Je sais, c'est grand, mais c'est une sculpture géante que l'on doit à Sophia Wallace
La plupart d'entre vous y apprendront plein de choses intéressantes sur cet organe féminin si méconnu parce que tellement tabou, depuis la nuit des temps.
Pourquoi le clitoris est il tabou ?
Parce qu'il est le haut lieu du plaisir féminin et que les hommes ont toujours voulu contrôler le plaisir féminin.
De plus, alors que l'organe sexuel masculin ne cache rien (enfin presque, parce qu'en fait il est intimement relié à la prostate, ce centre du plaisir masculin) la plus grande partie du clitoris est cachée. Ce qui explique que beaucoup femmes ignorent encore l'existence et la nature même de leur principal organe sexuel. Alors les hommes...
En effet, le "bouton de rose" des poètes et poétesses, plus prosaïquement le gland, généralement minuscule, du clitoris (il y a des exceptions, mais elles sont rares) n'est que la parie visible du véritable "iceberg" que constitue le clitoris. De fait, cet organe, beaucoup plus complexe qu'il n'y parait, enserre pratiquement tout le vagin féminin de ses innombrables terminaisons nerveuses et généralement ultra réceptives.
Ce qui explique que contrairement à l'idée répandue les femmes ne sont pas vaginales ou clitoridiennes, elles sont toutes clitoridiennes. Simplement, certaines sont plus sensibles au niveau de l'entrée du vagin où, la nature est sympa avec les hommes, se trouve le clitoris (il aurait pu être situé au fond du vagin 😏) alors que d'autres sont plus sensibles au niveau de l'intérieur du vagin.
Mieux encore, les ramifications nerveuses du clitoris vont jusqu'à l'extrême fond du vagin. Ce qui explique que "la levrette" est généralement une position appréciée des femmes. Qui fut, à mon avis la position la plus "naturelle" chez les premiers humains. Celle du "missionnaire" a dû apparaître beaucoup plus tard, avec la religion, sans doute.
Ce qui explique également que les femmes, après une nécessaire initiation, de préférence progressive, puissent éprouver aussi beaucoup de plaisir avec la sodomie. Certains les qualifient "d'anales" mais elles sont en fait clitoridiennes, comme toutes les femmes.
D'après mon expérience personnelle, qui est plutôt vaste dans ce domaine, si les femmes, bien que toutes clitoridiennes ne sont effectivement jamais "réceptives" de la même façon, la plupart des femmes hétérosexuelles (j'ai très peu fréquenté les lesbiennes) apprécient plus la levrette que la missionnaire.
Plus encore, la quasi-totalité des femmes qui acceptent la sodomie, parviennent facilement à l'orgasme par ce canal, ce qui est loin d'être le cas pour ce qui est de la pénétration classique. J'ai connu plusieurs femmes à qui la pénétration classique, même prolongée, ne faisait que peu d'effet, mais qui ne pouvaient parvenir à l'orgasme que par la sodomie.
Écoutez absolument le podcast de cette émission. Vous y apprendrez certainement beaucoup de choses sur le clitoris, la découverte du clitoris et le mal que l'on a pu, et que l'on fait encore, à cet organe central du plaisir féminin (excision, infibulation etc.)
J'y ai appris personnellement, et avec effarement, que beaucoup de médecins, voire de gynécologues obstétriciens (!) n'ont pas été formés à la connaissance du clitoris. En revanche on leur a appris quand même à éviter le gland du clitoris quand ils font une épisiotomie.
J'y ai appris également que le point G féminin existe réellement, ce que je savais déjà, mais ce que j'ignorais et pas mal d'autres aussi j'en suis sûr, c'est que c'est en fait un point de jonction important des multiples ramifications nerveuses du clitoris.
Pour info et au cas où le long commentaire que j'ai posté sur le site Facebook de l'émission ne passerait pas, le voici :
Bravo à Ali et son équipe pour votre émission sur le clitoris.
Mais pourquoi mettre une fleur dans votre article pour figurer le clitoris ? Et pourquoi ne pas mettre un vrai clitoris en 3D ? Apparemment votre illustrateur n'a pas vaincu tous les préjugés sur cet organe féminin si mal connu.
J'ai appris au détour d'une phrase de Monsieur Foldes ( bravo à lui qui répare les clitoris violentés) la confirmation par un spécialiste éminent de l'existence du point G. Découvert dans les années 50, mais dont on a compris très récemment que c'est tout simplement le lieu de jonction de beaucoup des innombrables ramifications nerveuses qui constituent le clitoris.
Si le clitoris est le haut lieu du plaisir féminin, il conviendrait peut-être de ne pas oublier que l'homme a aussi son centre du plaisir. Qui n'est pas le pénis, comme le croient la plupart des gens, mais la prostate.
Les homosexuels connaissent bien ce qu'on pourrait appeler le point P, mais il importe de souligner que le plaisir prostatique n'est pas leur apanage.
En effet, on peut être tout à fait hétérosexuel et apprécier le plaisir prostatique. Qui se trouve être beaucoup plus puissant que l'orgasme classique.
Par ailleurs, la stimulation de la prostate après un certain âge non seulement réveille la libido mais permet d'éviter en grande partie le cancer de la prostate.
En revanche, le point P masculin est toujours aussi tabou, sinon plus que le clitoris.
Alors, Ali, à quand une émission sur la prostate, ce haut lieu du plaisir masculin ?
Pour info, je suis hétérosexuel, j'ai 72 ans, et je suis un adepte convaincu et plus que jamais pratiquant du plaisir prostatique.
