Comme d'habitude, pour ceux qui n'ont pas le temps de regarder en totalité la vidéo, j'ai pris quelques notes :
Cela fait des semaines que les indicateurs hospitaliers ne bougent pas, et ce dans la plupart des pays d'Europe
Si l'on a peur pour l'hôpital renforçons-le, mais ce n'est pas ce que l'on fait dans notre pays, depuis des décennies
Cela n'a plus de sens de tester aujourd'hui. Plus on teste plus, plus on trouve et plus on panique.
Ce n'est pas parce que l'on est positif que l'on est malade.
On n'a pas arrêté de changer d'indicateurs. On est passé d'une comptabilisation des vagues d'hospitalisation à une comptabilisation des cas positifs. On a commencé à compter les morts, puis les réanimations, ensuite les hospitalisations et maintenant on compte les cas positifs.
On mélange les soins critiques avec les réanimations. Or, on dispose de beaucoup de plus de nombre de lits en soins critiques que de lits en réanimation.
Quand on est en pleine vague épidémique cela n'a pas sens de tester, sauf à affoler les populations.
Les tests, seulement, coûtent 1 milliard et demi par mois.
Les services d'urgences sont en permanence saturés, depuis des décennies.
Tous les jours, en France, de manière naturelle, il y a 1 700 morts. Sur 67 millions d'habitants
Le taux de mortalité de la Covid est de 0,1 %, ce n'est pas 30 ou 40 %.
La moyenne d'âge des personnes qui décèdent de la Covid est de 85 ans. L'espérance de vie en France est de 82 ans.
Les personnes fragiles qui sont la cible du virus ne vont pas au resto, ne vont pas au ciné et reste généralement chez eux. Elles n’ont pas besoin de passe.
La stratégie du tout vaccin est une erreur : cette épidémie touche les plus fragiles, il faut protéger les plus fragiles, dont les obèses, car ce sont les plus touchés, et non pas tout le monde.
Cette épidémie cible une partie de la population. Que n'a-t-on protégé depuis le début cette partie de la population et fichu la paix aux autres ? Il aurait fallu vacciner cette population fragile, l'hospitaliser et lui donner des médicaments précoces. En ce qui concerne les médicaments au stade précoce, c'était effectivement impossible en raison des clauses léonines des contrats signés entre les États et les fabricants de vaccins.
N.D.L.R : En effet, des contrats ont fuité, notamment celui de l’Albanie, et l'on s'est aperçu que certaines clauses interdisaient aux États d'utiliser d'autres médicaments, ou moyens de soins, que le vaccin ! D'où les problèmes qu'ont connus l’hydroxychloroquine au début de la pandémie et ensuite l'Ivermectine, qui au passage est utilisée désormais largement dans le monde au stade précoce de la maladie, et de façon très efficace.
Les enfants ont zéro risque de faire des risques graves, sauf suite à la vaccination, comme on le constate depuis que la vaccination est effectuée en masse.
Les autres pays ont compris l'utilité d'une stratégie ciblée, particulièrement Israël qui va procéder à une quatrième injection, mais uniquement pour la population fragile.
Le Pass vaccinal constitue une discrimination, ce qui est contraire aux principes de base de la médecine et singulièrement au serment d'Hippocrate.
Le Pass vaccinal est une boîte de Pandore, car demain on pourra de la même façon discriminer les fumeurs, les obèses, les homosexuels, les alcooliques, etc. Cela existe déjà en Chine, cela s'appelle le “crédit social”.
Que des médecins se posent la question de savoir s'il faut traiter en priorité les vaccinés, par rapport aux non vaccinés, c'est honteux est absolument opposé aux principes de la médecine.
Le Pass sanitaire n'a en aucune façon diminué la contagion du virus.
La bonne politique sanitaire serait (eut été) de protéger les personnes à risques, de renforcer l'hôpital, et de faire des tests seulement sur les personnes à risques.
Le symptôme essentiel de la Covid c'est la désaturation, le manque d'oxygène. Dans ce cas, il faut aller à l'hôpital tout de suite.
La vraie crise, c'est celle de l'hôpital public
En 2015, il y a eu une grave crise sanitaire : à tel point que l'espérance de vie a baissé. Personne n'en a parlé.
Il ne faut plus mettre des gestionnaires la tête des hôpitaux, mais des médecins, des personnes qui sont au contact des malades et des soignants.
Il y a quelque temps, on réclamait trois milliards pour améliorer l'hôpital : il n'y avait pas d'argent. Actuellement, on a dépensé les trois milliards en deux mois de test seulement. En tests, pas en soins ou en personnels !
On pointe du doigt la responsabilité de la Covid pour mieux masquer les vrais responsables.
L'évolution naturelle des variants en matière de coronavirus est de diminuer avec le temps et non le contraire. Il pourrait éventuellement survenir un variant beaucoup plus dangereux, mais c'est extrêmement rare.
La vraie question à se poser c'est : ne s’est-on pas trompé en décrétant la vaccination en masse ?
N.D.L.R : Il m'étonnerait beaucoup que Macron se la pose un jour, néanmoins j'espère que c'est devant les tribunaux qu'il aura à justifier la réponse coupable qu'il a donnée à cette question.
Alors que certains pays se posent actuellement cette question, en France, on fait le contraire : on impose le passe vaccinal au moment même où la vaccination en masse ne se justifie plus, si elle l'a jamais été.
