Lorsque j'étais jeune homme, il y a bien longtemps déjà, j'ai rapidement pris conscience de la dimension du problème, si j'ose dire. Chaque fois que je devais sortir, ou à plus forte raison, lorsque j'avais un rendez-vous galant, je me masturbais avant. Pas simplement pour ne ne pas jouir précocement, mais aussi pour ne pas trop dépendre sexuellement des femmes qu'il pourrait m'arriver de rencontrer. Ainsi, je n’ai jamais été éjaculateur précoce...avec une femme.
Par ailleurs, un bon amant ne s'endort pas après une première éjaculation. Il continue de s'occuper de sa partenaire, et s'il n'a pas de problème de testostérone, ou si Madame y met du sien (on a les amants, ou les maîtresses, qu’on mérite) il pourra recommencer assez vite. La troisième fois, normalement, il n'aura plus de problème d'éjaculation précoce.
En pratiquant régulièrement ce genre d'exercices, l'éjaculation précoce ne sera plus qu'un mauvais souvenir.
L'autre avantage de faire plusieurs fois l'amour est que votre partenaire, à moins d'être médicalement frigide, ce qui est très rare, il faut le dire, finira nécessairement par ressentir un vrai orgasme. Et même à devenir multi-orgasmique après un certain temps.
Tant il est vrai que l'amour n'est pas une question de centimètres, à condition évidemment d'être pourvu du minimum syndical, mais de temps ! Je vous laisse réfléchir, longuement, là-dessus.
C'est physiologique, après 30 minutes de copulation intensive la plupart des femmes éprouvent un orgasme. Mais la nature est mal faite : les hommes capables de copuler activement plus de 15 minutes sans éjaculer sont rares. Et plus la femme pratique, plus les orgasmes se répéteront, à condition bien sûr que le monsieur suive le rythme.
Pour cela, non seulement Monsieur devra avoir dépassé le stade de l'éjaculation précoce, mais il devra en plus disposer d'une excellente condition physique. Je peux vous garantir qu'une vraie nuit d'amour constitue un effort violent et prolongé, qui peut faire perdre plusieurs kilos.
Après quelques semaines de ce régime nous aurons alors un vrai couple, constitué d'une femme souvent multi-orgasmique et d'un homme qui jouit quand il le veut. C'est à la portée de n'importe quel couple, si les deux partenaires souhaitent vraiment y consacrer leurs efforts.
A la longue, d'autres problèmes surviendront, dus à l'habitude et à l'âge. Chez Monsieur souvent, les dames bien entraînées étant naturellement infatigables jusqu'à...pas d'âge.
Il existe des moyens pour raviver la flamme de Monsieur, que je suis bien placé pour connaître (j’ai 71 ans) et là encore, si on cherche un peu, les solutions existent. Notamment sur ce site, dans cette même rubrique. Il suffit de vouloir les chercher.
Ainsi, à 70 ans, et plus, vous serez encore capables, messieurs, de vivre de vraies nuits d'amour. Avec un avantage certain sur les jeunes ; sauf exception médicale, à cet âge là, on ne sait plus ce que c'est que l'éjaculation précoce 😏
Il faut savoir toutefois que la capacité de retenir longtemps l’éjaculation peut avoir, après de nombreuses années de pratique, des effets négatifs, que d’aucuns considéraient comme rédhibitoires.
Il s’agit de l'anéjaculation, c’est à dire l’incapacité d’éjaculer. On n’a aucun problème d'érection, mais on ne peut plus éjaculer. Cette anéjaculation peut être temporaire ou permanente, générale ou spécifique.
Personnellement, je suis affecté par une anajéculation spécifique. Je suis, depuis quelques années, incapable d’éjaculer lors d’un rapport sexuel avec une partenaire. Aussi qualifiée soit elle, et je vous assure que je ne fréquente que des femmes très qualifiées dans ce domaine. Quand je dis qualifiées, cela veut dire des femmes généralement multi orgasmiques, qui adorent le sexe.
En revanche, je n’ai aucun problème pour éjaculer quand je pratique en solitaire. En utilisant, je précise, une technique très particulière, à savoir l’orgasme prostatique, qui sollicite le point G masculin, que j'appellerais plutôt le point P, dont je parle souvent dans cette rubrique.
Je présume donc que mon anéjaculation spécifique avec les femmes a une origine essentiellement psychologique, et non physique. A savoir, que cela fait tellement longtemps que je m’oblige à retenir mon éjaculation, et le plus longtemps possible, lorsque je fais l’amour, que mon cerveau a imprimé un blocage qui m’empêche désormais d’éjaculer, uniquement dans cette circonstance précise
Cela pourrait en troubler beaucoup, mais pas moi.
