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«L'avenir n'est plus ce qu'il était» [Paul Valéry]



Autopsie d'un désastre

C'est le titre d'un ouvrage écrit par Jean-Dominique Michel, anthropologue, dont j'ai souvent parlé sur ce site durant les deux pénibles années de la récente pandémie.



Mais, où vont-ils chercher tout ça ?
Mais, où vont-ils chercher tout ça ?
Durant ces deux années, tout le monde a douloureusement pu constater que le monde s'était mis à ne plus tourner rond du tout.

Ce fut évidemment le cas en France également où les français ont pu remarquer que la gestion de cette crise sanitaire par le gouvernement d'alors, sous la houlette inconséquente du lamentable Micron, fut catastrophique.

Jean-Dominique Michel fit partie de ces quelques rares intellectuels ou scientifiques qui refusèrent de se laisser intoxiquer par la doxa funeste de cette époque.

En ce qui me concerne tout au long de ces deux années, sur ce site, dans la rubrique dédiée à la COVID-19, j'ai constamment relayé la parole de tous ceux qui avaient gardé leur bon sens.

Moi aussi, j'ai compris très vite que contrairement à ce qui se disait quotidiennement sur les ondes et dans les médias, ce virus n'était pas aussi dangereux qu'on voulait bien nous le dire. Dès le début de la pandémie, j'ai découvert, en lisant les bonnes sources, que le virus ne pouvait être dangereux que pour une très petite partie de la population, à savoir les personnes âgées, et non pas ou, en mauvaise santé. On disait à l'époque atteint de comorbidité (présence en même temps chez une même personne de plusieurs maladies chroniques qui nécessitent, chacune, des soins sur le long terme).

Je précise qu'à l'époque j'avais déjà plus de 70 ans. Je faisais donc partie du cœur de cible de ce virus. N'étant pas suicidaire, je vous prie de croire que j'avais bien lu et relu les scientifiques et documents sérieux de cette époque.

J'ai donc tout de suite compris que la clé pour ne pas être la victime de ce virus, c'était l'immunité, naturelle et acquise.

Or, depuis ma retraite en 2007, j'avais complètement changé de comportement concernant l'alimentation le tabac, l'alcool, toutes choses dont j'avais largement abusé de 35 à 60 ans.

De fait, j'avais arrêté tous les excès et je m'étais mis à pratiquer quotidiennement le vélo, la marche rapide, ainsi que la musculation et le stretching tous les matins, au tapis de sol, et à mon domicile. Nul besoin de dépenser de l'argent dans les salles du fitness : il suffit d'acheter un tapis de sol et de regarder YouTube.

De plus, j'avais constaté que tout au long de ma vie, j'ai été immunisé, naturellement ou de façon acquise, contre les virus.

En effet, lorsque j'étais enfant, j'ai eu très souvent des rhinites, mais jamais la grippe, maladie provoquée, elle aussi, par un coronavirus, et toujours pas éradiquée, elle non plus.

Je suis également immunisé contre d'autres virus, car, j'ai vécu 16 années aux Antilles, et je n'ai jamais attrapé la dengue.

Ensuite, j'ai vécu 11 années à la Réunion et je n'ai pas contracté le chikungunya qui en 2005-2006 a ravagé la Réunion et a cloué 50 % de la population au lit. Avec ensuite de graves séquelles pour de nombreux malades.

Dans les virus que je n'ai pas eus, à ce jour, je peux citer aussi le sida. Lors de mes années réunionnaises, je suis très fréquemment allé à Madagascar. Où j'ai eu une vie sexuelle plutôt débridée en « oubliant » souvent les préservatifs. Je n'ai jamais eu la moindre MST et encore moins le sida.

Durant toute la pandémie, j'ai fait encore plus de sport que d'habitude. Et, sans masque, car dans la résidence où j'habite, il y a 110 000 m² d'espaces arborés privés. Je n'ai jamais eu la covid.

Enfin, du point de vue psychologique, je vis seul depuis 25 ans. En conséquence, la solitude imposée par le confinement et autres mesures drastiques de l'époque ne m'ont nullement affecté. De fait, je n'ai jamais été aussi en forme, physiquement et mentalement, que pendant ces deux années de pandémie.

Étant ainsi moi-même à l'abri de ce virus, j'ai pu consacrer toutes mes journées à faire du sport et à lire tout ce qui se disait de sensé sur la Covid, afin de le partager sur ce site.

L'interview de Jean-Dominique Michel m'a fortement intéressé, car il y évoque la plupart des dysfonctionnements qui ont affecté les populations du monde entier durant cette sinistre période.

Je rappelle que ces dysfonctionnements ont été largement dénoncés par certains scientifiques et personnalités tout au long de la pandémie.

