Ce que j'en ai retenu.
La communication de la peur n'est pas une bonne méthode.
Le grand problème de cette crise a été la décision unique imposé par l'OMS qui a fait basculer l'humanité sur un mode, le confinement, qui n'était pas le plus approprié.
Le test PCR ne sait pas mesurer la charge virale d'un prélèvement. Ce qui explique pourquoi nous avons une multiplication importante des cas positifs et un taux de mortalité très peu élevé rapporté à la totalité de la population française.
Une personne positive n'est pas nécessairement malade, bien au contraire. On mélange sous le terme de cas positifs des populations entièrement différentes, à savoir :
Bizarrement, alors que le Conseil scientifique connait aussi bien que le professeur Toussaint les limites du test PCR, on est passé dudécompte de la mortalité au décompte des cas positifs.
N.D.LR : Pourquoi ? Parce que le nombre de cas positifs fait peur. Ce qui n'est pas le cas du taux de mortalité qui, rapporté à la population française, n'a rien d'effrayant. Bien qu'il soit un des plus élevés du monde. Ce qui est dû non pas au fait que le virus a une dent contre la France, mais à la situation désastreuse de nos hôpitaux publics .
Le virus a muté, mais il n'a pas changé.
Les tests PCR coûtent des milliards d'euros à la Sécurité Sociale. Ils lui sont facturés 60 à 70 € pièce. À plus d'un million de tests par semaine, faites le compte. (N.D.L.R : Bien entendu, dans quelques mois on va déplorer le déficit de la sécurité sociale. Rappelons quand même que la Sécurité sociale a récemment financé la majorité des concessions de Macron aux gilets jaunes (10 milliards d'euros) et maintenant le coût des tests PCR) Sans compter tout le reste, exonération des charges patronales en particulier.
Le nombre élevé de cas positifs montre qu'il se passe en ce moment le début d'une immunisation collective. A la vitesse où le taux de positivité se développe on peut espérer arriver relativement rapidement un taux d'immunisation collective de 40 à 50 %, alors qu'il était au mois de mars de moins de 5 %.
N.D.L.R: alors que la notion d'immunisation collective avait largement été évoquée au début de la crise certains maintenant dans le conseil scientifique et ailleurs la mettent en doute. On met même en doute le fait qu'après avoir été infecté une fois par la Covid-19 on serait immunisé pour une durée certes encore indéterminée. Pour réfuter cette thèse on argue que certaines personnes ont été contaminées de nouveau. Or, d’une part le nombre de recontaminations est extrêmement bas dans le monde entier. D'autre part, aucune étude sérieuse à ce jour n'a plus prouver que il existait une possibilité significative de recontamination.
Par ailleurs, il suffit de regarder la carte des clusters en France en ce moment pour constater que les départements qui ont été fortement contaminés lors de la première vague le sont beaucoup moins désormais. Et qu'en revanche ceux qui avaient été épargnés par la première vague connaissent en ce moment de plus en plus de cas positifs. Il semblerait que cette observation échappe aux autorités alors qu'elle est pourtant évidente.
Pourquoi ?
Il se trouve que si on tient compte de ce fait, qui au demeurant ne peut être contesté, cela revient à reconnaître que la stratégie du confinement n'est pas la bonne. En effet, elle à certes pour effet de diminuer temporairement les contaminations mais on a pu constater que dès qu'on arrête le confinement, la circulation du virus reprend de plus belle.
Autrement dit, plus on confinera, et plus longtemps la pandémie durera. Et ceci tant qu'un virus efficace, et sans effets collatéraux néfastes ne sera pas mis en place. On comprend mieux dès lors pourquoi les autorités refusent d'avouer que le confinement n'est pas la bonne méthode.
En revanche, ces mêmes autorités se sont bien cassé la tête pour trouver une solution au prix exorbitant du confinement. Il suffit d'envoyer les actifs travailler et de confiner les personnes non actives, les handicapés, et les personnes âgées et malades qui n'ont pas le droit d'aller à l'hôpital.
Inutile de dire que le confinement « à la Macron » ne va pas manquer d'entraîner des conséquences désastreuses pour les personnes fragiles qui devrait être pourtant les premières à être protégées. Ainsi qu'une augmentation sensible du taux de mortalité. Sans oublier que les personnes valides qui vont travailler parce qu'elles sont asymptomatiques ou épargnées par le virus ou guéries, ne manqueront pas de ramener le virus dans le foyer confiné. Ce qui s'appelle avoir tout faux.
Empêcher les gens de faire du sport comme c'est le cas actuellement c'est méconnaître complètement l'influence bénéfique du sport sur la protection du système immunitaire.
