
Corinne Lalo, journaliste grand reporter à la télévision depuis trente ans, spécialisée dans la santé, a couvert de grandes affaires telles que celles du sang contaminé, du « nuage de Tchernobyl », de la vaccination contre l'hépatite B, de la grippe H1N1 et du Mediator, “Le Grand Désordre hormonal : ce qui nous empoisonne à notre insu” (éditions Cherche Midi) et dernièrement “Fausses pandémies, vrais mensonges” (Magnus).
Comme il était prévisible, toutes les vérités apparaissent cinq ans après la crise sanitaire.
Cette journaliste d'investigation, spécialiste de la santé depuis 30 ans, s'est attachée dans son dernier livre à nous révéler beaucoup des secrets que l'on nous a soigneusement cachés tout au long de cette pandémie.
Comme vous pourrez le constater, c'est accablant. Le nombre de mensonges qui nous ont été assénés pendant ces trois années est proprement hallucinant.
En ce qui me concerne, je ne suis pas étonné. En effet, tout au long de ces trois années de pandémie j'ai publié de très nombreux articles sur ce site et sur ce sujet. Pas un seul de mes articles n'a été démenti. Ni officiellement, ni par mes lecteurs. Qui furent nombreux et assidus. Cinq ans après, tout ce qui passait alors pour du complotisme aux yeux de la doxa en vigueur est devenu réalité.
Pour beaucoup de personnes, ces trois années furent une terrible épreuve. Beaucoup d'ailleurs, surtout parmi les jeunes, ne s'en sont pas réellement remis.
Pour ma part, grâce à mes recherches incessantes pour découvrir la vérité parmi tous ces mensonges, à 75 ans à l'époque, je n'ai jamais attrapé le virus. Pourtant, j'ai passé ces trois années à faire de l'exercice, tous les jours, seul (je vis seul depuis 25 ans), à l'extérieur et sans masque, au sein des 110 000 m² arborés de mon « urbanisation » de l'époque, à Manilva, Andalousie. Dès que les restaurants ont rouvert, j'y allais 2 à 3 fois par semaine. Sans masque parce qu'à Manilva, petite ville, mais avec beaucoup d'étrangers comme moi, on nous a fichu la paix. Pas pour nos beaux yeux évidemment, mais parce que le tourisme est la ressource principale de l'Andalousie.
De fait, je n'ai jamais été aussi en forme physiquement et psychiquement que durant ces trois années.
Tout cela parce que dès le début de la pandémie, alors que les autorités terrorisaient la population en comptant les morts tous les jours en direct à la télé, je me suis renseigné sur Internet et j'ai appris que ce virus, certes contagieux, n'était absolument pas aussi létal qu'on nous le disait et qu'il n'était dangereux que pour les personnes très âgées et très malades, ou pour les personnes présentant une comorbidité (la « comorbidité » est définie par la présence simultanément chez une même personne de plusieurs maladies chroniques qui nécessitent, chacune, des soins sur le long terme).
Pratiquant, depuis ma retraite, il y a 18 ans, une vie saine : plus d'alcool, plus de tabac, jamais plus de charcuteries ou de plats ultratransformés, et du sport chaque jour. Plus, pour la santé de mes neurones, la publication de mes articles qui me prend chaque jour entre trois et cinq heures, j'ai estimé qu'en dépit de mon âge avancé, je n'avais pas à craindre ce virus.
Compte tenu de tout ce que l'on entendait dans les médias à longueur de journée, c'était un pari qui pouvait apparaitre très risqué.
En vérité, j'ai joué ma fin de vie. Mais, pas à la roulette russe comme d'aucuns auraient pu m'en accuser. Mais, sur un fait : ma bonne santé et sur l'avis des quelques scientifiques, largement minoritaires, qui ont toujours fait passer la vérité avant leurs intérêts.
Moi qui adore voyager, je n'ai pas bougé durant ces trois ans, car non seulement je n'ai jamais voulu être vacciné, en revanche, je n'ai même pas voulu être testé. Je ne sais toujours pas ce que c'est qu'un test PCR.
Cinq ans après, je suis toujours en pleine santé et contrairement à beaucoup de personnes, je n'ai pas à craindre les effets nocifs des vaccinations. Qui n'existent pas selon l'ancien ministre de la Santé de l'époque, mais qui existent bel et bien au sein même des statistiques tout ce qu'il y a d'officielles. Je ne rappellerai jamais assez qu'aujourd'hui encore les organismes officiels refusent de communiquer les statistiques, qui existent, par statut vaccinal. C'est-à-dire les statistiques qui compareraient précisément ce qui est arrivé aux vaccinés… et aux non vaccinés. Ce qui signifie tout simplement que les autorités de ce pays connaissent la vérité sur l'efficacité des vaccins anti-covid, mais se gardent bien de la révéler.
Enfin, j'ai le plaisir de lire et d'analyser de plus en plus d'articles ou de vidéos qui révèlent progressivement l'ampleur des mensonges dont on nous a abreuvés.
Comme quoi, même dans une démocrature, la vérité finit toujours par être dévoilée.
Vous trouverez en fichier PDF attaché un résumé très complet de cette longue vidéo (près d'une heure). Tant il est vrai que les mots et les vidéos s'envolent, mais les écrits restent 😉.
