Perso, la pub, j'ai décidé il y a très longtemps de l'éviter au maximum. Regardez mon article de 2002 : À bas la pub.
Des décennies plus tard, je résiste plus que jamais. Je n'ai pas de mérite, la publicité me rend littéralement malade et je déteste cela, car je n'ai jamais été vraiment malade de ma vie.
Ainsi, sur mon smartphone, avec mon navigateur Kiwi Browser, plus aucune pub. À la place des trous noirs : je suis addict au thème sombre.
Sur mon ordi, un Chromebook depuis 2011 (donc propriété de Google, l'empereur de la pub) avec l'extension Chrome Ublock origin : aucune pub.
Sur ma Smart TV, où je regarde uniquement Youtube, Arte et des films, avec mon abonnement Youtube Premium, toute la musique du monde (j'écoute les nouveautés qui me plaisent avant qu'elles ne sortent !) : aucune pub.
Concernant les réseaux sociaux, Twitter, j'ai toujours détesté. Tik Tok ? Je n'irai jamais : être lobotomisé par les chinois, très peu pour moi.
Instagram ? : je n'en ai pas besoin : mes photos sont sur Google Maps et comptent à ce jour presque 46 millions de vues.
En revanche, je suis très actif sur Facebook, le réseau des vieux désormais. Parce que cela me permet d'avoir des nouvelles de mes quatre enfants (!) et de mes amis du monde entier (j'ai souvent voyagé).
J'ai deux pages Facebook, suivies maintenant par des milliers de personnes (voir la colonne de gauche de ma page d'accueil).
Moi qui vis seul depuis 25 ans et qui ne fréquente personne en Andalousie où je vis depuis six ans (j'ai été rebuté par l'attitude des Espagnols par rapport aux vieux en général et moi en particulier pendant les trois ans de la récente pandémie) mes amis Facebook, donc virtuels, remplacent avantageusement, avec les internautes qui suivent mon site, parfois depuis très longtemps, la vie sociale que je n'ai pas par ailleurs. Et, qui ne me manque nullement.
Cela marche pour moi puisqu'en dépit de ma solitude depuis 25 ans, et d'une vie sociale essentiellement virtuelle, alors que les statistiques me prédisaient le pire dans une telle situation, je suis, à ce jour, dans une forme physique et mentale exceptionnelle pour un homme de 77 ans.
C'est l'avantage de la vie sociale virtuelle : contrairement à la vie sociale normale, elle ne peut faire que du bien. Et compte tenu du fait que j'ai appris depuis mon plus jeune âge, donc il y a très longtemps, à ne pas dépendre des autres, jamais de mal.
Des décennies plus tard, je résiste plus que jamais. Je n'ai pas de mérite, la publicité me rend littéralement malade et je déteste cela, car je n'ai jamais été vraiment malade de ma vie.
Ainsi, sur mon smartphone, avec mon navigateur Kiwi Browser, plus aucune pub. À la place des trous noirs : je suis addict au thème sombre.
Sur mon ordi, un Chromebook depuis 2011 (donc propriété de Google, l'empereur de la pub) avec l'extension Chrome Ublock origin : aucune pub.
Sur ma Smart TV, où je regarde uniquement Youtube, Arte et des films, avec mon abonnement Youtube Premium, toute la musique du monde (j'écoute les nouveautés qui me plaisent avant qu'elles ne sortent !) : aucune pub.
Concernant les réseaux sociaux, Twitter, j'ai toujours détesté. Tik Tok ? Je n'irai jamais : être lobotomisé par les chinois, très peu pour moi.
Instagram ? : je n'en ai pas besoin : mes photos sont sur Google Maps et comptent à ce jour presque 46 millions de vues.
En revanche, je suis très actif sur Facebook, le réseau des vieux désormais. Parce que cela me permet d'avoir des nouvelles de mes quatre enfants (!) et de mes amis du monde entier (j'ai souvent voyagé).
J'ai deux pages Facebook, suivies maintenant par des milliers de personnes (voir la colonne de gauche de ma page d'accueil).
Moi qui vis seul depuis 25 ans et qui ne fréquente personne en Andalousie où je vis depuis six ans (j'ai été rebuté par l'attitude des Espagnols par rapport aux vieux en général et moi en particulier pendant les trois ans de la récente pandémie) mes amis Facebook, donc virtuels, remplacent avantageusement, avec les internautes qui suivent mon site, parfois depuis très longtemps, la vie sociale que je n'ai pas par ailleurs. Et, qui ne me manque nullement.
Cela marche pour moi puisqu'en dépit de ma solitude depuis 25 ans, et d'une vie sociale essentiellement virtuelle, alors que les statistiques me prédisaient le pire dans une telle situation, je suis, à ce jour, dans une forme physique et mentale exceptionnelle pour un homme de 77 ans.
C'est l'avantage de la vie sociale virtuelle : contrairement à la vie sociale normale, elle ne peut faire que du bien. Et compte tenu du fait que j'ai appris depuis mon plus jeune âge, donc il y a très longtemps, à ne pas dépendre des autres, jamais de mal.
La solitude conserve neuf. Paul Léautaud