Notre vulnérabilité croissante face aux pandémies a une cause plus profonde : la destruction accélérée des habitats.
En dépit des articles qui, photographies à l’appui, désignent la faune sauvage comme le point de départ d’épidémies dévastatrices (2), il est faux de croire que ces animaux sont particulièrement infestés d’agents pathogènes mortels prêts à nous contaminer. En réalité, la plus grande partie de leurs microbes vit en eux sans leur faire aucun mal. Le problème est ailleurs : avec la déforestation, l’urbanisation et l’industrialisation effrénées, nous avons offert à ces microbes des moyens d’arriver jusqu’au corps humain et de s’adapter.
Moralité : les animaux ne sont pour rien dans les zoonoses. Ils ont leurs maladies comme nous avons les nôtres. C'est la destruction de la nature par l'homme qui entraine la transmission de leurs maladies aux humains.
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En dépit des articles qui, photographies à l’appui, désignent la faune sauvage comme le point de départ d’épidémies dévastatrices (2), il est faux de croire que ces animaux sont particulièrement infestés d’agents pathogènes mortels prêts à nous contaminer. En réalité, la plus grande partie de leurs microbes vit en eux sans leur faire aucun mal. Le problème est ailleurs : avec la déforestation, l’urbanisation et l’industrialisation effrénées, nous avons offert à ces microbes des moyens d’arriver jusqu’au corps humain et de s’adapter.
Moralité : les animaux ne sont pour rien dans les zoonoses. Ils ont leurs maladies comme nous avons les nôtres. C'est la destruction de la nature par l'homme qui entraine la transmission de leurs maladies aux humains.
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