Le Pr Delfraissy, 73 ans
L'article d'Ivan Rioufol
"Pas un mot dans la presse, ce mercredi.
C’est pourtant une bombe qu’a lancée, hier sur France Info, le président du conseil scientifique, Jean-François Delfraissy.
Lui-même en est convenu : il ne devrait « pas dire ça ».
Le vaccin contre le Covid « est une forme de vaccin-médicament », a-t-il reconnu. « Il est comme les autres vaccins par certains côtés. C’est un vaccin, mais qui a un peu une forme de vaccin-médicament, puisqu’en fait, il protège contre les formes sévères et les formes graves. »
« Ça, on ne l’a pas suffisamment dit », a ajouté le professeur, spécialisé en immunologie. « C’est nouveau, parce que c’est incompatible (…) Ça ne colle pas, mais c’est la réalité. Il est très particulier. Le vaccin contre le Covid a une action formidable pour prévenir les formes sévères et les formes graves, mais il a une action limitée dans le temps et sur la transmission. (…) C’est quelque chose qu’on aurait pu anticiper, mais qui était difficile (à prévoir). Les modèles animaux montraient que l’immunité était relativement faible. »
Bref, le président du conseil scientifique explique, d’une manière alambiquée, que le « vaccin » anti-Covid, sur lequel le gouvernement a imposé le passe vaccinal, n’est pas un vaccin.
De fait, la France est le pays d’Europe qui connaît le plus de contaminations (500.000 en 24 heures) alors que les vaccinés représentent 92% de la population.
Mais cette injection renouvelable est-elle un « médicament » ? Si oui, il est dès lors absurde de l’imposer à des personnes qui ne sont pas malades.
Delfraissy assure néanmoins : « On a dix fois plus de chances de se retrouver en réanimation, si on n’est pas vacciné ». (N.D.L.R : c'est faux ! Les statistiques sont plutôt de 60 % de non-vaccinés pour 40 % de vaccinés en réanimation, ce qui est très loin des chiffres annoncés par le président du Conseil Scientifique. Si le président du Conseil scientifique dit n'importe quoi l'on peut légitimement s'interroger sur l'utilité de ce Conseil scientifique.)
Cependant, il est admis aussi que le variant Omicron est encore moins létal que les précédents. Les risques de se retrouver en réanimation sont donc, quoi qu’il arrive, très faibles.
Que les médias ne se précipitent pas pour ébruiter l’aveu peut se comprendre : ils n’ont jamais mis en doute la sacralisation, par le récit officiel, des vaccins anti-Covid.
Quiconque se risquait à émettre un doute sur cette expérimentation à l’échelle mondiale, promue par les laboratoires pharmaceutiques, était catalogué d’obscurantiste, de complotiste, voire d’extrême droite et même parfois d’antisémite !
Ces injures ont été abondamment versées sur les anti-passe qui manifestent tous les samedis depuis la mi-juillet.
Le gouvernement lui-même n’a jamais pris le moindre recul pour avaliser les dires de Pfizer assurant que son vaccin était efficace à 97 %.
Aujourd’hui encore, le chef de l’Etat répète : « Vacciner, vacciner, vacciner », y compris le monde entier.
Or les réalités sont têtues. Ce que reconnait honnêtement Delfraissy, après l’hérétique Christian Perronne – ce vaccin n’est pas un vaccin – oblige à reconsidérer la politique sanitaire.
Les « charlatans » sont ceux qui ont vendu, en pleine épidémie, un faux vaccin qui ne protège pas des contaminations. Il y a eu tromperie sur la marchandise, violation du consentement, abus de confiance. Mais chut, pas un mot !…"
Ivan Roufiol
Source :
N.D.L.R
Je l'avais prédit sur ce site, la plupart des assertions qui ont été qualifiées de "complotistes" depuis deux ans, vont se révéler progressivement de plus en plus exactes. Celle-ci n'est pas la moindre.
Que le président du Conseil Scientifique, spécialiste en immunologie, admette, mais deux ans après quand même, que le "vaccin" anti-Covid n'est pas un vrai vaccin, c'est quand même énorme.