En l'absence de vaccin et d'un médicament efficace contre la Covid-19 la meilleure défense que tout un chacun devrait mettre en place c'est la protection du système immunitaire. Malheureusement on a pu constater lors du premier confinement que si certaines personnes en ont profité pour faire du sport à la maison, beaucoup d'autres en en profité pour se goinfrer devant la télé, et ce faisant prendre beaucoup de kilos supplémentaires. Ce qui est la pire des attitudes par rapport à ce virus.
Le professeur Toussaint nous apprend dans cette interview qu'en réanimation le nombre de lits est passé de 7000 à 5000 du mois de juillet au mois d'octobre ! Alors que beaucoup de médecins n'avaient cessé d'agiter le spectre d'une deuxième vague ! Ce qui signifie que dès que le virus baisse d'intensité le gouvernement en profite pour faire des économies sur les hôpitaux publics.
Les masques sont très utiles dans les milieux confinés mais en milieu ouvert leur utilité n'a jamais été démontrée
à ce jour. Au passage l'OMS est entièrement d'accord avec cela.
La mortalité en matière de Covid-19 set fonction aussi de la santé générale de la population dans le pays examiné. Il se trouve qu'en France la situation médicale des Français est apparue avec cette crise sanitaire beaucoup plus grave que ce que l'on pensait.
Nos aînés ont été abandonnés ! Ce qui a entrainé une mortalité effrayante dans les EHPAD. Abandon qui subsiste toujours puisque à l'heure actuelle un malade dans un EHPAD n'est pas admissible dans un hôpital ! Y compris évidemment les personnes âgées et malades qui sont à domicile.
N.D.L.R Autrement dit, si vous avez plus de 80-85 ans et que vous contractez une forme sévère de la Covid-19, vous pouvez préparer votre testament.
Comme vous pouvez le voir cette interview du professeur Toussaint est très riche d'enseignement et pour certains de confirmations.
je vous recommande chaudement de prendre 45 minutes de votre temps pour écouter et regarder cette interview.
Au passage vous pouvez constater que depuis que j'écris (souvent) sur ce site à propos du traitement pour le moins erratique, maladroit, et parfois criminel de la crise sanitaire par Macron et son équipe de bras cassés, je ne vous raconte pas trop de bêtises.
La vidéo
La communication de la peur n'est pas une bonne méthode.
Le grand problème de cette crise a été la décision unique imposé par l'OMS qui a fait basculer l'humanité sur un mode, le confinement, qui n'était pas le plus approprié.
Le test PCR ne sait pas mesurer la charge virale d'un prélèvement. Ce qui explique pourquoi nous avons une multiplication importante des cas positifs et un taux de mortalité très peu élevé rapporté à la totalité de la population française.
Une personne positive n'est pas nécessairement malade, bien au contraire. On mélange sous le terme de cas positifs des populations entièrement différentes, à savoir :
- des sujets guéris
- des sujets qui sont non contagieux
- des sujets qui sont asymptomatiques
- des sujets peu symptomatiques
- des sujets malades
- des sujets sévèrement malades
Bizarrement, alors que le Conseil scientifique connait aussi bien que le professeur Toussaint les limites du test PCR, on est passé dudécompte de la mortalité au décompte des cas positifs.
N.D.LR : Pourquoi ? Parce que le nombre de cas positifs fait peur. Ce qui n'est pas le cas du taux de mortalité qui, rapporté à la population française, n'a rien d'effrayant. Bien qu'il soit un des plus élevés du monde. Ce qui est dû non pas au fait que le virus a une dent contre la France, mais à la situation désastreuse de nos hôpitaux publics .
Le virus a muté, mais il n'a pas changé.
Les tests PCR coûtent des milliards d'euros à la Sécurité Sociale. Ils lui sont facturés 60 à 70 € pièce. À plus d'un million de tests par semaine, faites le compte. (N.D.L.R : Bien entendu, dans quelques mois on va déplorer le déficit de la sécurité sociale. Rappelons quand même que la Sécurité sociale a récemment financé la majorité des concessions de Macron aux gilets jaunes (10 milliards d'euros) et maintenant le coût des tests PCR) Sans compter tout le reste, exonération des charges patronales en particulier.
Le nombre élevé de cas positifs montre qu'il se passe en ce moment le début d'une immunisation collective. A la vitesse où le taux de positivité se développe on peut espérer arriver relativement rapidement un taux d'immunisation collective de 40 à 50 %, alors qu'il était au mois de mars de moins de 5 %.