Pour en savoir plus, tapez clitoris dans le moteur de recherche de ce site.
Le lien vers le podcast de l'émission
Pourquoi le clitoris est il tabou ?
Parce qu'il est le haut lieu du plaisir féminin et que les hommes ont toujours voulu contrôler le plaisir féminin.
De plus, alors que l'organe sexuel masculin ne cache rien (enfin presque, parce qu'en fait il est intimement relié à la prostate, ce centre du plaisir masculin) la plus grande partie du clitoris est cachée. Ce qui explique que beaucoup femmes ignorent encore l'existence et la nature même de leur principal organe sexuel. Alors les hommes...
En effet, le "bouton de rose" des poètes et poétesses, plus prosaïquement le gland, généralement minuscule, du clitoris (il y a des exceptions, mais elles sont rares) n'est que la parie visible du véritable "iceberg" que constitue le clitoris. De fait, cet organe, beaucoup plus complexe qu'il n'y parait, enserre pratiquement tout le vagin féminin de ses innombrables terminaisons nerveuses et généralement ultra réceptives.
Ce qui explique que contrairement à l'idée répandue les femmes ne sont pas vaginales ou clitoridiennes, elles sont toutes clitoridiennes. Simplement, certaines sont plus sensibles au niveau de l'entrée du vagin où, la nature est sympa avec les hommes, se trouve le clitoris (il aurait pu être situé au fond du vagin 😏) alors que d'autres sont plus sensibles au niveau de l'intérieur du vagin.
Mieux encore, les ramifications nerveuses du clitoris vont jusqu'à l'extrême fond du vagin. Ce qui explique que "la levrette" est généralement une position appréciée des femmes. Qui fut, à mon avis la position la plus "naturelle" chez les premiers humains. Celle du "missionnaire" a dû apparaître beaucoup plus tard, avec la religion, sans doute.
Ce qui explique également que les femmes, après une nécessaire initiation, de préférence progressive, puissent éprouver aussi beaucoup de plaisir avec la sodomie. Certains les qualifient "d'anales" mais elles sont en fait clitoridiennes, comme toutes les femmes.
D'après mon expérience personnelle, qui est plutôt vaste dans ce domaine, si les femmes, bien que toutes clitoridiennes ne sont effectivement jamais "réceptives" de la même façon, la plupart des femmes hétérosexuelles (j'ai très peu fréquenté les lesbiennes) apprécient plus la levrette que la missionnaire.
Plus encore, la quasi-totalité des femmes qui acceptent la sodomie, parviennent facilement à l'orgasme par ce canal, ce qui est loin d'être le cas pour ce qui est de la pénétration classique. J'ai connu plusieurs femmes à qui la pénétration classique, même prolongée, ne faisait que peu d'effet, mais qui ne pouvaient parvenir à l'orgasme que par la sodomie.
Écoutez absolument le podcast de cette émission. Vous y apprendrez certainement beaucoup de choses sur le clitoris, la découverte du clitoris et le mal que l'on a pu, et que l'on fait encore, à cet organe central du plaisir féminin (excision, infibulation etc.)
J'y ai appris personnellement, et avec effarement, que beaucoup de médecins, voire de gynécologues obstétriciens (!) n'ont pas été formés à la connaissance du clitoris. En revanche on leur a appris quand même à éviter le gland du clitoris quand ils font une épisiotomie.
J'y ai appris également que le point G féminin existe réellement, ce que je savais déjà, mais ce que j'ignorais et pas mal d'autres aussi j'en suis sûr, c'est que c'est en fait un point de jonction important des multiples ramifications nerveuses du clitoris.
Pour info et au cas où le long commentaire que j'ai posté sur le site Facebook de l'émission ne passerait pas, le voici :
Bravo à Ali et son équipe pour votre émission sur le clitoris.
Mais pourquoi mettre une fleur dans votre article pour figurer le clitoris ? Et pourquoi ne pas mettre un vrai clitoris en 3D ? Apparemment votre illustrateur n'a pas vaincu tous les préjugés sur cet organe féminin si mal connu.
J'ai appris au détour d'une phrase de Monsieur Foldes ( bravo à lui qui répare les clitoris violentés) la confirmation par un spécialiste éminent de l'existence du point G. Découvert dans les années 50, mais dont on a compris très récemment que c'est tout simplement le lieu de jonction de beaucoup des innombrables ramifications nerveuses qui constituent le clitoris.
Si le clitoris est le haut lieu du plaisir féminin, il conviendrait peut-être de ne pas oublier que l'homme a aussi son centre du plaisir. Qui n'est pas le pénis, comme le croient la plupart des gens, mais la prostate.
Les homosexuels connaissent bien ce qu'on pourrait appeler le point P, mais il importe de souligner que le plaisir prostatique n'est pas leur apanage.
En effet, on peut être tout à fait hétérosexuel et apprécier le plaisir prostatique. Qui se trouve être beaucoup plus puissant que l'orgasme classique.
Par ailleurs, la stimulation de la prostate après un certain âge non seulement réveille la libido mais permet d'éviter en grande partie le cancer de la prostate.
En revanche, le point P masculin est toujours aussi tabou, sinon plus que le clitoris.
Alors, Ali, à quand une émission sur la prostate, ce haut lieu du plaisir masculin ?
Pour info, je suis hétérosexuel, j'ai 72 ans, et je suis un adepte convaincu et plus que jamais pratiquant du plaisir prostatique.
Pour en savoir plus, tapez clitoris dans le moteur de recherche de ce site.
Le lien vers le podcast de l'émission