J'ai noté :
Il nous confirme qu'il n'y a pas de Xème vague de coronavirus. Il y a une multiplication des variants (qu'il a lui même découvert avant que tout le monde en parle, dès le mois de luillet de l'année dernière) qui sont en fait des nouveaux virus. Force est de constater que les autorités ne parlent jamais de nouveaux variants, mais toujours de nouvelles vagues.
Pourquoi ? Parce que si on admet que ce sont chaque fois de nouveaux virus cela veut dire que les vaccins fabriqués avant leur apparition et dans la précipitation ont peu de chances d'être vraiment efficaces. En tous cas très loin des plus de 90% fièrement proclamés avant…l'apparition des variants.
Il nous explique également le pourquoi de l'aberration que semblait constituer la non-responsabilité des marchands de vaccin en ce qui concerne les éventuels effets nocifs de leurs productions. En fait, ce n'tait pas aberrant du tout, mais tout à fait logique : les États ont exigé qu'ils mettent sur le marché leurs vaccins, dans la précipitation la plus totale, et avant même que toutes les étapes habituelles préalables à l'Autorisation de Mise sur le Marché (A.M.M) soient terminées.
Il est tout à fait normal, dans ces conditions, que les fabricants aient pris leurs précautions en demandant aux États de prendre la responsabilité de cette mise sur le marché, pour le moins précipitée et inhabituelle. Quand on connaît le peu d'empressement des États à lancer des études pour vérifier l'efficacité des vaccins, quand on voit le temps et les efforts qu'il a fallu pour retirer du marché des produits validés par les services officiels et pourtant reconnus impropres ou carrément nocifs pour la santé, je souhaite bon courage à ceux qui voudront faire jouer cette responsabilité des États en matière de vaccins.
Le professeur nous donne ensuite son opinion sur les liens entre l'industrie pharmaceutique et la corruption. En l'appuyant sur des études qui ont démontré, de façon tout à fait scientifique, de suspectes corrélations.
D'autres études ont par ailleurs démontré que les études randomisées exigées de nos jours à grands cris par les autorités compétentes n'ont statistiquement aucune supériorité avérée sur les études observationnelles, c'est à dire non randomisées.
Par ailleurs quand on voit la précipitation avec laquelle des vaccins entièrement nouveaux sont administrés à des millions de gens, sans aucune étude randomisée préalable, on peut raisonnablement penser que les États eux-mêmes n'ont pas une confiance immodérée dans les études randomisées.
Le Professeur insiste également sur le fait que si les vaccins actuels suscitent effectivement quelques interrogations, le plus important demeure, comme toujours, les soins à apporter aux patients, dès la détection de la contamination.
Au début de cette crise sanitaire on ne connaissait que la chloroquine. On a pu voir avec quelle férocité cet antique médicament (utilisé sans problèmes depuis 70 ans !) a été combattu par les autorités. Au point d'interdire son usage par les médecins. Atteinte caractérisée à leur liberté de soigner. Ce qui a constitué, je le rappelle, une première dans l'histoire de la médecine. Depuis quantité de molécules ont fait la preuve de leur efficacité, notamment pour les cas les plus graves.
De la même façon, en matière de prévention de la Covid, ce qui à mon sens est capital si on veut voir un jour prochain la fin de cette pandémie, quantité de produits naturels et très bon marché comparés aux coûts exorbitants des vaccins ont aussi fait la preuve de leur efficacité : vitamine D, vitamine C, zinc, etc...
Mais les États, pour des raisons pour le moins suspectes, ne veulent pas en entendre parler. Pour eux seuls le paracétamol et les vaccins seront la panacée (!)
Ce qui est une profonde et mortelle erreur. Et une aberration déchirante pour n'importe quel médecin honnête qui se voit interdire de soigner des patients avec des médicaments non autorisés et ne peut que les envoyer à l'hôpital. Où ces malheureux patients vont souvent mourir, car on a trop attendu avant de les soigner. Heureusement, beaucoup ne s'arrêtent pas, à leurs risques et périls pour leur carrière et même leur avenir professionnel, aux oukases des autorités de santé.
Encore une fois, on n'est pas sortis de l'auberge.