N.D.L.R: alors que la notion d'immunisation collective avait largement été évoquée au début de la crise certains maintenant dans le conseil scientifique et ailleurs la mettent en doute. On met même en doute le fait qu'après avoir été infecté une fois par la Covid-19 on serait immunisé pour une durée certes encore indéterminée. Pour réfuter cette thèse on argue que certaines personnes ont été contaminées de nouveau. Or, d’une part le nombre de recontaminations est extrêmement bas dans le monde entier. D'autre part, aucune étude sérieuse à ce jour n'a plus prouver que il existait une possibilité significative de recontamination.
Par ailleurs, il suffit de regarder la carte des clusters en France en ce moment pour constater que les départements qui ont été fortement contaminés lors de la première vague le sont beaucoup moins désormais. Et qu'en revanche ceux qui avaient été épargnés par la première vague connaissent en ce moment de plus en plus de cas positifs. Il semblerait que cette observation échappe aux autorités alors qu'elle est pourtant évidente.
Pourquoi ?
Il se trouve que si on tient compte de ce fait, qui au demeurant ne peut être contesté, cela revient à reconnaître que la stratégie du confinement n'est pas la bonne. En effet, elle à certes pour effet de diminuer temporairement les contaminations mais on a pu constater que dès qu'on arrête le confinement, la circulation du virus reprend de plus belle.
Autrement dit, plus on confinera, et plus longtemps la pandémie durera. Et ceci tant qu'un virus efficace, et sans effets collatéraux néfastes ne sera pas mis en place. On comprend mieux dès lors pourquoi les autorités refusent d'avouer que le confinement n'est pas la bonne méthode.
En revanche, ces mêmes autorités se sont bien cassé la tête pour trouver une solution au prix exorbitant du confinement. Il suffit d'envoyer les actifs travailler et de confiner les personnes non actives, les handicapés, et les personnes âgées et malades qui n'ont pas le droit d'aller à l'hôpital.
Inutile de dire que le confinement « à la Macron » ne va pas manquer d'entraîner des conséquences désastreuses pour les personnes fragiles qui devrait être pourtant les premières à être protégées. Ainsi qu'une augmentation sensible du taux de mortalité. Sans oublier que les personnes valides qui vont travailler parce qu'elles sont asymptomatiques ou épargnées par le virus ou guéries, ne manqueront pas de ramener le virus dans le foyer confiné. Ce qui s'appelle avoir tout faux.
Empêcher les gens de faire du sport comme c'est le cas actuellement c'est méconnaître complètement l'influence bénéfique du sport sur la protection du système immunitaire.
En l'absence de vaccin et d'un médicament efficace contre la Covid-19 la meilleure défense que tout un chacun devrait mettre en place c'est la protection du système immunitaire. Malheureusement on a pu constater lors du premier confinement que si certaines personnes en ont profité pour faire du sport à la maison, beaucoup d'autres en en profité pour se goinfrer devant la télé, et ce faisant prendre beaucoup de kilos supplémentaires. Ce qui est la pire des attitudes par rapport à ce virus.
Le professeur Toussaint nous apprend dans cette interview qu'en réanimation le nombre de lits est passé de 7000 à 5000 du mois de juillet au mois d'octobre ! Alors que beaucoup de médecins n'avaient cessé d'agiter le spectre d'une deuxième vague ! Ce qui signifie que dès que le virus baisse d'intensité le gouvernement en profite pour faire des économies sur les hôpitaux publics.
Les masques sont très utiles dans les milieux confinés mais en milieu ouvert leur utilité n'a jamais été démontrée
à ce jour. Au passage l'OMS est entièrement d'accord avec cela.
La mortalité en matière de Covid-19 set fonction aussi de la santé générale de la population dans le pays examiné. Il se trouve qu'en France la situation médicale des Français est apparue avec cette crise sanitaire beaucoup plus grave que ce que l'on pensait.
Nos aînés ont été abandonnés ! Ce qui a entrainé une mortalité effrayante dans les EHPAD. Abandon qui subsiste toujours puisque à l'heure actuelle un malade dans un EHPAD n'est pas admissible dans un hôpital ! Y compris évidemment les personnes âgées et malades qui sont à domicile.
N.D.L.R Autrement dit, si vous avez plus de 80-85 ans et que vous contractez une forme sévère de la Covid-19, vous pouvez préparer votre testament.
Comme vous pouvez le voir cette interview du professeur Toussaint est très riche d'enseignement et pour certains de confirmations.
je vous recommande chaudement de prendre 45 minutes de votre temps pour écouter et regarder cette interview.
Au passage vous pouvez constater que depuis que j'écris (souvent) sur ce site à propos du traitement pour le moins erratique, maladroit, et parfois criminel de la crise sanitaire par Macron et son équipe de bras cassés, je ne vous raconte pas trop de bêtises.
La vidéo