Clayton Cubitt, photographe à l’origine du projet d’art vidéo Hysterical Literature, qui a fait plusieurs millions de vues sur YouTube.
Les vidéos durent entre quatre et douze minutes. Une femme assise devant une table lit des extraits de son roman préféré à haute voix. Au bout de quelques minutes, la lectrice s’engage dans une lutte intérieure pour rester concentrée sur sa lecture jusqu’à ce qu’elle soit contrainte d’arrêter la lecture. Elle a un orgasme.
La simple stimulation littéraire n’est pas suffisante pour faire jouir les femmes de cette série vidéo ; la source de leur déconcentration provient des manœuvres d’un vibromasseur caché de la caméra.
J'aime beaucoup.
C'est à la fois amusant au début, et très excitant à la fin. Ce qui après tout est le propre de l'érotisme, la pornographie des autres, de nos jours .
De plus, cela nous permet, à nous les hommes de voir, pour une fois à tête reposée (si je puis dire) la progression de l'arrivée de l'orgasme chez une femme. Spectacle bouleversant s'il en est. Beaucoup plus gracieux que celui de l'orgasme masculin, accompagné généralement de force halètements, grimaces et cris notoirement porcins.
Cela permet aussi de faire d'intéressantes comparaisons, pas toujours à notre avantage, avec les orgasmes de nos "régulières". Accessoirement, cela pourra permettre aussi aux simulatrices patentées d'améliorer leur rôle de composition.
Après avoir visionné ces vidéos on comprend mieux également le succès des sex-toys auprès de la gent féminine.
Avec la pilule, les femmes ont pu maîtriser la conception. Avec le sex-toy, elles accèdent à l'orgasme garanti. Sans oublier, bien sûr, que ce gadget existe aussi pour les hommes. Cela signifie que l'orgasme devient, et deviendra de plus en plus, je n'en doute pas et je ne suis pas le seul, un acte individuel. Je vous laisse réfléchir là-dessus.
Une autre citation sur l'orgasme :
«Les hommes ne simulent jamais l'orgasme : aucun homme ne chercherait à faire cette tête-là volontairement. » de Allan Pease
Ce qui est amusant, mais faux car les hommes simulent aussi. Voir ici ... quand vous aurez le temps.
Les vidéos durent entre quatre et douze minutes. Une femme assise devant une table lit des extraits de son roman préféré à haute voix. Au bout de quelques minutes, la lectrice s’engage dans une lutte intérieure pour rester concentrée sur sa lecture jusqu’à ce qu’elle soit contrainte d’arrêter la lecture. Elle a un orgasme.
La simple stimulation littéraire n’est pas suffisante pour faire jouir les femmes de cette série vidéo ; la source de leur déconcentration provient des manœuvres d’un vibromasseur caché de la caméra.
J'aime beaucoup.
C'est à la fois amusant au début, et très excitant à la fin. Ce qui après tout est le propre de l'érotisme, la pornographie des autres, de nos jours .
De plus, cela nous permet, à nous les hommes de voir, pour une fois à tête reposée (si je puis dire) la progression de l'arrivée de l'orgasme chez une femme. Spectacle bouleversant s'il en est. Beaucoup plus gracieux que celui de l'orgasme masculin, accompagné généralement de force halètements, grimaces et cris notoirement porcins.
Cela permet aussi de faire d'intéressantes comparaisons, pas toujours à notre avantage, avec les orgasmes de nos "régulières". Accessoirement, cela pourra permettre aussi aux simulatrices patentées d'améliorer leur rôle de composition.
Après avoir visionné ces vidéos on comprend mieux également le succès des sex-toys auprès de la gent féminine.
Avec la pilule, les femmes ont pu maîtriser la conception. Avec le sex-toy, elles accèdent à l'orgasme garanti. Sans oublier, bien sûr, que ce gadget existe aussi pour les hommes. Cela signifie que l'orgasme devient, et deviendra de plus en plus, je n'en doute pas et je ne suis pas le seul, un acte individuel. Je vous laisse réfléchir là-dessus.
Une autre citation sur l'orgasme :
«Les hommes ne simulent jamais l'orgasme : aucun homme ne chercherait à faire cette tête-là volontairement. » de Allan Pease
Ce qui est amusant, mais faux car les hommes simulent aussi. Voir ici ... quand vous aurez le temps.
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Peine-à-jouir : l'insulte capitale ?