Il nous confirme qu'il n'y a pas de Xème vague de coronavirus. Il y a une multiplication des variants (qu'il a lui même découvert avant que tout le monde en parle, dès le mois de luillet de l'année dernière) qui sont en fait des nouveaux virus. Force est de constater que les autorités ne parlent jamais de nouveaux variants, mais toujours de nouvelles vagues.
Pourquoi ? Parce que si on admet que ce sont chaque fois de nouveaux virus cela veut dire que les vaccins fabriqués avant leur apparition et dans la précipitation ont peu de chances d'être vraiment efficaces. En tous cas très loin des plus de 90% fièrement proclamés avant…l'apparition des variants.
Il nous explique également le pourquoi de l'aberration que semblait constituer la non-responsabilité des marchands de vaccin en ce qui concerne les éventuels effets nocifs de leurs productions. En fait, ce n'tait pas aberrant du tout, mais tout à fait logique : les États ont exigé qu'ils mettent sur le marché leurs vaccins, dans la précipitation la plus totale, et avant même que toutes les étapes habituelles préalables à l'Autorisation de Mise sur le Marché (A.M.M) soient terminées.
Il est tout à fait normal, dans ces conditions, que les fabricants aient pris leurs précautions en demandant aux États de prendre la responsabilité de cette mise sur le marché, pour le moins précipitée et inhabituelle. Quand on connaît le peu d'empressement des États à lancer des études pour vérifier l'efficacité des vaccins, quand on voit le temps et les efforts qu'il a fallu pour retirer du marché des produits validés par les services officiels et pourtant reconnus impropres ou carrément nocifs pour la santé, je souhaite bon courage à ceux qui voudront faire jouer cette responsabilité des États en matière de vaccins.
Le professeur nous donne ensuite son opinion sur les liens entre l'industrie pharmaceutique et la corruption. En l'appuyant sur des études qui ont démontré, de façon tout à fait scientifique, de suspectes corrélations.
D'autres études ont par ailleurs démontré que les études randomisées exigées de nos jours à grands cris par les autorités compétentes n'ont statistiquement aucune supériorité avérée sur les études observationnelles, c'est à dire non randomisées.
Par ailleurs quand on voit la précipitation avec laquelle des vaccins entièrement nouveaux sont administrés à des millions de gens, sans aucune étude randomisée préalable, on peut raisonnablement penser que les États eux-mêmes n'ont pas une confiance immodérée dans les études randomisées.
Le Professeur insiste également sur le fait que si les vaccins actuels suscitent effectivement quelques interrogations, le plus important demeure, comme toujours, les soins à apporter aux patients, dès la détection de la contamination.
Au début de cette crise sanitaire on ne connaissait que la chloroquine. On a pu voir avec quelle férocité cet antique médicament (utilisé sans problèmes depuis 70 ans !) a été combattu par les autorités. Au point d'interdire son usage par les médecins. Atteinte caractérisée à leur liberté de soigner. Ce qui a constitué, je le rappelle, une première dans l'histoire de la médecine. Depuis quantité de molécules ont fait la preuve de leur efficacité, notamment pour les cas les plus graves.
De la même façon, en matière de prévention de la Covid, ce qui à mon sens est capital si on veut voir un jour prochain la fin de cette pandémie, quantité de produits naturels et très bon marché comparés aux coûts exorbitants des vaccins ont aussi fait la preuve de leur efficacité : vitamine D, vitamine C, zinc, etc...
Mais les États, pour des raisons pour le moins suspectes, ne veulent pas en entendre parler. Pour eux seuls le paracétamol et les vaccins seront la panacée (!)
Ce qui est une profonde et mortelle erreur. Et une aberration déchirante pour n'importe quel médecin honnête qui se voit interdire de soigner des patients avec des médicaments non autorisés et ne peut que les envoyer à l'hôpital. Où ces malheureux patients vont souvent mourir, car on a trop attendu avant de les soigner. Heureusement, beaucoup ne s'arrêtent pas, à leurs risques et périls pour leur carrière et même leur avenir professionnel, aux oukases des autorités de santé.
Encore une fois, on n'est pas sortis de l'auberge.