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La véritable histoire de la Covid, cachée par le secret-défense ?

L'hypothèse du Dr Maudrux, c'est que derrière cette pandémie s'est dissimulée une guerre bactériologique, elle-même occultée par le secret défense. Un article de FranceSoir.



La véritable histoire de la Covid, cachée par le secret-défense ?
Je rappelle qu'aujourd'hui encore :


  • L'origine de ce coronavirus est toujours scientifiquement inconnue. En revanche, les soupçons se portent de plus en plus vers une fuite de laboratoire.

  • On ne sait toujours pas pourquoi un virus moins létal et moins contagieux que les virus Ebola, HIV, grippe de Hong Kong et H1N1 a pu entrainer un tel chamboulement mondial.

  • Jamais dans l'histoire de la médecine, on avait interdit aux médecins d'exercer leur métier : soigner les personnes.

  • Jamais, depuis le Moyen Âge, on avait confiné des populations entières et au grand jamais dans le monde entier.

Dans ces conditions, l'hypothèse du Dr Maudrux ne me parait pas farfelue du tout. Et, si elle n'explique pas tout, elle nous permet de mieux comprendre beaucoup d'événements incroyables que l'humanité a vécu pendant trois ans.

Résumé de l'hypothèse du Dr Maudrux

Voici l’hypothèse que j’émettais en privé depuis 18 mois. Maintenant, soyons clairs, une hypothèse est une hypothèse, il y en a des bonnes et des mauvaises, des hypothèses se vérifient, d’autres pas.

Origine du virus

Le virus s’est « échappé » d’un laboratoire de recherche sur les virus. L’origine, la manipulation du virus, cette recherche de « gain de fonction », ce n’est plus une hypothèse, c’est un fait. Ce virus est un coronavirus, manipulé par l’homme. Ces laboratoires de recherche, où il a été modifié, cherchent à comprendre les virus, certains recherchent des vaccins, d’autres travaillent sur des armes bactériologiques.

Ici, on peut envisager la recherche d’un vaccin contre le Sida, vu la séquence VIH retrouvée dans le génome du SARS-CoV-2 et greffée sur un coronavirus au départ peu offensif. C’est la raison d’être de ces laboratoires, sinon ils n’existeraient pas.

Secret-défense

Dans secret-défense, il y a le mot secret, donc des choses que l’on refuse de communiquer au commun des mortels. Et, qui dit secret, dit obligatoirement mensonges pour garder ce secret. Il y a aussi le mot défense, d’où la présence de militaires pour prendre en charge les opérations, à commencer par le chef des armées. Probablement et tout simplement, car on considérait que ce virus, fabriqué par l’homme, était très toxique, sans traitement existant, et il a été traité comme s’il s’agissait d’une guerre bactériologique, avec des opérations qui doivent rester secrètes.

Ce « choix » de guerre bactériologique, non argumenté, est une première en infectiologie. Plus létaux et tout aussi contagieux, les virus Ebola, HIV, grippe de Hong Kong et H1N1 n’ont jamais eu droit à un tel traitement. Le secret-défense n’est pas qu’un mot, c’est un fait, comme la déclaration du Président. Pour court-circuiter les instances médicales existantes, on a également créé le « Conseil scientifique » pour conseiller le Conseil de Défense.

Aux États-Unis, on ne peut ignorer les liens de ce « Docteur Fauci et Mister Hyde» avec le Pentagone, la CIA, les militaires de la DARPA , pour effectuer ce genre de « gains de fonction », ayant pourtant été mis au pas par Barak Obama après trois fuites de virus, avant de devenir le grand ordonnateur mondial de la crise avec le Président suivant .