En effet, cela a toujours été le cas chez moi, mais avec l’âge, cela s’est bien amplifié, mon plaisir dans ce genre de circonstances c’est de donner du plaisir, bien plus que d’en recevoir. C’est à mon avis ce qui fait la différence entre un bon amant et un amant moyen. Ces derniers ne recherchent que leur propre plaisir et lorsqu’ils l’ont obtenu, généralement très rapidement, ils s’endorment, heureux et complètement indifférents à ce qu’a pu ressentir leur partenaire. Le bon amant au contraire, tentera d’en donner toujours plus et, c’est mon cas, se ravira de voir la femme prendre du plaisir, encore et encore. Dans ce domaine, je vous assure, les capacités des femmes sont infiniment supérieures aux nôtres.
Enfin, le fait de ne plus jouir avec un femme me pose désormais d’autant moins de problèmes que mes orgasmes prostatiques et solitaires me procurent beaucoup plus de plaisir qu’un coït classique. Ce qui offre un autre avantage ; j’adore toujours faire l’amour à une femme, mais je ne suis plus du tout dépendant des femmes en ce qui concerne le plaisir. Ce qui, par les temps qui courent, et compte tenu de mon âge qui s’avance inexorablement, constitue un énorme avantage par rapport à la situation habituelle des hommes célibataires du 3 ème, et bientôt pour ce qui me concerne, du quatrième âge.
Et, n'oubliez pas : "An orgasm a day, keeps the doctor away"
En français : un orgasme par jour, vous évite de fréquenter les médecins.
Ce n'est pas simplement une amusante ... saillie, c'est officiellement reconnu par la médecine : ceux qui ont un orgasme fréquent, accompagné, ou seul, courent beaucoup moins de risques de souffrir un jour du cancer de la prostate.
P.S
Cela fait des années que je n'ai pas consulté un médecin ! J'ai habité deux ans en Crète. J'ai donc un carnet de sécurité sociale grec... qui est, lui, vierge !
J'ai été opéré, comme M. Hollande, d'une hypertrophie bénigne de la prostate, il y a quelques années en Thaïlande, mais ce n'était qu'un problème de plomberie, rien à voir avec un cancer.
Cet épisode de plomberie mis à part, la dernière fois que j'ai consulté, doit remonter à plusieurs dizaines d'années.
Par ailleurs, un bon amant ne s'endort pas après une première éjaculation. Il continue de s'occuper de sa partenaire, et s'il n'a pas de problème de testostérone, ou si Madame y met du sien (on a les amants, ou les maîtresses, qu’on mérite) il pourra recommencer assez vite. La troisième fois, normalement, il n'aura plus de problème d'éjaculation précoce.
En pratiquant régulièrement ce genre d'exercices, l'éjaculation précoce ne sera plus qu'un mauvais souvenir.
L'autre avantage de faire plusieurs fois l'amour est que votre partenaire, à moins d'être médicalement frigide, ce qui est très rare, il faut le dire, finira nécessairement par ressentir un vrai orgasme. Et même à devenir multi-orgasmique après un certain temps.
Tant il est vrai que l'amour n'est pas une question de centimètres, à condition évidemment d'être pourvu du minimum syndical, mais de temps ! Je vous laisse réfléchir, longuement, là-dessus.
C'est physiologique, après 30 minutes de copulation intensive la plupart des femmes éprouvent un orgasme. Mais la nature est mal faite : les hommes capables de copuler activement plus de 15 minutes sans éjaculer sont rares. Et plus la femme pratique, plus les orgasmes se répéteront, à condition bien sûr que le monsieur suive le rythme.
Pour cela, non seulement Monsieur devra avoir dépassé le stade de l'éjaculation précoce, mais il devra en plus disposer d'une excellente condition physique. Je peux vous garantir qu'une vraie nuit d'amour constitue un effort violent et prolongé, qui peut faire perdre plusieurs kilos.
Après quelques semaines de ce régime nous aurons alors un vrai couple, constitué d'une femme souvent multi-orgasmique et d'un homme qui jouit quand il le veut. C'est à la portée de n'importe quel couple, si les deux partenaires souhaitent vraiment y consacrer leurs efforts.
A la longue, d'autres problèmes surviendront, dus à l'habitude et à l'âge. Chez Monsieur souvent, les dames bien entraînées étant naturellement infatigables jusqu'à...pas d'âge.
