Je sais que ce journal est qualifié par beaucoup de complotiste, mais dans cette interview je n'ai pas trouvé une once de complotisme. En revanche j'ai trouvé les explications de ce généticien parfaitement claires et mesurées. Au passage je constate que ce n'est pas la première fois que des généticiens de renom critiquent avec de solides arguments les nouveaux vaccins que l'on administre pourtant massivement depuis des mois. Alexandra Henrion Claude, notamment, qui elle aussi, a critiqué vertement la folie consistant à utiliser massivement des thérapies géniques nouvelles sans le recul nécessaire. Sans se poser de questions, en niant violemment toute critique sur la politique menée en matière de vaccins et en qualifiant immédiatement ceux qui osent la critiquer de complotistes. Alors que, comme le rappelle le professeur Vélot au début de l'entretien, la dissension est véritablement scientifique et le consensus toujours suspect.
Publié le 29/06/2021
« Ne faisons pas un remède pire que le mal » : l'entretien essentiel, avec Chrstian Vélot
Petit résumé :
Christian Vélot se montre surpris de voir que pour lutter contre un virus qui nous réserve beaucoup d’incertitudes, on ait recours à des technologies pour lesquelles on n’a pas de recul.
Le biologiste donne des explications très détaillées sur les différents types de vaccins mis sur le marché, vaccins qu’il divise en trois catégories selon la technique employée : vaccins à virus inactivé, vaccins à protéines recombinantes et vaccins génétiques.
Christian Vélot revient également sur les autorisations de mise sur le marché conditionnelles beaucoup trop rapides puisqu’une phase 3 prend normalement plusieurs années pour connaître l’immunotoxicité, la génotoxicité et l’intéraction avec le génome humain. Il regrette ces décisions et rappelle que « la sécurité est incompatible avec l’urgence ».
S’ensuivent des explications sur la nature de ce virus qui ne fait pas beaucoup de mutations mais des recombinaisons avec des virus qui ne sont pas de sa famille, une particularité qui l’amène à s’interroger sur l’échappement immunitaire, au rapport bénéficie/risque de la vaccination et de son efficacité.
Il dénonce la vaccination massive, et pour tous, en période de pandémie. C'est une erreur dramatique qui a pour conséquence l'émergence et la multiplication des variants à laquelle on assiste depuis quelque temps.
Il déplore l’absence de la diversité de pensée dans les instances de décisions et dénonce des erreurs de la part de certaines autorités notamment des propos scientifiquement faux du « Monsieur vaccin » Alain Fisher, responsable de la politique vaccinale pour la France.
Enfin, et c'est pour moi le plus important, il affirme que le vaccin n'est pas « la » solution ; la vraie solution, face à cette pandémie et à toutes celles qui ne manqueront pas de survenir vu les problèmes écologiques dramatiques auxquels l'humanité est confrontée, c'est d'apporter (enfin) des solutions aux maladies environnementales, dont la Covid n'est que la résultante.
Les personnes en bonne santé, c'est-à-dire avec un système immunitaire intact, n'ont pas de problèmes avec le virus et ses multiples variants.
Depuis le début de cette crise sanitaire on sait que 80% des gens ne contractent pas le virus, ou le contractent, et leur système immunitaire fait son travail sans le secours des thérapies géniques. Les 20 % qui restent sont malades et les 1 à 3 % qui en meurent étaient, sauf exceptions (qui confirment la règle) porteurs de comorbidités, avant que le virus n'apparaisse.
Et pourquoi ces comorbidités (cancer, diabète, etc.) ? En raison principalement des pesticides, perturbateurs endocriniens, de la pollution, etc., qui sont des problèmes environnementaux connus depuis des décennies contre lesquels on n'a rien fait, et on continue de ne rien faire.
Et pourquoi ne fait-on rien ? Parce que l'économie est le moteur de notre société et dirige le monde. Et parce que la santé est aux mains des marchands de l'industrie pharmaceutique dont le seul moteur est le profit et dont la main armée, les lobbyistes, influence fortement les décisions des politiques dans le monde entier.
La vidéo dure 1h13, mais croyez-moi vous ne verrez pas le temps passer, et vous apprendrez ou vous serez confortés sur beaucoup d'aspects de cette crise qu'on se garde bien d'analyser ailleurs.
Le lien vers la video
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Publié le 29/06/2021
« Ne faisons pas un remède pire que le mal » : l'entretien essentiel, avec Chrstian Vélot
Petit résumé :
Christian Vélot se montre surpris de voir que pour lutter contre un virus qui nous réserve beaucoup d’incertitudes, on ait recours à des technologies pour lesquelles on n’a pas de recul.
Le biologiste donne des explications très détaillées sur les différents types de vaccins mis sur le marché, vaccins qu’il divise en trois catégories selon la technique employée : vaccins à virus inactivé, vaccins à protéines recombinantes et vaccins génétiques.
Christian Vélot revient également sur les autorisations de mise sur le marché conditionnelles beaucoup trop rapides puisqu’une phase 3 prend normalement plusieurs années pour connaître l’immunotoxicité, la génotoxicité et l’intéraction avec le génome humain. Il regrette ces décisions et rappelle que « la sécurité est incompatible avec l’urgence ».
S’ensuivent des explications sur la nature de ce virus qui ne fait pas beaucoup de mutations mais des recombinaisons avec des virus qui ne sont pas de sa famille, une particularité qui l’amène à s’interroger sur l’échappement immunitaire, au rapport bénéficie/risque de la vaccination et de son efficacité.
Il dénonce la vaccination massive, et pour tous, en période de pandémie. C'est une erreur dramatique qui a pour conséquence l'émergence et la multiplication des variants à laquelle on assiste depuis quelque temps.
Il déplore l’absence de la diversité de pensée dans les instances de décisions et dénonce des erreurs de la part de certaines autorités notamment des propos scientifiquement faux du « Monsieur vaccin » Alain Fisher, responsable de la politique vaccinale pour la France.
Enfin, et c'est pour moi le plus important, il affirme que le vaccin n'est pas « la » solution ; la vraie solution, face à cette pandémie et à toutes celles qui ne manqueront pas de survenir vu les problèmes écologiques dramatiques auxquels l'humanité est confrontée, c'est d'apporter (enfin) des solutions aux maladies environnementales, dont la Covid n'est que la résultante.
Les personnes en bonne santé, c'est-à-dire avec un système immunitaire intact, n'ont pas de problèmes avec le virus et ses multiples variants.
Depuis le début de cette crise sanitaire on sait que 80% des gens ne contractent pas le virus, ou le contractent, et leur système immunitaire fait son travail sans le secours des thérapies géniques. Les 20 % qui restent sont malades et les 1 à 3 % qui en meurent étaient, sauf exceptions (qui confirment la règle) porteurs de comorbidités, avant que le virus n'apparaisse.
Et pourquoi ces comorbidités (cancer, diabète, etc.) ? En raison principalement des pesticides, perturbateurs endocriniens, de la pollution, etc., qui sont des problèmes environnementaux connus depuis des décennies contre lesquels on n'a rien fait, et on continue de ne rien faire.
Et pourquoi ne fait-on rien ? Parce que l'économie est le moteur de notre société et dirige le monde. Et parce que la santé est aux mains des marchands de l'industrie pharmaceutique dont le seul moteur est le profit et dont la main armée, les lobbyistes, influence fortement les décisions des politiques dans le monde entier.
La vidéo dure 1h13, mais croyez-moi vous ne verrez pas le temps passer, et vous apprendrez ou vous serez confortés sur beaucoup d'aspects de cette crise qu'on se garde bien d'analyser ailleurs.
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