Depuis le début de cette pandémie de nombreux médecins (honnêtes, ceux-là) ont affirmé qu'il ne s'agissait effectivement pas d'un vaccin, mais d'"une expérience thérapeutique" et qu'il était scandaleusement dangereux d'appliquer une "expérience thérapeutique", pour la première fois de surcroit, à des milliards de cobayes dans le monde sans attendre les résultats des études cliniques, pourtant obligatoires.
La seule réponse du gouvernement et des médias à cette affirmation,qui se révèle deux ans plus tard exacte, a été de vouer aux gémonies tous ceux qui l'avaient osé. Et, entre autres, à priver de leur travail ceux qui ont refusé de se laisser injecter cette "expérience".
Pire encore, en France, alors que le Pr Delfraissy n'a pas dû manquer de faire part de cette "révélation" au gouvernement, Macron décide, imperturbablement, de continuer la vaccination, et même "d'emmerder" tant qu'il le pourra, et en tant que président il peut beaucoup, les personnes qui ne veulent pas, à juste titre, on l'avoue maintenant et pas n'importe qui, de cette "expérience" !
Désormais, avec cette affirmation du premier scientifique de France, tous les avocats de France et de Navarre vont pouvoir attaquer en justice le ministre Véran et ses collaborateurs au sujet de toutes les vilénies qu'ils ont accomplies au nom de ces "vaccins" qui n'en étaient pas.
Quant à ceux qui vont souffrir ou qui ont déjà souffert des effets pudiquement dénommés "secondaires" de cette expérience thérapeutique, j'espère qu'ils seront tous entendus et dûment indemnisés.
Macron est malheureusement inattaquable en qualité de président sortant. Cependant, il sera je l'espère fragilisé comme candidat à une nouvelle présidence. La meilleure punition à lui infliger serait de refuser de le réélire. Et, une fois déchargé de sa fonction présidentielle, de l'attaquer en justice, comme Sarkozy, pour ses errements passés, et ils furent nombreux.
À moins que les Français ne soient vraiment des veaux, comme disait le Général de Gaulle.
"Pas un mot dans la presse, ce mercredi.
C’est pourtant une bombe qu’a lancée, hier sur France Info, le président du conseil scientifique, Jean-François Delfraissy.
Lui-même en est convenu : il ne devrait « pas dire ça ».
Le vaccin contre le Covid « est une forme de vaccin-médicament », a-t-il reconnu. « Il est comme les autres vaccins par certains côtés. C’est un vaccin, mais qui a un peu une forme de vaccin-médicament, puisqu’en fait, il protège contre les formes sévères et les formes graves. »
« Ça, on ne l’a pas suffisamment dit », a ajouté le professeur, spécialisé en immunologie. « C’est nouveau, parce que c’est incompatible (…) Ça ne colle pas, mais c’est la réalité. Il est très particulier. Le vaccin contre le Covid a une action formidable pour prévenir les formes sévères et les formes graves, mais il a une action limitée dans le temps et sur la transmission. (…) C’est quelque chose qu’on aurait pu anticiper, mais qui était difficile (à prévoir). Les modèles animaux montraient que l’immunité était relativement faible. »
Bref, le président du conseil scientifique explique, d’une manière alambiquée, que le « vaccin » anti-Covid, sur lequel le gouvernement a imposé le passe vaccinal, n’est pas un vaccin.
De fait, la France est le pays d’Europe qui connaît le plus de contaminations (500.000 en 24 heures) alors que les vaccinés représentent 92% de la population.
Mais cette injection renouvelable est-elle un « médicament » ? Si oui, il est dès lors absurde de l’imposer à des personnes qui ne sont pas malades.
Delfraissy assure néanmoins : « On a dix fois plus de chances de se retrouver en réanimation, si on n’est pas vacciné ». (N.D.L.R : c'est faux ! Les statistiques sont plutôt de 60 % de non-vaccinés pour 40 % de vaccinés en réanimation, ce qui est très loin des chiffres annoncés par le président du Conseil Scientifique. Si le président du Conseil scientifique dit n'importe quoi l'on peut légitimement s'interroger sur l'utilité de ce Conseil scientifique.)
