Un faux confinement à moins de frais pour le gouvernement mais qui se révèle catastrophique pour 36% de la population soit ~24 millions de français ! Quand le confinement sera terminé ces 24 millions de français auront toujours de gros problèmes.
La lettre Santé et Confinement
Chers amis,
Cette étude confirme peut-être ce que beaucoup pensent tout bas : il n’existerait aucun lien entre le confinement, des mesures sanitaires strictes et la mortalité du virus.
Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs ont notamment étudié, pour chaque pays :
Deux types de pays ont alors émergé :
Les pays dits « riches », avec des taux élevés de maladies chroniques et cardiovasculaires et une population vieillissante et sédentaire : ils se situent en Amérique du Nord, en Europe et dans une partie de l’Asie,
Les pays moins riches, avec des populations plus jeunes et des taux élevés de maladies infectieuses (dengue, malaria, etc.), sont plutôt localisés en Afrique, en Amérique du Sud et en Asie du Sud-Est.
Les pays riches plus touchés par le virus
Et voici ce que conclut l’étude : les pays les plus riches ont payé le plus lourd tribut face au virus, sans lien avec la sévérité des mesures imposées.
Dans les pays riches, nous avons tendance à vivre plus longtemps mais aussi à être moins actifs que dans les pays moins développés.
Or, la sédentarité est une cause majeure de comorbidités : hypertension, diabète et troubles cardiovasculaires pour les principales.
La mortalité élevée du virus dans nos sociétés est donc surtout liée à la vieillesse de la population, et à notre mode de vie.
Et les chiffres donnent raison aux chercheurs :
En France, depuis le 1er mars 2020, 91,7 % des décès du Covid avaient plus de 65 ans, avec un âge médian de 84 ans [i] ;
65 % des morts du virus souffraient d’une comorbidité [ii] (une hypertension artérielle dans 24 % des cas, une pathologie cardiaque pour 35%) ;
44 % de ces décès ont eu lieu en maison de retraite, une proportion atteignant 59 % en Norvège et 72 % en Espagne[iii].
Au 5 novembre 2020, le taux de mortalité était de 0,05 %. Vous aviez donc 1 risque sur 2000 de mourir du virus… et 99,05 de chance d’y survivre!
À titre de comparaison, au cours de sa vie, une personne à 1 risque sur 6 de mourir d’un accident cardiovasculaire. Et cela ne nous empêche pas de vivre !
Le problème, c’est que l’incertitude dans laquelle nous plonge cette pandémie nous fait surestimer les risques. Et le gouvernement en profitent pour imposer des mesures de plus en plus décriées et pesantes pour beaucoup d’entre nous. Avec l'aide des médias.
Source : Santé Confinement - Rodolphe & Sébastien
Lien vers l’étude frnçaise
N.D.L.R
Cette étude qui date du 19 novembre est publiée en anglais mais elle est française et l'un des chercheurs signataires est le professeur Toussaint. Il se trouve que la langue "officielle" des publications scientifiques est l'anglais.
Chers amis,
Cette étude confirme peut-être ce que beaucoup pensent tout bas : il n’existerait aucun lien entre le confinement, des mesures sanitaires strictes et la mortalité du virus.
Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs ont notamment étudié, pour chaque pays :
- l’espérance de vie ;
- le nombre de décès liés au cancer, aux maladies cardiovasculaires, chroniques et infectieuses ;
- les taux d’obésité, d’inactivité et de sédentarité ;
- la richesse économique ;
- la sévérité des mesures anti-covid des gouvernements ;
Deux types de pays ont alors émergé :
Les pays dits « riches », avec des taux élevés de maladies chroniques et cardiovasculaires et une population vieillissante et sédentaire : ils se situent en Amérique du Nord, en Europe et dans une partie de l’Asie,
Les pays moins riches, avec des populations plus jeunes et des taux élevés de maladies infectieuses (dengue, malaria, etc.), sont plutôt localisés en Afrique, en Amérique du Sud et en Asie du Sud-Est.
Les pays riches plus touchés par le virus
Et voici ce que conclut l’étude : les pays les plus riches ont payé le plus lourd tribut face au virus, sans lien avec la sévérité des mesures imposées.
Dans les pays riches, nous avons tendance à vivre plus longtemps mais aussi à être moins actifs que dans les pays moins développés.
Or, la sédentarité est une cause majeure de comorbidités : hypertension, diabète et troubles cardiovasculaires pour les principales.
La mortalité élevée du virus dans nos sociétés est donc surtout liée à la vieillesse de la population, et à notre mode de vie.
Et les chiffres donnent raison aux chercheurs :
En France, depuis le 1er mars 2020, 91,7 % des décès du Covid avaient plus de 65 ans, avec un âge médian de 84 ans [i] ;
65 % des morts du virus souffraient d’une comorbidité [ii] (une hypertension artérielle dans 24 % des cas, une pathologie cardiaque pour 35%) ;
44 % de ces décès ont eu lieu en maison de retraite, une proportion atteignant 59 % en Norvège et 72 % en Espagne[iii].
Au 5 novembre 2020, le taux de mortalité était de 0,05 %. Vous aviez donc 1 risque sur 2000 de mourir du virus… et 99,05 de chance d’y survivre!
À titre de comparaison, au cours de sa vie, une personne à 1 risque sur 6 de mourir d’un accident cardiovasculaire. Et cela ne nous empêche pas de vivre !
Le problème, c’est que l’incertitude dans laquelle nous plonge cette pandémie nous fait surestimer les risques. Et le gouvernement en profitent pour imposer des mesures de plus en plus décriées et pesantes pour beaucoup d’entre nous. Avec l'aide des médias.
Source : Santé Confinement - Rodolphe & Sébastien
Lien vers l’étude frnçaise
N.D.L.R
Cette étude qui date du 19 novembre est publiée en anglais mais elle est française et l'un des chercheurs signataires est le professeur Toussaint. Il se trouve que la langue "officielle" des publications scientifiques est l'anglais.
Cette étude confirme ce que disent depuis plusieurs mois de nombreux médecins et scientifiques, honnis par les médias et les autorités médicales, dont je me suis fait souvent l'écho sur ce site.
Après les tests PCR de plus en plus contestés (voir article précédent sur ce site) voilà maintenant l'inutilité du confinement démontrée pat une étude scientifique.
Quant aux dégâts collatéraux consécutifs aux deux confinements successifs en France, ils sont tellement importants que même M. Véran s'est permis de le déplorer.
Ce qui serait cocasse, puisque ces dégâts sont avoués par le ministre de la Santé aux commandes de notre système médical depuis plusieurs mois, si la situation n'était pas aussi tragique.
Entendre un ministre de la Santé déplorer publiquement les conséquences de sa propre politique, sans évoquer une seconde sa responsabilité dans ce fiasco, il n'y a qu'en France en ce moment et peut-être dans quelques républiques bananières que l'on peut voir cela.
Après les tests PCR de plus en plus contestés (voir article précédent sur ce site) voilà maintenant l'inutilité du confinement démontrée pat une étude scientifique.
Quant aux dégâts collatéraux consécutifs aux deux confinements successifs en France, ils sont tellement importants que même M. Véran s'est permis de le déplorer.
Ce qui serait cocasse, puisque ces dégâts sont avoués par le ministre de la Santé aux commandes de notre système médical depuis plusieurs mois, si la situation n'était pas aussi tragique.
Entendre un ministre de la Santé déplorer publiquement les conséquences de sa propre politique, sans évoquer une seconde sa responsabilité dans ce fiasco, il n'y a qu'en France en ce moment et peut-être dans quelques républiques bananières que l'on peut voir cela.