On peut, cinq ans après, se poser légitimement beaucoup de questions sur “l’épidémiologiste” en chef qui nous dirige.
Cela fait des semaines que les indicateurs hospitaliers ne bougent pas, et ce dans la plupart des pays d'Europe
Si l'on a peur pour l'hôpital renforçons-le, mais ce n'est pas ce que l'on fait dans notre pays, depuis des décennies
Cela n'a plus de sens de tester aujourd'hui. Plus on teste plus, plus on trouve et plus on panique.
Ce n'est pas parce que l'on est positif que l'on est malade.
On n'a pas arrêté de changer d'indicateurs. On est passé d'une comptabilisation des vagues d'hospitalisation à une comptabilisation des cas positifs. On a commencé à compter les morts, puis les réanimations, ensuite les hospitalisations et maintenant on compte les cas positifs.
On mélange les soins critiques avec les réanimations. Or, on dispose de beaucoup de plus de nombre de lits en soins critiques que de lits en réanimation.
Quand on est en pleine vague épidémique cela n'a pas sens de tester, sauf à affoler les populations.
Les tests, seulement, coûtent 1 milliard et demi par mois.
Les services d'urgences sont en permanence saturés, depuis des décennies.
Tous les jours, en France, de manière naturelle, il y a 1 700 morts. Sur 67 millions d'habitants
Le taux de mortalité de la Covid est de 0,1 %, ce n'est pas 30 ou 40 %.
La moyenne d'âge des personnes qui décèdent de la Covid est de 85 ans. L'espérance de vie en France est de 82 ans.
Les personnes fragiles qui sont la cible du virus ne vont pas au resto, ne vont pas au ciné et reste généralement chez eux. Elles n’ont pas besoin de passe.
La stratégie du tout vaccin est une erreur : cette épidémie touche les plus fragiles, il faut protéger les plus fragiles, dont les obèses, car ce sont les plus touchés, et non pas tout le monde.
Cette épidémie cible une partie de la population. Que n'a-t-on protégé depuis le début cette partie de la population et fichu la paix aux autres ? Il aurait fallu vacciner cette population fragile, l'hospitaliser et lui donner des médicaments précoces. En ce qui concerne les médicaments au stade précoce, c'était effectivement impossible en raison des clauses léonines des contrats signés entre les États et les fabricants de vaccins.
N.D.L.R : En effet, des contrats ont fuité, notamment celui de l’Albanie, et l'on s'est aperçu que certaines clauses interdisaient aux États d'utiliser d'autres médicaments, ou moyens de soins, que le vaccin ! D'où les problèmes qu'ont connus l’hydroxychloroquine au début de la pandémie et ensuite l'Ivermectine, qui au passage est utilisée désormais largement dans le monde au stade précoce de la maladie, et de façon très efficace.
Les enfants ont zéro risque de faire des risques graves, sauf suite à la vaccination, comme on le constate depuis que la vaccination est effectuée en masse.
Les autres pays ont compris l'utilité d'une stratégie ciblée, particulièrement Israël qui va procéder à une quatrième injection, mais uniquement pour la population fragile.
Le Pass vaccinal constitue une discrimination, ce qui est contraire aux principes de base de la médecine et singulièrement au serment d'Hippocrate.
Le Pass vaccinal est une boîte de Pandore, car demain on pourra de la même façon discriminer les fumeurs, les obèses, les homosexuels, les alcooliques, etc. Cela existe déjà en Chine, cela s'appelle le “crédit social”.
Que des médecins se posent la question de savoir s'il faut traiter en priorité les vaccinés, par rapport aux non vaccinés, c'est honteux est absolument opposé aux principes de la médecine.
Le Pass sanitaire n'a en aucune façon diminué la contagion du virus.
La bonne politique sanitaire serait (eut été) de protéger les personnes à risques, de renforcer l'hôpital, et de faire des tests seulement sur les personnes à risques.
Le symptôme essentiel de la Covid c'est la désaturation, le manque d'oxygène. Dans ce cas, il faut aller à l'hôpital tout de suite.
La vraie crise, c'est celle de l'hôpital public
En 2015, il y a eu une grave crise sanitaire : à tel point que l'espérance de vie a baissé. Personne n'en a parlé.
Il ne faut plus mettre des gestionnaires la tête des hôpitaux, mais des médecins, des personnes qui sont au contact des malades et des soignants.
Il y a quelque temps, on réclamait trois milliards pour améliorer l'hôpital : il n'y avait pas d'argent. Actuellement, on a dépensé les trois milliards en deux mois de test seulement. En tests, pas en soins ou en personnels !
On pointe du doigt la responsabilité de la Covid pour mieux masquer les vrais responsables.
L'évolution naturelle des variants en matière de coronavirus est de diminuer avec le temps et non le contraire. Il pourrait éventuellement survenir un variant beaucoup plus dangereux, mais c'est extrêmement rare.
La vraie question à se poser c'est : ne s’est-on pas trompé en décrétant la vaccination en masse ?
N.D.L.R : Il m'étonnerait beaucoup que Macron se la pose un jour, néanmoins j'espère que c'est devant les tribunaux qu'il aura à justifier la réponse coupable qu'il a donnée à cette question.
Alors que certains pays se posent actuellement cette question, en France, on fait le contraire : on impose le passe vaccinal au moment même où la vaccination en masse ne se justifie plus, si elle l'a jamais été.
On peut, cinq ans après, se poser légitimement beaucoup de questions sur “l’épidémiologiste” en chef qui nous dirige.