Mais, comme il a régné en France durant ces deux années une ambiance délétère, pire que celle qui a existé à l'époque de l'occupation dans les années 1939-1945, ces critiques étaient systématiquement balayées par les médias de révérence. Leurs auteurs ont été immédiatement qualifiés de complotistes. Et, même la population en général, terrorisée qu'elle était par la propagande à jet continu qui se déversait dans la quasi-totalité des médias, n'a pas écouté et s'est même révélée la plupart du temps hostile à toute parole non officielle sur ce sujet. La terreur est très mauvaise conseillère.

La terreur n'étant plus à l'ordre du jour, du moins sur ce sujet, je conseille fortement à ceux qui n'ont pas bien compris ce qui se passait à l'époque de regarder cette vidéo. Ils y comprendront sans doute beaucoup de choses qui leur avaient échappé à l'époque.

En effet, le temps a passé et désormais ce qui passait pour complotiste durant la pandémie devient, très progressivement, la simple réalité. Le virus, comme la grippe, est toujours là, mais tout le monde sait maintenant qu'il n'y a aucune raison d'être terrorisé, car ce virus n'attaque dangereusement que les personnes âgées et déjà très malades.

Les stocks de vaccins, achetés à grands frais et non utilisés, parce que commandés en trop grandes quantités, sont soit jetés à la poubelle, soit « offerts » aux pays émergents.

Les effets néfastes collatéraux des vaccins continuent d'affecter des milliers de personnes, dans l'indifférence totale des autorités. Lesquelles n'ont aucun intérêt à en parler, car suite aux clauses léonines des contrats d'achats de ces vaccins, ce sont les États acheteurs qui à présent sont responsables financièrement de ces effets « secondaires » malheureux.

Il semble également, mais cela n'est pas encore prouvé scientifiquement et peinera à l'être, parce que les autorités n'ont aucun intérêt à l'admettre, que les vaccinations à répétition auraient provoqué une diminution significative de la natalité (jusqu'à 20 % !) dans les pays où elles ont été pratiquées. En revanche, dans les pays où la vaccination n'a pas été systématisée, on ne constate pas la même diminution de la natalité. De même, l'immunité, qui est notre rempart contre les maladies, aurait été sévèrement endommagée par les vaccinations à répétition.

Mais, là encore, silence radio des autorités et des accusations immédiates de complotisme à l'encontre de ceux qui osent évoquer ces problèmes.

Ces deux années de malheur nous auront permis de comprendre que :

Nos démocraties peuvent très rapidement se transformer en dictature. Avec, de surcroit, l'assentiment de la majorité des populations, si leurs vies leur paraissent en danger.

Le monde n'est plus gouverné effectivement par les politiques, mais par les grandes fortunes. En tête, desquelles le plus actif dans ce domaine est Bill Gates. Ce sont eux les grands responsables de la folie qui s'est emparée du monde pendant cette pandémie. Leur bras armé en la circonstance fut l'industrie pharmaceutique qui, comme il est expliqué dans cette vidéo, dicte sa loi à tous les dirigeants du monde entier. Bien aidée par les médias aux ordres qui, eux aussi, ce n'est pas un hasard, appartiennent… aux milliardaires.

La propagande, à la Goebbels, a très bien été intégrée par certains états dits démocratiques, dont la France, lorsqu'elle est dirigée par des gouvernants comme Micron, en tout cas.

Lorsque le monde s'arrête de fonctionner, comme ce fut le cas pour la première fois de l'histoire du monde, lors de cette pandémie, la planète va immédiatement beaucoup mieux.

Compte tenu de ce qui précède, certains (optimistes) avaient prédit qu'à l'issue de la pandémie le monde allait repartir sur de bonnes bases. Nous pouvons tous constater que ce ne fut absolument pas le cas et qu'au contraire tout est reparti comme avant, et même un peu plus fort qu'avant.

Moralité : les dirigeants politiques du monde entier et les nôtres particulièrement se révèlent aussi incompétents en matière de transition énergétique qu'ils le furent durant les deux années de pandémie contre un virus qui n'est guère plus dangereux que la grippe.

En conclusion, comme les épidémies et les virus n'ont aucune chance de disparaître, bien au contraire,

comme le seul effet bénéfique de la pandémie passée, à savoir la résilience surprenante de notre planète lorsqu'on cesse de l'attaquer, n'a absolument pas été prise en compte par nos dirigeants

comme le dérèglement climatique s'accélère tous les jours et que la dernière C.O.P 28 a décidé… de ne rien faire,

comme les grandes fortunes, qui dirigent le monde désormais, n'ont aucune raison de s'appauvrir dans les années qui viennent. Ou de remédier aux malheurs de ceux qui ne sont pas riches.

Pour paraphraser Paul Valéry, il est sûr désormais que l'avenir ne sera vraiment plus ce qu'il était.



Comme d'habitude, vous trouverez en fichier PDF attaché, un résumé effectué avec chat GPT Plus, via Harpa A.I., de l'interview de Jean-Dominique Michel.

Jeudi 11 Janvier 2024

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