la Covid de l'ensemble des médias !
Malheureusement pour ces médias indignes et pour les autorités de ce pays qui ne valent pas mieux, il existe beaucoup de gens, à commencer par ceux qui souffrent ou qui vont souffrir dans leur chair de ces effets nocifs des vaccins, et en continuant par tous les médecins, chercheurs et blogueurs, qui ne vont rien oublier de cette tragique histoire et vont continuer d'observer attentivement les statistiques officielles relatives aux effets (très) indésirables des vaccins.
Au demeurant, comment ne pas comprendre, dans ces conditions, qu'un tel déni généralisé de réalité incite beaucoup de personnes à suspecter derrière tout cela de sombres motivations.
En ce qui me concerne, je n'irais pas jusqu'au complot cependant je n'ai aucun doute sur l'évidente concertation entre les médias grand public et les autorités de ce pays. Concertation destinée à cacher la vérité au plus grand nombre depuis le début de la pandémie et à étouffer par tous les moyens les voix, émanant souvent d'autorités médicales ou scientifiques éminentes, de tous ceux qui ne sont pas d'accord avec ces mensonges répétés.
L'adresse du lien vers ces statistiques alarmantes :
Cliquez ici pour lire l'article de notre-planete.info
La simple copie d'écran qui illustre cet article vous donnera une idée assez précise des mensonges que l'on vous assène en permanence sur l'importance des effets nocifs des vaccins.
Elle émane de l'organe officiel français de pharmacovigilance, c'est-à-dire de surveillance des effets dits "secondaires" des médicaments et des vaccins. Organisme que l'on ne peut suspecter de complotisme.
Vous avez bien lu : 25 % d'effets graves depuis le début de la pandémie. Ce chiffre monte encore à 29 % pour la dernière période d'observation du 11/02 au 24/02.
Quand on sait que les rapports d'effets indésirables sont estimés par les professionnels à 10 % du nombre réel d'effets indésirables, cela fait froid dans le dos, non ?
Je rappelle que ces chiffres n'ont jamais été observés depuis les débuts de la vaccination de masse, dans les années 1950.
Bien entendu, la proportion de cas graves n'a aucune raison de diminuer dans l'avenir. Elle a même toutes les raisons d'augmenter.
Si vous tapez "Effets secondaires des vaccins COVID-19" dans Google, vous constaterez avec effroi que la quasi-totalité des articles, à l'exception de ceux des organes officiels chargés de mesurer ces effets (!), ne dénient pas l'existence d'effets indésirables non graves, mais dénient catégoriquement l'existence d'effets secondaires graves.
Comme d'habitude, comme on ne peut cacher plus longtemps la vérité on compte sur les médias grand public, qui furent tellement efficaces avec la Covid, pour continuer d'appliquer leur mantra "un clou chasse l'autre".
Avec la guerre en Ukraine, c'est déjà fait ! Comme le dit un humoriste : Poutine n'aura jamais le prix Nobel de la paix, mais on peut lui attribuer le prix Nobel de médecine : en une seule journée, avec son entrée en guerre en Ukraine, il a effacé la Covid de l'ensemble des médias !
Malheureusement pour ces médias indignes et pour les autorités de ce pays qui ne valent pas mieux, il existe beaucoup de gens, à commencer par ceux qui souffrent ou qui vont souffrir dans leur chair de ces effets nocifs des vaccins, et en continuant par tous les médecins, chercheurs et blogueurs, qui ne vont rien oublier de cette tragique histoire et vont continuer d'observer attentivement les statistiques officielles relatives aux effets (très) indésirables des vaccins.
Au demeurant, comment ne pas comprendre, dans ces conditions, qu'un tel déni généralisé de réalité incite beaucoup de personnes à suspecter derrière tout cela de sombres motivations.
En ce qui me concerne, je n'irais pas jusqu'au complot cependant je n'ai aucun doute sur l'évidente concertation entre les médias grand public et les autorités de ce pays. Concertation destinée à cacher la vérité au plus grand nombre depuis le début de la pandémie et à étouffer par tous les moyens les voix, émanant souvent d'autorités médicales ou scientifiques éminentes, de tous ceux qui ne sont pas d'accord avec ces mensonges répétés.
L'adresse du lien vers ces statistiques alarmantes :
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