Et, nous démontre que l'on peut parler avec humour de la "teub" (verlan : teubi, dont on a supprimé le dernier phonème, i, ce qui s'appelle une apocope) sans jamais être grossier. La classe de Michel Leeb m'a toujours épatée et dans ce spectacle, elle est évidente. À noter que du point de vue de l 'éducation sexuelle des adolescents (.tes) cette vidéo peut être utile.
Compte tenu de la vogue indéniable du mot teub, les jeunes seront sans doute contents d'apprendre qu'ils manient très fréquemment l'apocope. Même si c'est à la façon du bourgeois gentilhomme.
Quant aux enseignants, voilà une excellente manière d'obtenir un grand succès lors d'un cours sur les figures de style. Nul doute que leur auditoire, avec un tel exemple, n'oubliera jamais ce qu'est une apocope.
Dans le même ordre d'idées Michel Audiard peut leur fournir de savoureux exemples de figures de style très imagées et même de beaucoup d'autres subtilités de la langue française. Voir ici un de mes articles très récents sur ce sujet.
Compte tenu de la vogue indéniable du mot teub, les jeunes seront sans doute contents d'apprendre qu'ils manient très fréquemment l'apocope. Même si c'est à la façon du bourgeois gentilhomme.
Quant aux enseignants, voilà une excellente manière d'obtenir un grand succès lors d'un cours sur les figures de style. Nul doute que leur auditoire, avec un tel exemple, n'oubliera jamais ce qu'est une apocope.
Dans le même ordre d'idées Michel Audiard peut leur fournir de savoureux exemples de figures de style très imagées et même de beaucoup d'autres subtilités de la langue française. Voir ici un de mes articles très récents sur ce sujet.
Peine-à-jouir : l'insulte capitale ?