Il existe des moyens pour raviver la flamme de Monsieur, que je suis bien placé pour connaître (j’ai 71 ans) et là encore, si on cherche un peu, les solutions existent. Notamment sur ce site, dans cette même rubrique. Il suffit de vouloir les chercher.
Ainsi, à 70 ans, et plus, vous serez encore capables, messieurs, de vivre de vraies nuits d'amour. Avec un avantage certain sur les jeunes ; sauf exception médicale, à cet âge là, on ne sait plus ce que c'est que l'éjaculation précoce 😏
Il faut savoir toutefois que la capacité de retenir longtemps l’éjaculation peut avoir, après de nombreuses années de pratique, des effets négatifs, que d’aucuns considéraient comme rédhibitoires.
Il s’agit de l'anéjaculation, c’est à dire l’incapacité d’éjaculer. On n’a aucun problème d'érection, mais on ne peut plus éjaculer. Cette anéjaculation peut être temporaire ou permanente, générale ou spécifique.
Personnellement, je suis affecté par une anajéculation spécifique. Je suis, depuis quelques années, incapable d’éjaculer lors d’un rapport sexuel avec une partenaire. Aussi qualifiée soit elle, et je vous assure que je ne fréquente que des femmes très qualifiées dans ce domaine. Quand je dis qualifiées, cela veut dire des femmes généralement multi orgasmiques, qui adorent le sexe.
En revanche, je n’ai aucun problème pour éjaculer quand je pratique en solitaire. En utilisant, je précise, une technique très particulière, à savoir l’orgasme prostatique, qui sollicite le point G masculin, que j'appellerais plutôt le point P, dont je parle souvent dans cette rubrique.
Je présume donc que mon anéjaculation spécifique avec les femmes a une origine essentiellement psychologique, et non physique. A savoir, que cela fait tellement longtemps que je m’oblige à retenir mon éjaculation, et le plus longtemps possible, lorsque je fais l’amour, que mon cerveau a imprimé un blocage qui m’empêche désormais d’éjaculer, uniquement dans cette circonstance précise
Cela pourrait en troubler beaucoup, mais pas moi.
En effet, cela a toujours été le cas chez moi, mais avec l’âge, cela s’est bien amplifié, mon plaisir dans ce genre de circonstances c’est de donner du plaisir, bien plus que d’en recevoir. C’est à mon avis ce qui fait la différence entre un bon amant et un amant moyen. Ces derniers ne recherchent que leur propre plaisir et lorsqu’ils l’ont obtenu, généralement très rapidement, ils s’endorment, heureux et complètement indifférents à ce qu’a pu ressentir leur partenaire. Le bon amant au contraire, tentera d’en donner toujours plus et, c’est mon cas, se ravira de voir la femme prendre du plaisir, encore et encore. Dans ce domaine, je vous assure, les capacités des femmes sont infiniment supérieures aux nôtres.
Enfin, le fait de ne plus jouir avec un femme me pose désormais d’autant moins de problèmes que mes orgasmes prostatiques et solitaires me procurent beaucoup plus de plaisir qu’un coït classique. Ce qui offre un autre avantage ; j’adore toujours faire l’amour à une femme, mais je ne suis plus du tout dépendant des femmes en ce qui concerne le plaisir. Ce qui, par les temps qui courent, et compte tenu de mon âge qui s’avance inexorablement, constitue un énorme avantage par rapport à la situation habituelle des hommes célibataires du 3 ème, et bientôt pour ce qui me concerne, du quatrième âge.
Et, n'oubliez pas : "An orgasm a day, keeps the doctor away"
En français : un orgasme par jour, vous évite de fréquenter les médecins.
Ce n'est pas simplement une amusante ... saillie, c'est officiellement reconnu par la médecine : ceux qui ont un orgasme fréquent, accompagné, ou seul, courent beaucoup moins de risques de souffrir un jour du cancer de la prostate.
P.S
Cela fait des années que je n'ai pas consulté un médecin ! J'ai habité deux ans en Crète. J'ai donc un carnet de sécurité sociale grec... qui est, lui, vierge !
J'ai été opéré, comme M. Hollande, d'une hypertrophie bénigne de la prostate, il y a quelques années en Thaïlande, mais ce n'était qu'un problème de plomberie, rien à voir avec un cancer.
Cet épisode de plomberie mis à part, la dernière fois que j'ai consulté, doit remonter à plusieurs dizaines d'années.