Cependant, il est admis aussi que le variant Omicron est encore moins létal que les précédents. Les risques de se retrouver en réanimation sont donc, quoi qu’il arrive, très faibles.
Que les médias ne se précipitent pas pour ébruiter l’aveu peut se comprendre : ils n’ont jamais mis en doute la sacralisation, par le récit officiel, des vaccins anti-Covid.
Quiconque se risquait à émettre un doute sur cette expérimentation à l’échelle mondiale, promue par les laboratoires pharmaceutiques, était catalogué d’obscurantiste, de complotiste, voire d’extrême droite et même parfois d’antisémite !
Ces injures ont été abondamment versées sur les anti-passe qui manifestent tous les samedis depuis la mi-juillet.
Le gouvernement lui-même n’a jamais pris le moindre recul pour avaliser les dires de Pfizer assurant que son vaccin était efficace à 97 %.
Aujourd’hui encore, le chef de l’Etat répète : « Vacciner, vacciner, vacciner », y compris le monde entier.
Or les réalités sont têtues. Ce que reconnait honnêtement Delfraissy, après l’hérétique Christian Perronne – ce vaccin n’est pas un vaccin – oblige à reconsidérer la politique sanitaire.
Les « charlatans » sont ceux qui ont vendu, en pleine épidémie, un faux vaccin qui ne protège pas des contaminations. Il y a eu tromperie sur la marchandise, violation du consentement, abus de confiance. Mais chut, pas un mot !…"
Ivan Roufiol
Source :
N.D.L.R
Je l'avais prédit sur ce site, la plupart des assertions qui ont été qualifiées de "complotistes" depuis deux ans, vont se révéler progressivement de plus en plus exactes. Celle-ci n'est pas la moindre.
Que le président du Conseil Scientifique, spécialiste en immunologie, admette, mais deux ans après quand même, que le "vaccin" anti-Covid n'est pas un vrai vaccin, c'est quand même énorme.
Depuis le début de cette pandémie de nombreux médecins (honnêtes, ceux-là) ont affirmé qu'il ne s'agissait effectivement pas d'un vaccin, mais d'"une expérience thérapeutique" et qu'il était scandaleusement dangereux d'appliquer une "expérience thérapeutique", pour la première fois de surcroit, à des milliards de cobayes dans le monde sans attendre les résultats des études cliniques, pourtant obligatoires.
La seule réponse du gouvernement et des médias à cette affirmation,qui se révèle deux ans plus tard exacte, a été de vouer aux gémonies tous ceux qui l'avaient osé. Et, entre autres, à priver de leur travail ceux qui ont refusé de se laisser injecter cette "expérience".
Pire encore, en France, alors que le Pr Delfraissy n'a pas dû manquer de faire part de cette "révélation" au gouvernement, Macron décide, imperturbablement, de continuer la vaccination, et même "d'emmerder" tant qu'il le pourra, et en tant que président il peut beaucoup, les personnes qui ne veulent pas, à juste titre, on l'avoue maintenant et pas n'importe qui, de cette "expérience" !
Désormais, avec cette affirmation du premier scientifique de France, tous les avocats de France et de Navarre vont pouvoir attaquer en justice le ministre Véran et ses collaborateurs au sujet de toutes les vilénies qu'ils ont accomplies au nom de ces "vaccins" qui n'en étaient pas.
Quant à ceux qui vont souffrir ou qui ont déjà souffert des effets pudiquement dénommés "secondaires" de cette expérience thérapeutique, j'espère qu'ils seront tous entendus et dûment indemnisés.
Macron est malheureusement inattaquable en qualité de président sortant. Cependant, il sera je l'espère fragilisé comme candidat à une nouvelle présidence. La meilleure punition à lui infliger serait de refuser de le réélire. Et, une fois déchargé de sa fonction présidentielle, de l'attaquer en justice, comme Sarkozy, pour ses errements passés, et ils furent nombreux.
À moins que les Français ne soient vraiment des veaux, comme disait le Général de Gaulle.