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«L'avenir n'est plus ce qu'il était» [Paul Valéry]



Utiliser, pour la première fois, des vaccins ARN sur une population saine est une folie!

Ce n'est pas moi qui le dit mais une généticienne qui connait bien a thérapie génique et dont je vous ai déjà parlé, car elle travaille sur les ARN depuis 12 ans ! Cette vidéo a été censurée sur Youtube, mais on la trouve ailleurs. Quand on censure de cette façon une vraie et importante spécialiste de cette question, qui n'a vraiment rien d'une complotiste, c'est que l'on a vraiment des choses peu recommandables à cacher.



Utiliser, pour la première fois, des vaccins ARN sur une population saine est une folie!
Injecter des OGM à des personnes non malades est une folie !

Et c'est une généticienne qui nous le dit.

Les thuriféraires de la vaccination aux OGM aiment à rappeler que la thérapie génique, qui consiste à modifier, pour son bien, l'ADN humain, existe depuis effectivement une vingtaine d'années.

Mais ils se gardent bien de préciser que cette thérapie n'a été appliquée jusqu'à présent qu'uniquement (et avec moult autorisations et précautions) sur des personnes malades, et même très malades, puisque les thérapies conventionnelles sont impuissantes à les guérir.

On ne l'a encore jamais fait sur des personnes saines, ou alors on s'est bien gardé de le chanter sur les toits.

C'est pour cela que l'appliquer avec des vaccins sur toute une population, malade ou saine, peut être considéré à juste titre comme une folie.

Je rappelle que les Chinois, qui connaissent mieux le problème que nous et depuis plus longtemps, vaccinent depuis déjà un bon moment avec un vaccin non ARN, c'est à dire de type classique, qui n'a rien à voir avec un OGM.

Comme le dit Alexandra, les vaccins de type ARN devraient faire l'objet d'un « consentement éclairé explicite » de la part de ceux qui vont en être les cobayes.

De plus, en France, la surveillance des vaccins a posteriori est très sujette à caution.

Parce que, aussi aberrant que cela puisse paraître, les fabricants de vaccins ne sont pas responsables des effets éventuellement nocifs de leurs produits !

Ce sont les États qui sont pénalement responsables.

Ce qui explique qu'ils n'ont aucune envie de payer pour les dégâts occasionnés par les marchands de vaccins.

En conséquence, et tout à fait logiquement, les études sur les conséquences des vaccins sont très peu nombreuses et souvent sujettes elles aussi à caution, car financées par des États qui n'ont aucune envie d'entendre parler de résultats nocifs dans ce domaine ((pas plus que dans tous les autres domaines, d'ailleurs)

Ce qui explique que les États se permettent de prendre des risques insensés, avec des vaccins aux effets à court, moyen, et long terme inconnus, pour tenter d'éradiquer un virus qui a l'inconvénient majeur, pour ces États, de souligner les faiblesses indignes de leurs systèmes de santé, et plus particulièrement de leurs systèmes hospitaliers.

Lesquels ont été « optimisés » ces dernières décennies, comme beaucoup d'autres services naguère « publics » . C'est-à-dire que la notion de « service public » de santé a été remplacée par la notion de « rentabilité ». Ce qu'en langage administratif on appelle pudiquement : la « rationalisation des coûts" .

À l'occasion je rappelle qu'en France l'artisan, pour le moins efficace,de cette réforme de nos services hospitaliers fut un haut fonctionnaire dont tous les Français se gaussent aujourd'hui : un certain … Jean Castex ! * Sous la houlette plus qu'indulgente de celui qui a bradé à vil prix nos autoroutes au secteur privé, un certain Dominique de Villepin.

* Extrait de Wikipédia
« De 2005 à 2006, Jean Castex est le directeur de l’hospitalisation et de l’organisation des soins au ministère des Solidarités et de la Cohésion sociale, où il participe à l’introduction de la notion d’objectifs et de rentabilité dans l’hôpital et à une rationalisation des coûts dans le cadre du plan hôpital 2007, qui introduit notamment la tarification à l'activité (« T2A »). »

N.D.L.R

Alexandra Henrion-Caude, née le 16 octobre 1969 à Warwick au Royaume-Uni est une chercheuse française de l'Inserm, spécialiste en génétique, directrice de la plateforme technologique GenAtlas à l'Institut des maladies génétiques Imagine à l'hôpital Necker.

Mme Henrion-Claude n'est pas n'importe quelle généticienne.

Grâce à un parcours diversifié qui oscille entre travaux pointus en génétique et valorisation technologique, Alexandra Henrion Caude a décroché en 2013 le titre prestigieux de Eisenhower Fellow. Avec à la clé, un séjour très particulier aux États-Unis pour favoriser des rencontres et les échanges dans le pays.

Voir l'article de l'INSERM ici










Vendredi 22 Janvier 2021

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