Le choix des armes

Je doute que l’on puisse dire qu’il y a eu une erreur, comme je le pensais au début, dans le fait de penser que face à ce virus synthétique, il n’y avait pas de traitement médical possible. On n’a pas interdit les traitements parce que l’on pensait que cela ne marchait pas, mais puisqu'une stratégie différente a été décidée et mise en place. L’ennemi, c’est la Spike fabriquée, et l'on a fait la guerre à la Spike, pas à l’épidémie. On n’était pas là pour soigner, mais pour faire disparaître cette Spike de la surface du globe, avant que l’on ne découvre le pot aux roses.

Par ailleurs, on a très rapidement fait sauter les verrous juridiques, et lancé la fabrication et la diffusion à une allure impressionnante, sans se préoccuper des inconvénients possibles de ce « traitement » encore inconnu chez l’homme . On verra le reste après, occupons-nous d’abord de faire disparaître cette Spike. Cette stratégie supposait que rien ne vienne perturber cette éradication totale prévue via l’ARN messager. Si un traitement autre marchait, aussi modeste soit-il, cela remettait en question cette stratégie.

Un malade traité, c’est bien, mais si cela marche, on vaccine moins et on laisse circuler la Spike. Il faut empêcher de traiter, pour que tout le monde ait l’antidote, d’où la vaccination massive, envisagée dès le premier jour, y compris de ceux qui n’en avaient pas besoin car n’ayant rien à craindre de la maladie. Pour cela on a donc décidé d’interdire tout traitement, en attendant que les « vaccins » arrivent. On a dit aux médecins « ne traitez pas, il n’y a pas de traitement », affirmation sans aucune preuve scientifique.

On a dit aux patients «n’allez pas voir votre médecin, il ne pourra rien, et si vous allez vraiment mal, appelez directement le Samu. Il ne fallait pas que les médecins essaient quoi que ce soit, alors mieux valait qu’ils ne voient pas les malades, au cas où ils auraient envie de faire leur métier. On n’a pas traité des patients ou une épidémie, non, on a fait la chasse à la Spike. La Spike, rien que la Spike, et rien d’autre.

Ils savaient

Qu’à cela ne tienne, il fallait faire la guerre à cette foutue Spike, pas faire de la médecine, et pour cela ils n’avaient pas besoin des médecins, encore moins de médecins réfractaires qui pouvaient venir perturber leur stratégie. Ces faibles résultats étaient connus au vu de tout ce qui a été fait depuis l’apparition des coronavirus chez l’homme. Il existe une preuve matérielle irréfutable prouvant qu’ils connaissaient l’échec médical dès le premSpike, pas le patient.

Toujours concernant la chasse à la Spike, le dernier « vaccin » polyvalent comportait encore la souche Wuhan, totalement périmée depuis deux ans, ce qui montre bien que cette souche initiale restait encore l’objectif principal.

Leçons

Ce n’est pas aux politiques de dire aux médecins comment ils doivent soigner. Un jour ils vont tuer l’humanité. Quand on lit certaines demandes refusées par les autorités, certains de ces chercheurs ont autant de scrupules que certains médecins de triste mémoire de la dernière guerre mondiale. Par ailleurs, le «bénéfice/risque» de ces laboratoires est négatif, raison de plus.

Ce coup de semonce doit être salutaire, malheureusement encore personne n’a remis en question l’existence de ces laboratoires. Accessoirement il faut aussi revoir le fonctionnement de ces Agences de sécurité du médicament, qui ont ignoré la sécurité en autorisant, au vu de plaquettes publicitaires de laboratoires pharmaceutiques, et en quelques jours, sans aucune transparence, refusant de communiquer leurs délibérations, des nouveaux produits, sans aucun recul, dont ils ne connaissaient même pas la composition réelle. On nous explique que 7 études et 1 419 patients, ce n’est pas assez. Rappelons que pour autoriser l’Ivermectine dans l’onchocercose, ce fut fait à partir d’une seule étude, et sur 1 206 patients.

Dr Gérard Maudrux

Gérard Maudrux est médecin, chirurgien retraité, ex-président de la Caisse autonome de retraite des médecins de France.

Le lien vers l'article de France Soir


Jeudi 13 Avril 2023

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